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 Le Prophète des progrès de l'esprit humain

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luernos
Sénéchal
luernos


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Date d'inscription : 27/08/2006

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MessageSujet: Le Prophète des progrès de l'esprit humain   Le Prophète des progrès de l'esprit humain EmptyJeu 18 Fév - 20:29

"Condorcet se distingua précocement comme mathématicien, entrant à vingt-six ans à l'Académie des sciences, dont il devint le secrétaire perpétuel en 1776, et à l'Académie française en 1782. Lorsque éclate la Révolution française, il se trouve être l'un des derniers survivants authentiques de l'esprit des lumières qui avait animé Voltaire et les encyclopédistes. En septembre 1791, il est élu député de Paris à l'Assemblée législative et devient membre du Comité d'instruction publique, chargé de réformer les institutions scolaires.

À vrai dire, la question d'une réorganisation de l'instruction en France était depuis longtemps dans tous les esprits. Chacun avait en mémoire l'ouvrage de La Chalotais (1701-1785): Essai d'éducation nationale et plan d'études pour la jeunesse (1763), véritable brûlot contre le monopole religieux dans le domaine scolaire.

De plus, Condorcet avait déjà longuement réfléchi à la question. Il avait publié dès 1790, dans le périodique La bibliothèque de l'homme public, quatre mémoires qui traitaient de questions éducatives: Nature et objet de l'instruction publique; De l'instruction commune aux enfants; De l'instruction commune pour les hommes; Sur l'instruction relative aux professions. Un cinquième mémoire, qui n'a pas été publié de son vivant, était consacré à L'instruction relative aux sciences (1).

Mais, devant l'urgence politique, l'heure n'est plus à la réflexion purement théorique. Une section de cinq membres du Comité est chargée d'élaborer un plan général d'instruction. Avec Lacépède, Arbogast, Pastoret et Romme, Condorcet se met au travail et présente son Rapport et projet de décret sur l'organisation générale de l'instruction publique (2), mais, en 1792, pour d'autres raisons d'urgence politique, l'accueil n'est pas à la hauteur des exigences, et la discussion du rapport est ajournée. Les idées de gratuité, d'obligation, de laïcité et d'universalité qu'il contient attendront un siècle pour passer dans les faits. (…)

Le développement de la connaissance de la nature, des mathématiques sociales et l'idée de progrès indéfini des sciences voient émerger un nouveau cléricalisme dans le domaine politique et dans les sociétés savantes. La déesse Raison, le dieu Progrès et leur fille, la Science, deviennent déjà les objets d'un nouveau culte et d'une nouvelle théologie. Or, Condorcet fut l'un des premiers à identifier et à analyser à la fois ce déplacement de cléricature et le danger intellectuel qu'il représente: lorsque l'Église se voit dépossédée de son monopole éducatif, il ne s'ensuit pas nécessairement que l'idéal du savoir universel s'empare de l'École et celui de la liberté individuelle de la République. Bien au contraire, on constate plutôt un «transfert de sacralité», pour parler comme Charles Coutel (3), tant sur le plan de l'action politique que de la connaissance scientifique. (…)

Dans son Premier mémoire sur l'instruction publique (1790) (4), Condorcet dénonçait déjà ce transfert de cléricature au sein de l'école, transfert qui en pervertit la destination. On embrigade l'enfance dans des fêtes, des célébrations, des défilés; le culte de la Nation, la déesse Nature, l'arbre de la Liberté remplacent la citoyenneté, la science et la responsabilité autonome. En réalité, l'école a ses nouveaux prêtres. Le mot le plus dur de Condorcet contre cette nouvelle classe politique ira à Robespierre, qui ne le lui pardonnera pas, lorsqu'il le traitera de «faux curé»! Pour le « mouton enragé » qu'est Condorcet (5), tous ces nouveaux cultes ne sont que la négation de la culture. L'idole sociale se substitue à l'idole religieuse, le politique vaticine, le résultat reste le même: un dogme en remplace un autre, au détriment de l'instruction véritable du citoyen. (...)

Pour ce qui touche aux sciences, on assiste à une dérive de même type, dérive bien décrite dans le bref essai intitulé: Raisons qui m'ont empêché jusqu'ici de croire au magnétisme animal (6), dirigé contre Mesmer, sorte de nouveau prophète pseudo-scientifique. Le savant lui-même, tout comme le charlatan, peut être tenté d'abuser de cette puissance quasi religieuse que donne la connaissance.

