Tout le monde sait que, depuis 2007, une grave crise financière partie des États-Unis secoue les marchés mondiaux. Ses répercussions se font sentir partout dans le monde, même France, et s’échappent de la sphère purement financière pour ralentir l’économie réelle.
Peu de gens – même parmi ceux qui sont directement affectés – comprennent la vraie nature de cette crise. Ils sont prompts à fustiger les spéculateurs, les capitalistes, ou tout autre bouc émissaire désigné à la vindicte populaire par les journalistes français (qui votent à 80% trotskyste, rappelons-le)…
Or l’origine de cette crise se trouve dans certaines politiques adoptées par le gouvernement américain : le multiculturalisme, la discrimination positive, l’immigration de masse et la pression étouffante du « politiquement correct ».
En effet, la crise s’est déclenchée originellement sur le marché des crédits hypothécaires, c’est-à-dire des prêts accordés pour l’achat d’une propriété immobilière. Plus précisément dans le domaine des prêts « subprime », c’est-à-dire accordés à des emprunteurs dont on sait a priori qu’ils pourraient avoir du mal à rembourser.
Vous me direz : pourquoi prêter de l’argent à de telles personnes ? Parce que le gouvernement américain a tout fait pour encourager une telle imbécillité.
Steve Sailer révèle que la plupart des emprunteurs « subprime », ceux qui se sont révélés incapables de rembourser leurs dettes et ont plongé le monde dans la crise, sont en fait soit des Noirs américains, soit des immigrés mexicains.
Sous la pression du « politiquement correct », il est impossible à un cadre de banque prudent d’envoyer une circulaire à ses subordonnés disant de faire attention aux Noirs et aux Mexicains parce qu’ils ont statistiquement plus de chances de ne pas rembourser leurs dettes. C’est vrai, et cela devrait en théorie être un facteur important pour décider d’accorder ou non le prêt, mais vous imaginez les procès si une telle circulaire était découverte plus tard ?
Le Wall Street Journal a révélé la maxime favorite du gouvernement fédéral américain : « s’ils en sont propriétaires, ils ne le brûleront pas ». L’idée était d’encourager l’accession à la propriété des minorités les plus susceptibles de déclencher des émeutes – afin de réduire le risque de telles émeutes.
En quelque sorte, c’était une récompense donnée aux communautés ayant déclenché des émeutes, puisqu’elles allaient avoir droit à des prêts avec des taux d’intérêt plus avantageux que les autres communautés (par exemple : les Blancs) qui n’étaient pas considérées comme « à risque ». C’est ce qu’on a vu dans le 9-3, puisque les zones ravagées par les émeutiers attirent d’énormes subventions : on récompense le crime. Et après on s’étonne que le crime ne disparaisse pas…
Le gouvernement américain imposa des quotas aux organismes de crédit pour s’assurer que les prêteurs ne « discriminaient » pas envers les emprunteurs issus des minorités noire et mexicaine.
En 2002, le président Bush annonça un nouvel objectif : augmenter le nombre de Noirs et de Mexicains qui possèdent leur propre maison ou appartement par 5,5 millions avant 2010. Le résultat fut un « effort » de 440 milliards de dollars de la part des organismes de crédit en faveur des « minorités visibles ».
Le résultat de toute cette discrimination positive est que les Noirs et les Mexicains ont un taux de remboursement de leurs emprunts bien plus faible que les Blancs. Un jour ou l’autre, ils devaient mettre en difficulté les institutions qui leur avaient fait crédit. C’est ce qui est arrivé en 2007, et l’ensemble du système financier mondial en subit les conséquences aujourd’hui. Nul ne sait quand on sortira de cette crise.