A propos des vieux, des malades, des faibles: Sarko l'avait révé, l'Oncle Sam l'a fait (en plus radical, comme d'habitude, là-bas):
Le Département du Homeland Security [en français: le ministère de la Sécurité intérieure] créé par Bush-Cheney de même que les Centres de prévention et de contrôle des maladies et le département de la Santé et des Services sociaux ont collectivement rédigé des directives qui recommandent que dans le cas d'une «pandémie » ou d'une crise nationale, les vieux, les malades, les blessés graves et les pauvres doivent se voir refusés tout traitement médical pouvant leur sauver la vie.
Vous pouvez consulter tous les détails dans ce reportage [anglais] de l'agence «Associated Press » publié par le San Francisco Chronicle:
http://www.sfgate.com/cgi-bin/article
Les procédures proposées et destinées à servir de plan directeur aux hôpitaux d'un bout à l'autre des États-Unis, recommandent principalement que les personnes jugées à « haut risque de mort » et ayant une « faible chance de survie » ne doivent pas recevoir les services et les « ressources limitées, » tels que prescrit par les responsables désignés.
De manière précise, ceux qui n'auront pas droit à cette aide seront:
- Les personnes âgées de plus de 85 ans;
- Les personnes souffrant de traumatismes graves, incluant les blessés à la suite d'accidents ou de fusillades;
- les grands brûlés;
- les personnes souffrantes de troubles mentaux (la maladie d'Alzheimer);
et
- les personnes souffrant de maladies chroniques pulmonaires, cardiaques et de diabète.
Autrement dit, les personnes les plus défavorisées seront abandonnées à leur sort.
Depuis maintenant plusieurs années, nous avons été témoins de l'éviscération et de la militarisation des États-Unis de même qu'au recours systématique du contrôle total de la population: la création du « Department of Homeland Security, » l'anéantissement des droits et des libertés civiles, les élections fabriquées, l'espionnage des citoyens dans son propre pays de même que les réductions et le rationnement de plus en plus agressifs des services sociaux et de santé.
Alors que le monde sombre de plus en plus profondément dans la crise (qu'elle soit fabriquée ou naturelle), en passant par l'interminable guerre mondiale, par des bouleversements économiques allant jusque à des pénuries énergétiques et alimentaires, ce nouveau plan est une nouvelle preuve que les pouvoirs en place sont en train de préparer (et/ou de planifier) une réduction de la population.