Condorcet craint la création d'une nouvelle cléricature, scientiste celle-ci, tout aussi immobiliste et conservatrice que le clergé. Comment le commun des mortels pourra-t-il distinguer le vrai savant du charlatan? Comment se garder contre la tentation du pouvoir que donne le savoir? Sur ces deux difficiles questions, la théorie du progrès telle qu'elle apparaît dans l'Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain (1794) peut apporter un éclairage nouveau.

Pour mieux en comprendre le sens et la portée, partons de son contraire, l'obscurantisme, dénoncé avec vigueur à propos des prêtres chaldéens, archétypes de tous ces savants qui tentent de conserver jalousement le savoir afin de garder le pouvoir intellectuel et moral sur le peuple. En réalité, l'obscurantisme ne réside pas dans l'ignorance, mais dans la volonté délibérée et dans l'art d'empêcher le dévoilement universel des vérités lentement acquises par les sciences et les techniques. Dépositaire du vrai ou victime lui-même des illusions, le faux savant sécrète un savoir illusoire pour mieux conserver sa puissance.

À l'inverse, lorsque Condorcet parle de Progrès de l'Esprit humain, c'est non seulement du savoir qualitatif et quantitatif qu'il s'agit, mais aussi de sa diffusion auprès de tous. (... Il s’agit…) de créer une éducation pour tous, une véritable éducation universelle pour tous les hommes, quels qu'ils soient. Le progrès intellectuel et surtout moral de l'humanité dans son ensemble a pour condition ce dernier point. Quantitativement, la masse des vérités disponibles augmente; qualitativement, l'ensemble de ces savoirs obéit à une combinatoire rationnelle qui en rend la diffusion plus aisée. Toute la question est celle des possibilités matérielles de cette diffusion par l'instruction universelle. C'est là la tâche des politiques. (…) (L)'amélioration du sort des hommes passe par l'éducation de tous et par leur commune participation au progrès du savoir.

De ce point de vue, nations, individus, peuples se rejoignent dans une même unité générale que recouvre la notion d'Esprit humain. C'est bien ce dernier qui est susceptible d'une amélioration indéfinie: «Nos espérances sur l'état à venir de l'espèce humaine peuvent se réduire à ces trois points importants: la destruction de l'inégalité entre les nations; les progrès de l'égalité dans un même peuple; enfin le perfectionnement réel de l'homme (7).» À propos de ce perfectionnement, il convient de se garder d'une erreur fréquente qui dénaturerait l'intention de Condorcet: il ne faudrait pas chercher dans cette marche progressive la réalisation de quelque force immanente de l'histoire, force cachée dont on pourrait néanmoins deviner la forme et anticiper le but. Rien n'est plus éloigné de Condorcet que la représentation déterministe du mouvement historique.

La perfectibilité est une notion qui traduit chez lui une espérance, un idéal, dont la légitimité est rendue possible par un double constat explicite dans l'Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain. D'abord, l'idéal de progrès humain, entendu concrètement comme amélioration de la connaissance et des moeurs, ne présente aucune contradiction interne qui en ruinerait la pertinence logique. Ensuite, l'histoire des sciences, des techniques et des rapports des hommes à ces deux domaines du savoir montre qu'il y a effectivement eu un progrès au cours des siècles de notre aventure intellectuelle. À partir de ce dernier constat, Condorcet estime qu'il n'est pas illégitime d'espérer que ce même progrès se poursuive dans le futur. Et puisque ce progrès a une influence sur les moeurs des hommes, c'est-à-dire sur la morale en général, on peut penser qu'il se fera aussi sur le plan politique et humain.

Il s'agit donc d'une hypothèse au sens strict. Condorcet ne dit jamais que le progrès est nécessaire; il demande simplement qu'on l'admette comme possible et il le fait entièrement reposer sur l'idée fondatrice de perfectibilité humaine. Cette dernière s'oppose aussi bien à l'anthropologie antique, qui assigne à l'homme une place définitive dans un cosmos fini, qu'à la métaphysique chrétienne, qui lui attribue une essence stable d'origine divine. L'idée de perfectibilité indique seulement que l'Esprit humain est ouvert sur un avenir indéterminé. Il peut tout aussi bien régresser que progresser. Impossible dans tous les cas de lui assigner des bornes.

