Réchauffement climatique

Pour ceux que ça intéresse, je viens de traduire un petit document d'un certain Henrik Svensmark (à vos souhaits...) qui bat en brèche les hystériques prébendés de l'effet de serre. Ils peuvent me le demander à l'adresse suivant: yvan@scaletrans.com

Voila, à peu près, ce que je pense du problème:



"Le CLIMAT se DEGRADE, IL N'Y A PLUS DE SAISONS...

C'est du moins ce que dit l'homme de la rue, non sans raison sans doute. Mais la mémoire est oublieuse. Ces brutaux changements climatiques sont périodiques, les archives de Météo France en témoignent qui rappellent que l'on a déjà connu cela. Il n'empêche : lorsque les politiques, s'appuyant sur certains hommes de science, nous assurent que “ la planète se réchauffe ” et que cela est dû à “ l'effet de serre ”, on les écoute d'une oreille attentive. Voilà, au moins, une explication qui révèle pourquoi on a les pieds dans l'eau au mois de juillet et que l'on se promène en chemisette au mois de mars. Explication qui suscite l'inquiétude car les mêmes ajoutent que, “ si 1’on ne fait rien, nous allons droit à la catastrophe ”, voire à la fin du monde...

QU'EN EST-IL EXACTEMENT ?

Le réchauffement de la planète est-il avéré ? Et, si c’est le cas, est-il dangereux pour nous ?
Ce n'est pas que nous soyons des admirateurs béats de la société industrielle ou que nous ne croyions pas que l'homme, dans son aveuglement et ses erreurs, soit capable de détruire ou d'abîmer gravement la Terre. Mais nous ne croyons pas à un âge d'or d'avant la société industrielle qu'il faudrait ressusciter à coups de réglementations étatiques ou supra-nationales. Nous ne pensons pas que l'effort de l'homme pour “ dominer la Terre ”, comme le dit la Genèse, ait engendré plus de maux que de biens. Nous constatons seulement que le progrès technologique s’accompagne trop souvent d’une régression morale… N'étant pas des scientifiques, nous nous appuierons sur les travaux de ceux qui ont étudié sérieusement la question, c'est-à-dire sans a priori idéologique et sans censurer ce qui est “ écologiquement incorrect ”.
Fin 2000, il a été annoncé en ouverture du sommet international de La Haye sur le climat que la température terrestre allait augmenter de 2°C au XXIème siècle. Au cours de la session, on révisa ce chiffre à... 6°C. Trois fois plus ! C'est dire si, dans ce domaine, règne l'approximation. Pourquoi ? D'abord parce que l'idée d'une “ moyenne climatique ” globale n'a pas beaucoup de sens. En climatologie, un climat, par définition, est local. Si l'on en croit Météo France, la température moyenne en France, en l'an 2000, s'est élevée à 12,9°C. Mais aucun Français n'a subi cette température uniformément pendant l'an 2000. C'est la même chose au niveau de la planète.
Le professeur Marcel Leroux, professeur au laboratoire de géographie physique de l'université Jean-Moulin à Lyon, travaillant à partir des données observées, explique qu'en Islande, la côte Ouest tend à se refroidir et la côte Est à se réchauffer. Que doit-on dire : que l'Islande se réchauffe ou qu’elle se refroidit ? Sur le plan des pays, l'Ukraine s'est réchauffée de 2°C depuis un siècle tandis que la Scandinavie perdait 1°C pendant la même période. Selon nos “ experts ” écologistes, il faudrait donc affirmer que cette partie de l'Europe s'est réchauffée de 1°C en un siècle (+2°C en Ukraine - 1°C en Scandinavie = + l°C) ? Cela n'a pas plus de sens que d'additionner des navets et des carottes.
