On nous ressort le fantôme d'Al Qaïda

Vous avez sans doute entendu comme moi que les terroristes algériens se réveillent et se rallient à Al Qaïda. Français, tremblez !

LIESI a depuis longtemps analysé cette mise enscène. Voici un extrait du n° 79 de février 2005

2000-2004 : le paradigme de la « sécurité »

Le paradigme de la « sécurité » a été rendu possible par l'arrivée concomitante au pouvoir des « néo-conservateurs ». En effet, ils prennent le contrôle des Etats-Unis et d'Israël, hasard du calendrier, au même moment, en 2000 ! Certes, ce fut quelque peu laborieux aux Etats-Unis. On a dû manipuler les votes, mais quatre ans après, le brave peuple a oublié que la démocratie n'est qu'un paravent permettant à certaines puissances d'agir par l'intermédiaire de pantins. Ces néo-conservateurs ont un projet bien défini : construire un nouveau Reich et justifier des mesures sécuritaires leur permettant de verrouiller le pouvoir. Quels sont leurs « maîtres spirituels » ? D'anciennes relations d'A. Hitler : Léo Strauss pour les néo-conservateurs de Washington ; Vladimir Jabotinsky pour les néo-conservateurs de Jérusalem. Après avoir étudié le rôle de Léo Strauss dans l'ouvrage De l'intimidation des populations vers des régimes d'exception (18 €), LIESI a publié un document sur la personnalité de VI. Jabotinsky dans le catalogue de mars 2005.

De la prise du pouvoir aux « mesures sécuritaires ».

Comment permettre à ces équipes néo-conservatrices américaine et israélienne d'appliquer les mesures sécuritaires préparées ? Le grand ami de MM. Bush et Sarkozy, l'ancien ministre de la Justice américaine John Aschroft, explique : « II nous faudrait un grand boum pour les faire taire tous ceux-là... » Comment donc y parvenir ? Quelle sera la solution choisie ? Les attentats du 11 septembre 2001. En outre, comme nous sommes dans cette même mystique du Groupe de Thulé dont Hitler était membre, ils surviennent « par hasard » à une date bien particulière du calendrier occulte ! Le Patriot Act, rédigé bien avant le 11 septembre 2001 par les services de John Aschroft, entre immédiatement en application. La chasse aux sorcières commence... Pour Hitler c'étaient les communistes, pour Bush ce sont les islamistes.

Tous les services de renseignement savent aujourd'hui que les Américains et les Sionistes sont directement impliqués dans cet énorme montage. Mais comme tout ce monde a le petit doigt dans le complot, chacun doit garder un silence de mort. En tout cas, le paradigme de la « sécurité » est né.
La « stratégie de la tension » produit les effets escomptés dans d'autres pays. On fait accepter plus de police, plus
de répression contre moins de liberté... au nom de la « sécurité ».

Suite du n° 79 de LIESI :

POUR LA BBC, AL QAÏDA N'EXISTE PAS !

Alors que quatre ressortissants britanniques détenus à Guantanamo viennent d'être renvoyés au Royaume-Uni par la justice d'exception états-unienne, puis libérés par les tribunaux de Sa Majesté sans que soit retenue une quelconque charge à leur encontre, la BBC rediffuse depuis quelques jours un documentaire mettant en cause l'existence même d'AI Qaïda. Documentariste reconnu, Adam Curtis s'applique, dans une série de trois films d'une heure intitulée The Power of Nightmares : The Rise of Political Fear (Le Pouvoir des cauchemars : la montée de la peur politique), à démonter les mécanismes de construction de la psychose antiterroriste orchestrée par les gouvernements de George W. Bush et Tony Blair. Selon lui, l'idée d'une menace terroriste globale « est un fantasme qui a été exagéré et déformé par des hommes politiques. C'est un sombre mirage qui s'est diffusé sans être débattu auprès des gouvernements du monde entier, mais aussi des services de sécurité et des médias internationaux ». Le film montre qu'aucune preuve tangible n'est jamais venue crédibiliser l'existence d'un réseau terroriste islamiste unifié tel que défini par la Maison-Blanche, et que les bases secrètes d'Oussama Ben Laden n'ont pas plus de réalité que les armes de destruction massive de Saddam Hussein. Pour son auteur, la rhétorique Al Qaïda est un artifice de communication, une manœuvre des néo-conservateurs pour tenter de construire de toute pièce un nouvel « Empire du Mal » après la chute de l'Union soviétique. 108 Etats ont déjà déclaré ne jamais avoir observé sur leur territoire quoi que ce soit qui valide l'existence d'«AI Qaïda» et ne pas se sentir concernés par cette prétendue menace planétaire. (Source : Réseau Voltaire du 28.01.05) LIESI ne l'avait-il pas prouvé dès mars dernier dans l'ouvrage 11 mars 2004 : Attentats de Madrid - De l'instabilité à l'intimidation des populations (15 €) ?

Une preuve convaincante

Mounir Motassadek est la seule personne à avoir été reconnue coupable d'implication dans les attentats du 11 septembre 2001 qui ont fait de nombreuses victimes ; des personnes jugées sans importance. En revanche certains cadres furent prévenus la veille par téléphone de ne pas se rendre à leur travail. C'est du moins ce qui est arrivé à l'un de nos correspondants travaillant au World Trade Center à cette époque !
Il y a deux ans Mounir Motassadek fut condamné à quinze ans de prison, mais le jugement a été cassé en mars dernier. Ses avocats veulent vraisemblablement interroger le ministre allemand de l'Intérieur, Otto Schily, sur les efforts déployés pour obtenir des autorités américaines des documents relatifs à des membres du réseau Al Qaïda, auquel les attentats sont imputés. Otto Schily a dit récemment que les Etats-Unis devraient transmettre d'autres documents. Dans la foulée, le juge
Ernst-Rainer Schudt a déclaré qu'il attendait toujours une réponse à une demande d'information formulée après le témoignage, le mois dernier à Hambourg, de Matthew Walsh, un agent spécial du FBI. Ce dernier avait refusé de répondre à de nombreuses questions et conseillé au tribunal de demander au Département américain de la Justice de lui donner accès à ces informations, tenues secrètes pour des raisons de « sécurité ».

La Cour de cassation allemande a estimé l'an dernier que des éléments potentiellement importants émanant de dirigeants d'AI Qaïda détenus par les Etats-Unis n'avaient pas été fournis lors du premier procès ! Rappelons que, pour les média, Motassadek serait lié à un groupe d'étudiants étrangers de Hambourg gravitant autour de Mohammed Atta, auteur présumé du détournement du premier avion qui a percuté le World Trade Center. Un autre membre de ce groupe, Abdelghani Mzoudi, a été acquitté faute de preuves suffisantes lors d'un autre procès... Berlin et Washington se sont rejeté mutuellement la responsabilité de cet acquittement.

Citation :

une manœuvre des néo-conservateurs pour tenter de construire de toute pièce un nouvel « Empire du Mal » après la chute de l'Union soviétique. 108 Etats ont déjà déclaré ne jamais avoir observé sur leur territoire quoi que ce soit qui valide l'existence d'«AI Qaïda» et ne pas se sentir concernés par cette prétendue menace planétaire

et pour cacher le réel l'Empire du Mal qu'ils construisent

On a l'habitude. Déjà, autrefois "ils" avaient monté le mythe de l'organisation Odessa...La Pieuvre noire.

Plus c'est gros, mieux ça marche. Faut dire que vu le niveau intellectuel des masses Yankees et leur manichéisme politico-religieux...Toute mayonnaise prend!!!