L'idée de progrès représente donc, pour Condorcet, plus un programme qu'une loi de l'histoire: il ne se réalisera qu'à condition que les hommes en prennent conscience et décident de lui donner le jour. C'est la représentation du progrès et la confiance en leur perfectibilité qui aide les hommes à se perfectionner sans cesse. On comprend mieux alors la méfiance de Condorcet devant le dogmatisme, surtout lorsque celui-ci prend la forme du scientisme le plus délirant. (…)

(…L)'Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain, sa dernière oeuvre, (fut) écrite dans des conditions de claustration difficiles. Poursuivi par la Convention pour une brochure où il dénonçait la tentation monarchiste de Robespierre: Aux citoyens français sur le projet de nouvelle constitution (1793), il trouve refuge dans la maison de Mme Vernet, où il rédige l'Avis d'un proscrit à sa fille, «un des plus beaux livres de morale qu'on puisse lire» (Cool, et l'Esquisse, qui reste son oeuvre la plus célèbre. Récapitulant l'histoire de l'esprit humain dans ses réalisations scientifiques et politiques, il en suit les avatars, de progrès en décadences et d'accidents en victoires, sur neuf chapitres, pour annoncer enfin ce qu'il appelle la dixième époque. Dans cet ultime chapitre, il évoque les progrès futurs de l'esprit humain tels qu'on peut les conjecturer à partir du présent et sur la base des règles de changement constatées dans le passé. Il est alors conduit à distinguer deux grandes façons d'envisager les sociétés. Sa distinction ne s'appuie directement ni sur l'économie ni sur la politique, mais d'abord sur la manière de concevoir la distribution du savoir aux hommes qui composent une société donnée et, à partir de ce cas particulier, la science à l'humanité en général. Ce qu'il faut opposer à «laïque», ce n'est pas l'adjectif religieux, mais le terme plus général de «clerc» qui, au sens étymologique, désigne celui qui appartient au bon lot (klêrikos; clericus), aux élus, par opposition aux gens du peuple, aux non-initiés qui, eux, doivent être guidés parce qu'ils sont ignorants (laïkon; laicus). (…)

Un mot, pour finir, sur le sort de ce rapport, qui préfigure celui de Condorcet lui-même. Son plan, jugé timoré et trop libéral, tomba dans les oubliettes dès après sa présentation à l'Assemblée nationale au nom du Comité d'instruction publique, les 20 et 21 avril 1792. Quant à Condorcet, averti qu'une perquisition allait être opérée chez la dévouée Mme Vernet, il quitta son asile et se rendit à Fontenay-aux-Roses, où il ne trouva pas chez son ami Suard l'hospitalité espérée. Arrêté dans une auberge de Clamart, il déclara s'appeler Pierre Simon, sans doute pour éviter des ennuis à ses proches. Le lendemain de son incarcération (28 mars 1794), le concierge de sa prison le trouva mort. Suicide? Épuisement? Meurtre? Il ne sera identifié plus tard que grâce à sa montre d'argent et à son «Horace» qui ne le quittait jamais. Quant à l'endroit où il repose, on l'ignore.

Pourtant, c'est Marie-Joseph Chénier qui lui fit rendre hommage par l'important décret du 18 décembre 1794: «Les études primaires forment le premier degré de l'instruction: on y enseignera les connaissances rigoureusement nécessaires à tous les citoyens. Les personnes chargées de l'enseignement dans ces écoles s'appellent "instituteurs"» (9). La République saluait ainsi le «dernier des philosophes sans qui elle n'eût point existé» (10)."
source: site Agora.
commentaire à suivre sur cette chimère qui explique le monde moderne en son entier, et la religion mondialiste notamment
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de stercore
Chevalier



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MessageSujet: Le Prophète des progrès de l'esprit humain   Le Prophète des progrès de l'esprit humain EmptyVen 19 Fév - 1:21

Faut-il remémorer deux adages ?

-PROGRÈS, REGRET !

-INSTRUCTION, DESTRUCTION !


Ne condamnons pas la science mais n'oublions pas que très souvent elle détourne de Dieu. Saint Paul ne connaissait que Jésus et Jésus crucifié; pourtant, il s'était assis attentivement aux pieds de Saint Gamaliel.