Sur la base de 20 000 mesures effectuées depuis 1960, le CNRS a constaté que le pôle Nord, loin de se réchauffer, se refroidit !
Il est néanmoins vrai que l'on constate des variations climatiques qui nous déconcertent ou auxquelles nous n'étions pas habitués. Mais nous observons ces effets en un point de l'espace terrestre et à une époque donnée, la nôtre. Nous les observons avec une attention accrue car, depuis 50 ans, nos moyens de mesure sont plus précis. On a toujours l'impression, à toutes les époques, qu'avant c'était mieux, que le cycle des saisons était harmonieux. Les variations climatiques existent depuis que la Terre elle-même existe, elles obéissent à des cycles qui nous dépassent. Notre planète et le système solaire avec laquelle elle est en perpétuelle interaction est une réalité vivante, mouvante, changeante.
Il y a d’abord les subtiles variations de la course de la Terre autour du soleil qui expliquent les variations climatiques, notamment les légères modifications de l'orbite. Ces variations obéissent à trois cycles de 100 000 ans, 2 000 ans, et 41 000 ans. Ces cycles ont déterminé les grandes glaciations depuis 2 millions d'années.
Ensuite, c'est l'activité solaire en elle-même qui se modifie légèrement tous les onze ans. Le Hadley Center, en Grande-Bretagne estime que le Soleil est, à lui seul, responsable, d'une élévation de la température de 0,2°C en... cent ans, soit 25% à 50% de la hausse globale estimée. Ces mouvements erratiques du Soleil agissent sur la circulation des océans qui affecte la distribution régionale des climats. Marcel Leroux constate : “ Partout le temps devient de plus en plus irrégulier, sévère, violent. ” Mais que conclut ce scientifique ? “ Le risque naturel s'accroît ”. Risque “ naturel ”... Pourtant, l'explication idéologique veut y voir d'autres causes.
Depuis le début du XXème siècle, avant l'essor spectaculaire de la civilisation industrielle, la température terrestre s'élevait déjà. Les États-Unis, d'où nous viendrait tout le mal, n'étant encore qu'une société à dominante agricole. On notera que les pourcentages que nous livrons sont des évaluations, des extrapolations que les vrais savants n'avancent qu'avec modestie, ne sachant pas plus que nous si demain la Terre risque de devenir un glaçon ou une fournaise. Il existe même un rapport de l'ONU où l'on peut lire: “ Aucun élément scientifique ne permet en l’état actuel de la connaissance de prévoir l'évolution du climat. ” Et il n'y a aucun moyen ni aucun endroit où l'on puisse prendre la température globale de la Terre, comme on le fait pour un être humain. Mais même si cette hausse de la température globale était avérée, elle n'aurait rien d'irréversible : elle serait suivie d'un autre cycle, que la plupart d'entre nous ne verrons pas, de refroidissement. Si l'on considère que la Terre a été formée il y a plus de 4 milliards d'années, que valent les études, les statistiques et les prévisions réalisées sur un siècle seulement ?

