Comment expliquez-vous cela ?

Une nouvelle loi autorise désormais la mère qui a fait une fausse couche à lui donner un nom (?), à le déclarer à l'état civil, et sur son livret de famille.

Or nous savons que pour le Système, le foetus ayant jusqu'à huit mois et vingt neuf jours, la veille de sa venue au monde , N EST RIEN ! une chose qui n'a aucun nom dans aucune langue. Et ceci tant qu'il n'est pas venu au monde. D'ailleurs, sa mère peut l'expulser quand elle le veut, la loi ne fixant un terme variable selon les pays qu'en fonction de la santé de la mère.
Après marchant sur les traces sinistres de la France, fille ainée de l'Eglise, nous voyons l'Espagne des Rois catholiques marcher sur ses traces et légaliser les pires abominations.

En apparence cela paraîtra contradictoire.
Certains , comme le journal Présent, croient y voir avec naïveté, ou pire , la reconnaissance que le foeteus serait reconnu malgré tout comme un être humain...

En réalité, la raison invoquée est la compassion pour la mère ; c'est pour lui permettre de faire son deuil. Par conséquent, la contradiction serait résolue par la volonté souveraine de la mère. C'est sa volonté luciférienne qui donne une identité à quelque chose qui n'a en soi aucune nature, aucune identité.

Oui, ça déraille complètement...

Le système déraille de plus en plus.

Luernos a dit :

Citation :

En réalité, la raison invoquée est la compassion pour la mère ; c'est pour lui permettre de faire son deuil. Par conséquent, la contradiction serait résolue par la volonté souveraine de la mère. C'est sa volonté luciférienne qui donne une identité à quelque chose qui n'a en soi aucune nature, aucune identité.

C'est l'inversion. Ce n'est plus Adam qui nomme ce qui est vivant, ce sont ses fil(le)s qui nomment ce qui est mort.

Voir la signification de l'acte de nommer dans la Genèse.

C'est aussi générateur de dissonances cognitives chez la mère et les parents en général et partant, de troubles psychiques.

On se sert des sciences humaines pour nous déboussoler.

Le système sait bien ce qu'il fait.

Après l'anéantissement du surnaturel, l'anéantissement du naturel (pour le cas où le surnaturel voudrait revenir). Ca fait longtemps que c'est prévu dans les temples maçonniques et les synagogues.

C'est aussi une chose à rapprocher de la réforme du nom patronymique de l'enfant, qui naît désormais sans caractère légitiime naturel ou adultérin à la naissance.

En foi de quoi, le nom donné peut être celui de la mère. Ceci a un impact considérable . Un impact symbolique disent les psy. Mais aussi un impact moral et et sociologique.
Que le père porte le nom, ou soit identifié comme le fils de N, son père, est d'une vérité considérable. Cela fait partie des contrepoids culturels nécessaires à la particiipation du père et de l'homme,, non pas "égale" , mais proportionnér à l'apport naturel, respectif et très différent, du père et de la mère à l'enfant.



Sur DLV on avait parlé de la contractualisation du mariage, et de sa pacsisation ! Tout se tient.

A noter que si l'on donne équivalament le patronyme du père ou de la mère, tout arbre généalogique deviendra infaisable et donc la lignée, la race en français classique, deviendra opaque pour la plupart des français dans l'avenir.

Ceci doublé du "on est tous fils d'immigrés", et de l'enseignement des races qui n'existent pas (sauf une!), du remplacement de l'histoire (objective) par la mémoire (affective et manipulable), demain le français ne saura plus s'il est français et de toutes façons, il s'en foutra droitdelhommesquement, parce qu'il sera élevé dans la crainte objective de la police de la pensée.

Oui, Luernos, tout se tient. Car le tissu du monde c'est la Vérité...