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luernos
Sénéchal
luernos


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MessageSujet: Re: Le Prophète des progrès de l'esprit humain   Le Prophète des progrès de l'esprit humain EmptyVen 9 Juil - 14:10

Citation :
Montini fit sienne la théologie panthéiste de Teilhard de Chardin, théologie mise à l’Index sous Pie XII. Montini, avant son élévation (invalide) au (pseudo )souverain pontificat, tint de sin­guliers propos lors d’un discours à Turin: « L’homme moderne n’en viendra-t-il pas un jour au fur et à mesure que ses études scientifi­ques progresseront et découvriront des lois et réalités cachées der­rière le visage muet de la matière, à tendre l’oreille vers la voix merveilleuse de l’esprit qui palpite en elle [hérésie panthéiste, vul­garisée dans les années 1950 par Teilhard de Chardin]? Ne sera-ce pas là la religion de demain? Einstein, lui même, entrevit la sponta­néité d’une religion de l’univers. Ou ne sera-ce pas, peut-être, ma religion aujourd’hui? » (Documentation catholique 1960, page 764-765). Montini laissa ainsi entrevoir que le panthéisme évolutionniste était d’ores et déjà sa religion personnelle. Il n’est pas inintéressant de noter que cette « religion de l’univers » inspirera le missel monti­nien: « Tu es béni, Dieu de l’univers ». Et qui est ce « Dieu de l’univers »?
source: http://www.virgo-maria.org/mystere-iniquite/documents/chapters/documents_published/doc3/node71.html

montini qui cumule les casseroles, inutile d'y revenir ...... était aussi un adepte de la religion de la science ! C'est la science qui révèle ce fameux "esprit", qui semble n'être que l'energie physique qui anime la matière, mais devient force biologique, avec la vie apparue, puis "esprit" du dieu Homme.

+
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de stercore
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MessageSujet: Le Prophète des progrès de l'esprit humain   Le Prophète des progrès de l'esprit humain EmptyVen 9 Juil - 22:07

Il n’est pas inintéressant de noter que cette « religion de l’univers » inspirera le missel monti­nien: « Tu es béni, Dieu de l’univers ». Et qui est ce « Dieu de l’univers »?

Cher Luernos,

Le missel montinien n'est-il pas le missel de l'église conciliaire ? Cette église est, sans aucun doute, celle de Satan parce qu'elle n'est pas celle de Jésus-Christ.

Avec le nouveau pontifical et, bien sûr, la disparition du sacerdoce les autorités conciliaires permettront le missel de Roncalli ou élaboreront un missel encore plus nocif. Quand verrons-nous la fin de ce cauchemar infernal ?

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Dernière édition par de stercore le Sam 10 Juil - 11:25, édité 1 fois
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E-M Laugier
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MessageSujet: Re: Le Prophète des progrès de l'esprit humain   Le Prophète des progrès de l'esprit humain EmptyVen 9 Juil - 23:02

secte conciliaire, nouvelle "religion" moderniste conciliaire qui fonde son "église" moderniste et conciliaire en opposition à l'Eglise Catholique.

Aucun lien avec ces apostats qui n'ont jamais pollués les structures de l'Eglise Catholique et dont la hiérarchie (les apostats de la secte conciliaire) n'ont plus rien à voir avec la hiérarchie catholique.

le reste c'est de la dissertation
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luernos
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MessageSujet: Re: Le Prophète des progrès de l'esprit humain   Le Prophète des progrès de l'esprit humain EmptySam 10 Juil - 0:45


Les imposteurs et leur religion occupent l'Eglise comme un démon possède un homme, comme un cancer ronge le corps sain. Ils sont une substance autonome, qui n'a aucun lien avec l'Eglise, autre que cette occupation, cette intrusion qui est celle d'un d'un corps étranger, Le corps étranger est enfermé en lui-même. il a sa propre cause, sa propre finalité, sa propre identité substantielle, sa propre nature. Mais comme il est entré dans l'Eglise, il en exténue la Vie, en élimine ses éléments sains et saints, en démolit la structure, exactement comme lorsque notre corps est atteint d'une grave maladie.
Le cancer est bien dans l'Eglise mais le cancer et l'Eglise sont aussi étranger que le démon est étranger à Dieu.
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luernos
Sénéchal
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MessageSujet: Re: Le Prophète des progrès de l'esprit humain   Le Prophète des progrès de l'esprit humain EmptySam 10 Juil - 0:48

Cher de stercore,

Pourquoi disiez vous saint Gamaliel?
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de stercore
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MessageSujet: Le Prophète des progrès de l'esprit humain   Le Prophète des progrès de l'esprit humain EmptySam 10 Juil - 11:49

Pourquoi disiez vous saint Gamaliel?

Cher Luernos,

S'il est vrai que Gamaliel n'était probablement pas saint à l'époque où Saint Paul s'asseyait à ses pieds, on peut cependant croire que sa circoncision, son respect pour la loi mosaïque et sa droiture lui valait justification. Depuis fort longtemps, et aujourd'hui encore, l'Église Catholique le fête comme saint au 3 août.

de stercore sunny sunny sunny
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