L'EFFET DE SERRE EN QUESTION

Mais, puisque ce réchauffement ne provient pas entièrement des cycles solaires naturels, l'homme n'est-il pas responsable du reste ? N'est-ce pas l'effet de serre qu'il faut incriminer ? L’industrie humaine produisant de plus en plus de dioxyde de carbone, n’accentue-t-elle pas l’effet de serre naturel qui provoque lui-même un réchauffement de la planète ?
Ce qui est incontestable, c’est que l'humanité produit de plus en plus d'oxyde de carbone. La raison en est simple : il y a de plus en plus d'êtres humains... qui respirent. Respirer, c'est absorber de l'air pour rejeter de l'oxyde de carbone. En ce sens, l'homme est, en effet, le premier pollueur. Et si on voulait lui appliquer le principe politico-moral de “ pollueur-payeur ”, il faudrait taxer chacune de nos expirations. Un homme écologiquement correct serait donc un homme mort.
On constate, en effet, que le niveau de dioxyde de carbone (ou gaz carbonique) augmente et que l'effet de serre existe. Mais on n'a jamais pu établir une corrélation entre les deux. Ce n'est pas parce que deux phénomènes sont concomitants que l'un est forcément la cause de l'autre. C'est comme cela, dit-on, qu'un malheureux Japonais, en tirant sa chasse d'eau, à Hiroshima, au moment où la bombe atomique explosait, a longtemps cru qu'il avait provoqué le phénomène...
Parfois la température augmente et le taux de dioxyde aussi, parfois ce dernier baisse… De même, cette variation de dioxyde n'est pas liée mécaniquement à l'activité industrielle. L’Ademe, le très officiel organisme français (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), a constaté, en juin 2001, que malgré une activité industrielle accrue en 2000 : “ les émissions de gaz carbonique liées à l'énergie n'augmentent pratiquement pas relativement à 1999. ”
Mais l'effet de serre n'a pas pour seule cause la diffusion de dioxyde de carbone : elle n'y entre que pour un tiers. Dans ce tiers-là, 5% seulement proviennent de l'activité industrielle ; le reste des hommes, des animaux, des plantes, de la nature. L'autre cause de l'effet de serre, c'est le méthane. Curieusement, on n'en parle guère. Tout est concentré sur le gaz carbonique. Pourquoi ? Parce que le méthane est essentiellement produit par les vaches (à travers leurs flatulences) et les rizières. Mais là, il faudrait s’attaquer aux pays en voie de développement ainsi qu’à l’Inde et à la Chine. Or les campagnes contre l'effet de serre semblent n’avoir pour SEUL objectif que de mettre les grandes nations industrialisées à l’amende. (…)

LA TERRE “ SE RÉCHAUFFE ” ? ET ALORS!

En considérant comme acquis l'hypothétique réchauffement de la Terre, lequel serait dû à l'effet de serre, serait-ce forcément un mal qu'il faudrait combattre pour le salut temporel de l'humanité ? C'est ce qu'on nous répète, en insistant sur l'urgence qu'il y aurait à réagir. Pourtant, pour Marcel Leroux, le spécialiste très incorrect de l'université Jean-Moulin, jamais convoqué d'ailleurs dans les colloques officiels, si le climat se réchauffe “ les avantages seraient considérables : la production agricole augmenterait dans la région nordique et il pleuvrait enfin sur les régions sahéliennes. ” Mais, en contrepartie, ne verrait-on pas des pays entiers disparaître sous les océans ? Pas du tout, réplique-t-il : “ Les modèles climatiques indiquent que, dans ce cas, la pluie, certes, augmenterait. Il y aurait plus d'eau sur les continents mais ni les Maldives, ni le Bangladesh - présentés comme menacés par les adeptes du réchauffement - ne seraient menacés, car le niveau des océans resterait inchangé. ” Un glaçon qui fond, même dans un verre de Pastis, n'a en effet jamais fait augmenter le volume d'eau !
On le voit bien, le thème du réchauffement de la planète illustre parfaitement la façon dont la science peut être récupérée par la politique, comment certaines données scientifiques sont l'objet d'un tri sélectif pour les faire coïncider avec des visées idéologiques."

L’immense battage médiatico-politique qui entoure les prédictions du GIEC sur l’évolution future du climat terrestre est troublé par des voix discordantes.



Les experts du GIEC produisent un rapport scientifique relativement nuancé, qui est ensuite résumé à destination des politiques dans un sens alarmiste et présenté comme une certitude incontestable par les médias.


Le Monde y voit une opération de communication écologiste réussie, tout en embrayant sur les changements de comportement et les décisions politiques qui devraient suivre.


Tout ceci est fortement contesté par un grand nombre de scientifiques tels que Marcel Leroux, ou qui critique la théorie générale du climat en vigueur dans une analyse de cyclones et tempêtes de l'Atlantique. Les signataires de cette pétition qui constatent que le raisonnement du Giec est fondé sur l’idée de modélisation mathématique de l’atmosphère alors que ces modèles ne fonctionnent pas sur des données du présent et que l’augmentation constatée des températures vient en grande partie du fait qu’elles sont mesurées dans des villes, qui créent une bulle de chaleur autour d’elles. Seules les données qui vont dans le sens du réchauffement sont mises en valeur, au service d’une politique mondiale imprécise.

