... Toujours à la pointe du "progrès":
Soros plante son haschich.
L’affaire est révélatrice de la méthode de gestion de la crise que semble adopter l’oligarchie financière. Pourquoi ? Parce que… il y a les enjeux dont on nous parle, et ceux dont on ne nous parle pas.
Il y a d’un côté la propagande médiatique très étudiée qui voudrait nous faire croire que la légalisation du cannabis est un moyen pour Schwarzy de relancer le petit commerce en Californie. Témoin ce reportage hilarant nous présentant un ado attardé west coast pour qui le rêve américain, c’est de cultiver du hasch dans sa cave – le rêve américain, décidément, est en train de prendre une drôle de tournure…
Et il y a d’un autre côté la réalité de la détention des moyens de production en cannabis.
Des moyens de production qui ne se trouvent pas, évidemment, chez les petits commerçants du bizness, les fumeurs auto-producteurs et les ados malins avec une grande cave et du temps libre à occuper.
Des moyens de production qui se trouvent plutôt… dans ces milliers de kilomètres carrés de terre agricole propice à la culture du chanvre… ces milliers de kilomètres carrés acquis patiemment, depuis quelques années, par un certain George Soros.
En août 2008, l’association Solidarité & Progrès avait analysé la stratégie de lobbyng pro-hasch de Soros au Brésil. En septembre 2008, on a appris que Soros avait fourni 400 000 dollars à un comité soutenant la proposition de décriminalisation au Massachusetts. Une recherche sur Internet vous permettra de relever des dizaines d’articles traitant de cette stratégie, que Soros déploie pratiquement dans tous les pays du monde où il possède une quelconque influence (c'est-à-dire à peu près partout, sauf en Chine). C’est une stratégie de longue haleine : dès 2003, le Libre Journal du regretté Serge de Beketch analysait comment certains « bobards » relatifs au rôle du cannabis dans la Bible avaient été répandus, sur la base d’une recherche étymologique orientée, par les médias contrôlés ou influencer par des amis notoires du méga-spéculateur.
Ce qui est intéressant, c’est de relever les phases de l’opération qui se déroule sous nos yeux, car elles disent quelque chose sur les mécanismes que l’oligarchie tente d’activer, pour prendre appui sur la crise, afin de renforcer son pouvoir :
UN. L’Etat de Californie (potentiellement un des plus riches du monde) est mis en faillite par une politique absurde, promue par les membres de l’oligarchie (qui chargent un acteur de jouer les politiciens, comme pour bien faire comprendre que les élections, c’est du théâtre).
DEUX. Cet Etat en faillite se tourne vers la population et propose une mesure qui va aboutir, prétend-il, à faciliter le business des petits artisans, petits commerçants (au prix, il est vrai, d’une remise en cause de certaines normes sociales… mais bon, le business avant tout !)
TROIS. Il est évident que notre ado américain attardé ne peut cultiver du cannabis de manière rentable, dans sa cave, que parce que le marché n’est pas libre. Une fois que la prohibition sera levée, les milliers de kilomètres carrés de bonne terre à chanvre détenus par Soros vont pouvoir commencer à inonder la Californie de Hash, et les prix vont s’écrouler.
QUATRE. Notre ado attardé devra constater un jour que son « rêve américain » implose, et pour se consoler, il n’aura plus qu’à fumer… le cannabis de George Soros !
Personnellement, je trouve assez juste, au fond, que ce naïf se fasse exterminer économiquement d’abord, au niveau de la santé ensuite, par un super-prédateur comme Soros. D’une certaine manière, c’est de la prophylaxie…