« Betancourt a introduit une demande en divorce contre Lecompte, faisant valoir une séparation de corps de fait pendant une période de plus de six ans, soit deux années de plus que celle prévue par la loi » annonçait hier une revue colombienne.
Si cette nouvelle relance les spéculations sur les véritables conditions de la libération d'Ingrid Betancourt et les liens supposés avec certains de ces ravisseurs, la proposition a été rejetée par son mari selon qui « cette séparation n'a pas été volontaire mais survenue à la suite d'un cas de force majeure » avant de contre-attaqué pour obtenir que le divorce soit prononcé à la demande du mari.
Olé!!