Merci Ar-Ka de cette démonstration de bon sens. La mauvaise foi des porte parole des tenants de l'effet de serre "anthropique" est d'ailleurs facile à repérer. Il y a quelques jours encore, on prenait Jean Jouzel (l'un des principeaux prébendés Français de la chose, avec son air matois) en flagrant délit de mensonge: sommé par Yves Calvi (relativement objectif ce garçon) de résumer succintement l'opinion des scientifiques à propos de l'effet de l'activité solaire sur le réchauffement, il en a présenté une version totalement tronquée et ridicule.
Pour finir, on peut quand même constater que le petit âge glaciaire (15ème-18ème siècle) correspond bien à un minimum d'activité solaire dit "minimum de Maunder".

Oui, j'ai bien l'impression que toute cette affaire n'est qu'une n-ième tentative de contrôle des foules, témoin cet appel que je viens de trouver, et qui vient en point d'orgue de cette vaste manipulation médiatique:



"L’Alliance pour la Planète, groupement national d’associations environnementales(?) lance 5 minutes de répit pour la planète, un appel simple à l’attention de tous les citoyens :
le 1er février 2007 entre 19h55 et 20h00, éteignez veilles et lumières.

Il ne s’agit pas d’économiser 5 minutes d’électricité uniquement ce jour-là, mais d’attirer l’attention des citoyens, des médias et des décideurs sur le gaspillage d’énergie et l’urgence de passer à l’action ! 5 minutes de répit pour la planète : ça ne prend pas longtemps, ça ne coûte rien, et ça montrera aux candidats à la Présidentielle que le changement climatique est un sujet qui doit peser dans le débat politique."

agiter des angoisses millénaristes en évoquant des sujets sur lesquels ont ne sait rien de sérieux

ce serait l'essence de journalisme .

le premier fevrier j'allume toute les lumières les appareils a gogo et je laisse tourner le moteur


si ils etaient intelligent ils auraient dit: "ne prenez pas vos voitures" ça pollue plus que la lumière d'origine nucleaire

En plein débat avec l'un de mes frères sur le sujet. Il s'est laissé dire que si le rechauffement dépendait de l'activité solaire, nous serions en léger refroidissement. Manque de pot, j'ai eu à traduire un document traitant de l'environnement spatial pour l'ESA, dans lequel il était écrit noir sur blanc que l'activité solaire (solar events) était anormalement élevée et qu'on devait en tenir comte pour la protection des hommes et équipements dans l'espace. L'argumentation des tenants de l'effet de serre "anthropique" est farcie de contradictions, mais personne n'en tient compte car le lobby contrôle tous les me(r)dias. On finit par dire des gros mots, excusez moi.

en fait
les periodes de rechauffement
seraient anonciatrices
d'une nouvelle ère glaciaire

le prophetique "Jour d'APrès "l'expliquait
pas seulement une fiction

dans les régions froides de France, personne ne croit au réchauffement mais plutôt à l'amplification de la continentalité du climat !!! les étés sont caniculaires en juillet et généralement dégueus en aout, et les hivers sont très très froids depuis quelques années. Je disais ailleurs que la météo racontait volontairement n'importe quoi, j'ignore dans quel but. Elle a par exemple annoncé depuis 3 ou 4 jours qu'il fait entre 0 et 5°C à Clermont Fd, alors qu'en réalité il fait toujours entre -10°C et -5°C... ça ne remonte pas. Les deux fameux jours où ils ont annoncé qu'il faisait -5°C il a fait -15°C en réalité sur la fenêtre de ma cuisine, donc à l'abri !!! et cela en pleine journée. Donc le réchauffement, à d'autres, on en la fait pas aux auvergnats !

trollage

Une « Super-tempête » balaye l'hémisphère nord suite à une énorme éruption solaire

par Sorcha Fa
dialisation.ca, Le 22 janvier 2007



Des scientifiques russes se sont alarmé la semaine dernière après qu’une
gigantesque super-tempête sans précédent ait frappé l'hémisphère nord
entier de notre planète, répandant mort et destruction.

