2007

"En l'an 2007, les fruits, si l'on peut dire, du palier 1986-1990 seront mûrs, et l'humanité abordera une période agitée, dangereuse, très dangereuse, dominée par la menace catclysmique mondiale".

Seule prophétie de Pie XII avec une date, (in extenso).

Les prophéties du Pape Pie XII, par P. Boyer de Belvefer, Guy Trédaniel éditeur, 1988, page 72.

Pour mémoire... On verra si cette prophétie se réalisera en 2007...

On n'est pas obligé d'y croire surtout que l'abbé Zins ne l'a pas lue dans les Pères de l'Eglise.

Je n'ai lu que saint Augustin, saint Jérôme, saint Jean Chrysostome...
A peu près complétement.
Je n'y ai pas lu qu'un diacre en l'an 2000 expliquerait tout. Mais c'est peut-être dans un autre Père de l'Eglise.

Bonne année l'abbé !

Jean-Michel, à force de vivre avec l'abbé vous commencez à devenir un spécialiste du pilpoul...
Je dois vous manquer. Cinq jours absent et vous avez besoin de me questionner sur tant de points ?
Je vous conseille la lecture des pages 548-549 du tome 42 de la Darras !

Ma filleule a-t-elle reçu son cadeau de Noël ?
Bons baisers à tous.

Citation :

Ma filleule a-t-elle reçu son cadeau de Noël

Si ça fait comme avec la mienne pour son cadeau d'anniversaire...Retour à l'envoyeur . Décidement, la fréquentation de monsieur l'Abbé Zins, fait des dégats et tourne les coeurs en sus des têtes.

Reste les Messes, les Prières et les Sacrifices pour la petite, et ça, le Marrane-Gourou de service, n'y peut rien!

Pour ceux qui n'ont pas le tome 42 de la Darras, voici le texte :



Et ces catastrophes, annoncées dans les prophéties d’Ezéchiel, sont prédites aussi par les voyants de la nouvelle loi.

(…) des prophéties proprement dites de sainte Hildegarde sur le Saint-Siège ; de sainte Gertrude, de Marie Alacoque et de la mère Marie de Jésus sur le Sacré-Cœur ; de sainte Catherine de Sienne sur le triomphe de l'Eglise ; de saint Vincent Ferrier sur les apôtres des derniers temps ; du B. Grignon de Montfort sur l'exaltation de la Sainte Vierge ; de saint Léonard de Port-Maurice sur l'Immaculée-Conception ; d'Anna-Maria Taïgi sur Pie IX ; de Jean-Baptiste Vianney sur les malheurs de Paris ;

et à côté de ces prophéties, sur lesquelles l'Eglise a prononcé, d'autres prophéties, non encore canoniquement vérifiées : prophéties de Barthélemy Holzhauser(1), de la sœur de la Nativité, du P. Netchou, de la sœur Marianne de Blois, d'Anne-Catherine Emmerich, d'Elisabeth Canori-Mora, de l'abbé Souffrant, de Marie Lataste, de la sœur Rosa-Colomba, du P. Bernard-Marie Clauti, de Maria-Antonia del Senor, de la mère Alphonse-Marie de Niederbronn, de Marie Dubourg et de Madeleine Porsat (2).

Ce qu'ils annoncent tous, d'une manière peu voilée, ce sont les évènements de notre temps : les épreuves de l'Eglise et de la France, la persécution contre le chef de l’Eglise et l'éclipse momentanée de la puissance temporelle du Saint-Siège, le triomphe passager du schisme et de l'hérésie, puis leur défaite finale, la régénération de la France, le rétablissement du trône des papes et l'exaltation de la sainte église, plus tard, une grande révolution, le règne de l'Ante-Christ, à la fin le jugement de Dieu sur le monde (3).

(1) Note de LHR : On remarquera qu’Holzhauser est le premier nommé

(2) Note de Mgr Fèvre : Nous n'avons pas à nous expliquer, encore moins à nous prononcer ici sur ces voix prophétiques ; il suffit à l'histoire de constater le fait. Voir, au surplus, l’ouvrage intitulé : Voix prophétiques, touchant les grands évènements du XIXè, par l'abbé Curicque, prêtre du diocèse de Metz.

(3) Note de LHR : bien remarquer les temps : les épreuves…, la persécution…, l’éclipse…, le triomphe passager du schisme et de l’hérésie…, la défaite finale…, la régénération de la France…, la rétablissement du trône des Papes…, l’Exaltation de la sainte Eglise…, plus tard une grande Révolution…, le Règne de l’Anté-Christ…, à la fin le jugement de Dieu sur le monde.

Et la régénération de la France cela fonctionne comment ?

Avec un chef !

Comme le demandait un certain Paulus :
Ce qui nous manque, (...) c'est un chef : un chef qui voie loin, qui sache discerner le vrai combat, qui nous retire des faux combats, qui distingue les leurres et les écrans de fumée, et qui nous commande.

Et OUI ! Et un chef choisi comment ? pour répondre à la question de Paulus. Choisi par les financiers, comme aujourd'hui ? Choisi par les loges ? Choisi par des partis ? Car qui choisit les candidats ?

NON, évidemment. Choisi par Dieu, évidemment !
Comme Clovis, comme Charles VII, qui lors de combats miraculeusement victorieux ont prouvé qu'ils étaient bien le choix de Dieu.

C'est ce qu'a vu l'abbé Lémann quand il précise que le joug sera brisé par l'oint de Dieu, appliquant un passage de l'ancien Testament à la situation à venir, n'en déplaise au diacre Zins.

Il est cohérent d'appeler ce chef : le Grand Monarque.