Depuis les tempêtes de vent records assaillent l'Europe du Nord et les Iles britanniques ; jusqu’à la destruction des récoltes de citrons en Californie ; jusqu’aux dévastatrices tempêtes de neige et de glace assaillant toujours le continent Nord-Américain du Golfe du Mexique aux provinces maritimes canadiennes ; selon les rapports scientifiques russes, à aucun moment de l'histoire enregistrée notre monde n’a connu un tel temps catastrophique à une échelle globale pareille sur une période aussi courte.

Le directeur de l'observatoire de Pulkova en Russie, le Docteur en Sciences Habibullo Abdusamatov, a rendu responsable de cette « super-tempête » ce qu'il dit être un « énorme déséquilibre électrique » [1] créé par l’interaction de la « Comète Red Cow », qui traverse actuellement l’intérieur du Système Solaire, avec le Soleil, causant le 15 janvier 2007 une gigantesque éruption dans la chromosphère sur la face opposée du Soleil.

Abdusamatov a d’ailleurs averti les scientifiques occidentaux, et les gouvernements, qui cachent à leurs citoyens les pleines conséquences,
et les dangers, de la montée des températures sur la Terre, que
l'Occident continue à attribuer à l'activité humaine qui élève les
niveaux de gaz à effet de serre (CO2), mais que Abdusamatov déclare
être dues en réalité à des déséquilibres sur notre propre Soleil.
Abdusamatov a de plus prévenu que ce n’est pas seulement notre Terre qui se réchauffe, mais également les autres planètes du Système Solaire [2],
et que le plus grand danger à long terme n’est pas que notre monde poursuive son réchauffent, mais à la place qu’un refroidissement exceptionnel commence à s’abattre sur nous : «Le réchauffement global ne résulte pas de l'émission de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, mais d'un niveau exceptionnellement élevé du rayonnement solaire et d’une longue montée de son intensité -- durant presque tout le siècle dernier. » « Ce n'est pas un secret que l’élévation de la température des océans du monde déclenche l'émission de grandes quantités d'anhydride carbonique (CO2) dans l'atmosphère. Ainsi l’opinion commune que l’activité industrielle de l’homme est le facteur décisif du réchauffement global a surgi d'une fausse interprétation des relations de causes à effets. »
«L’attribution de l’effet de serre chaude aux propriétés de l'atmosphère
terrestre n'est pas scientifiquement corroborée. Les gaz de serre
chauffés, devenant plus légers en raison de leur dilatation, montent
dans l'atmosphère et ne font qu’absorber de la chaleur [ou plutôt ils
ne font que réverbérer la chaleur solaire]. »
« Au lieu du réchauffement global prétendu, la Terre fera face à une diminution lente des températures en 2012-2015. La chute graduelle des quantités d’énergie solaire, prévue atteindre son niveau inférieur en 2040,
mènera inévitablement à un gel profond autour de 2055-2060, » a dit
Abdusamatov, ajoutant que cette période de gel global durera 50 ans,
après quoi les températures remonteront. »

Le soutien de la recherche d’Abdusamatov n’était pratiquement par rapportée dans l'interruption occidentale des eaux du Gulf Stream dans l'Océan Atlantique le 11 décembre, qui a duré 8 jours, se terminant le 19 décembre, et qui a vu cet énorme courant océanique tourner soudainement aux sud de son modèle normal [qui va] vers les eaux du nord de l’Europe.
Ces rapports détaillent en outre que, si les eaux du Gulf Stream cessent
entièrement de couler vers l'Europe une situation catastrophique s’abattra sur le continent causant d’immenses pénuries de récoltes et d’énormes déplacements d'européens vers les nations du sud de l'Union Européenne.
Aucune nation n'est peut-être plus affectée par tous ces événements que les USA après leurs énormes pertes de récoltes en Californie, arrivant sur les pertes massives de récoltes de l’été dernier, comme nous l’avons précédemment rapporté dans notre rapport du 26 août 2006 intitulé « La dévastation apparaît pendant que l'économie US implose au milieu du presque total échec des récoltes en Amérique du Nord ».

Plus dérangeant, cependant, demeure la propagande médiatique qui impose aux étasuniens le renforcement des mesures répressives de leurs responsables militaires, qui croient qu'en gardant la vérité sur l’état épouvantable de notre monde ils conjureront la panique de masse avant
qu'ils soient prêts à établir pleinement les mesures d'un État policier contre leurs citoyens. Le plus grand danger demeure donc pour ces peuples le manque de connaissance suffisante sur ce qui va arriver, ils resteront ce qu’ils sont maintenant, non préparés et ignorants des véritables dangers leur faisant face.

Original : www.whatdoesitmean.com, le 21 janvier 2007
Traduction de Pétrus Lombard

Alors, c'est du chaud ou c'est du froid ?

Figurez-vous qu'il y a un peu plus d'un quart de siècle, c'est le refroidissement qui nous guettait ! En témoigne l'article suivant, paru dans Newsweek en 1975 :


"Alors que durant trois quarts de siècle nous avons connu les conditions extraordinaires d'un climat tempéré, le fait majeur aujourd'hui semble indiquer que nous allons vers un refroidissement généralisé. Les climatologues sont cependant en désaccord concernant à la fois la cause et la durée de cette tendance au refroidissement et à la fois son impact sur les conditions locales du climat. Mais ils sont presque tous d'accord sur le fait que cette tendance va réduire la productivité agricole jusqu'à la fin du siècle. Et si le climat se met à changer aussi durablement que le prévoient les plus pessimistes d'entre eux, les conséquences, en terme de famine, deviendront catastrophiques.
(...) D'autres observent ce refroidissement comme le retour vers les conditions du "petit âge glaciaire" avec ces hivers rigoureux qui ont glacé l'Europe et le nord américain entre 1600 et 1900, à une époque où la Tamise était si solidement gelée que les londoniens faisaient des barbecues sur la glace et que les bateaux briseurs de glace naviguant sur l'Hudson allaient au sud jusqu'à New York.
(...) Les climatologues sont pessimistes quant à la volonté des leaders politiques de prendre des décisions permettant de contrebalancer les changements climatiques, voire d'en ralentir les effets. Ils admettent néanmoins que l'une des plus audacieuses solutions proposées, telle que faire fondre la calotte glacière en la recouvrant de suie noire ( ) ou encore détourner les fleuves de l'Arctique peuvent créer de bien plus grands problèmes. "
"The Cooling World", Peter Gwynne, Newsweek, 28 avril 1975

Un communiqué du MCCVs, le Mouvement Chrétien Conservateur Valaisan:


"L’effondrement de l’Union soviétique en 1991 a été salué par les gros media comme le triomphe de la démocratie, la fin de la tyrannie. En fait, les puissances, qui n’ont combattu qu’à fleuret moucheté les régimes communistes, persistent dans leur projet de gouvernement mondial par la diabolisation du nationalisme. Il est édifiant de voir marxistes et libéraux coalisés pour y parvenir. Comme l’a souligné Pascal Bernardin dans son ouvrage remarquable mais méconnu, l’Empire Ecologique, l’écologie subvertie et détournée de sa fin première est le moyen le plus apte à véhiculer une conception totalitaire et mondialiste.

L’effet de serre qui serait causé par l’homme devrait donc être combattu au niveau planétaire. Les réunions au sommet se sont succédé ces dernières années (Rio, Kyoto, La Haye). Récemment, du 29 janvier au 2 février 2007, 500 scientifiques du Groupement Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat se sont réunis à Paris et Jacques Chirac, en quête d’un rôle à résonance mondiale après sa retraite, a exigé la fondation d’une ONU-Ecologique qui seule serait en état de sauver la planète gravement menacée par l’homme. Il s’agit donc de contrôler avec minutie ses comportements.

Pourtant, d’éminents scientifiques tentent d’exprimer, dans la presse qui ose encore leur ouvrir ses colonnes, leur scepticisme face à la théorie du réchauffement causé par l’homme.

Claude Allègre, ancien ministre socialiste et géochimiste, exprime des doutes et en a fait part dans la presse dominicale du 13 mai dernier. Mais cette mise en accusation de nous autres humains est devenue un dogme, et l’anathème menace les hérétiques.

Timothey Ball, ancien professeur de climatologie à l’université de Winnipeg au Canada a même reçu à 5 reprises des menaces de mort et s’est fait traiter de négationniste comme ceux qui nient l’Holocauste. Ball relève que le dogme du réchauffement climatique dû à
l’homme est devenu une religion interdisant des explications divergentes.

Richard Lindzen professeur de science atmosphérique au Massachusetts-Institut of Technologie et le Dr. Miles Allen d’Oxford s’expriment dans le même sens.

La revue américaine Grist propose d’aménager contre ces nouveaux hérétiques un procès du même « style » que celui de Nuremberg contre les dirigeants nazis. En Allemagne comme en Angleterre, il s’agit d’exclure les scientifiques hostiles à la thèse officielle. Celle-ci est d’ailleurs systématiquement répercutée dans nos media.

La liberté d’expression, théoriquement garantie par notre Constitution et par la Convention européenne des droits de l’homme, tend à se rétrécir comme la peau de chagrin. L’éminent écrivain Alexandre Zinoviev constate que l’Occident, par la puissance de ses media et son envahissant appareil bureaucratique, est plus totalitaire que l’URSS à ses plus belles heures. Le réchauffement climatique vient s’ajouter à la liste déjà longue des sujets tabous: le racisme, le nationalisme, l’homosexualité, l’avortement, les effets de la fumée passive, l’histoire de la Suisse durant la dernière guerre, pour ne citer que quelques exemples. Comme l’a dit le philosophe Max Weber, nous sommes enfermés dans la cage d’acier de la société libérale. La consommation, le spectacle et le sexe absorbent à eux seuls l’attention du citoyen qui, contraint de vivre dans ce monde clos, est désarmé et induit à faire preuve de complaisance face à la pensée unique. Comme l’a dit Vauvenargues, la servitude abaisse les peuples jusqu’à s’en faire aimer."

Drakensbourg. Afrique du Sud. 22 mai 2007.

Mai 2007 : http://skyfall.free.fr

Citation :

- Denver a subi un des hivers les plus neigeux jamais enregistré
- Température océanique exceptionnellement froide en Californie
- Une famille bloquée par la neige en Oregon retrouvée saine et sauve
- Les autoroutes sont bloquées, les automobilistes coincés alors que la Chine est enterrée sous la neige
- Un goût de l'hiver ; pluie verglaçante et neige frappent le Canada
- Prévisions de forte neige dans les montagnes du Wyoming
- L'hiver arrive tôt en Australie et la saison de neige est prometteuse
- L'Afrique du Sud atteint 54 records météo pendant que la neige et la glace persistent
- Les premières neiges locales en Afrique du Sud depuis 33 ans frappent les plus pauvres
- Le froid provoque des pannes de courant à Prétoria
- 21 morts tandis que la vague de froid persiste en Afrique du Sud
- Les sans abris paient le prix du froid en Afrique du Sud
- Le froid affecte le commerce de légumes en Afrique du Sud

La nomination d'Alain Juppé à l'Ecologie suscite un refroidissement brutal, sensible et significatif de la planète.
Merci qui ? Merci Sarközy !

Le temps n'est ni au rechauffement ni au refroidissement (pour l'instant) c'est surtout une incroyable girouette.

Nous avons eu un hiver "doux" voir chaud par moment (20 degres en fin janvier s/Nimes )
Nous avons un printemps pluvieux, humide, entrecoupé de grosses chaleurs (30 degres)
Aurons nous un été glacial ?

La preuve définitive que le pseudo réchauffement climatique fait partie intégrante du Complot: Il s'agit d'une imposture planifiée EN 1961!!! (bien avant que les thermomètres n'aient constaté quoique ce soit de tangible! )

https://www.dailymotion.com/video/x7pzr4_rchauffement-climatique-une-impostu_news