Quand Rockefeller se lache...

Russo est un milliardaire du show-biz états-unien (il fut le producteur entre autres de groupes et d’artistes aussi connus que The Who, Jefferson Airplane et Bette Midler — le film The Rose, c’était lui) reconverti dans la production de films et de documentaires à caractère politique. Il fit sans succès campagne en 1998 dans les rangs républicains pour le poste de gouverneur de l’État du Nevada. En l’an 2000, il a soutenu le parti libertarien. C’est donc loin d’être un ami, mais ce n’est pas une raison pour ne pas écouter ce qu’il a à dire.

En traitement contre le cancer, cet homme se livre en effet à des révélations qui n’ont au fond rien de surprenant pour nous, mais qui ont pour intérêt de confirmer ce que la grande (et parfois petite presse) s’obstine à occulter ou à nier: l’existence d’un programme mondialiste d’asservissement des populations.

Russo relate ses rencontres avec Nick Rockefeller. Celui-ci avait remarqué notre homme lors de sa campagne électorale de 1998 et l’avait approché par l’intermédiaire d’une avocate, séduit qu’il avait été par le côté passionné et progressiste de Russo. Lors d’une conversation, Rockefeller a demandé à Russo si cela l’intéresserait de rejoindre le CFR (Council on Foreign Relations ou Conseil des relations étrangères), mais Russo rejeta l’invitation en disant que cela ne l’intéressait nullement d’«asservir le peuple», ce sur quoi Rockefeller lui a froidement demandé ce qu’il pouvait bien avoir à faire des «serfs.»

«J’ai demandé: quelle est la raison de tout cela,» raconte Russo, «vous avez tout l’argent dont vous avez besoin, vous avez tout le pouvoir dont vous avez besoin, quelle est la raison, quel est le but final?». Il s’est attiré comme réponse: «L’objectif final est d’arriver à ce que tout le monde soit pucé [marqué par une puce électronique, NDLR], pour contrôler la société entière, afin que les banquiers et l’élite contrôlent le monde». Bonne question, M. Russo, et réponse à moitié satisfaisante. Nous, qui comptons dans les affaires de ce monde autant que les déchets et les ordures (dixit saint Paul), nous avons la clé de toute l’Histoire: nous savons bien ce qui est derrière l’objectif final. Il ne leur suffira pas de «pucer» tout le monde; ce qu’ils veulent, c’est préparer la voie à l’Antéchrist.

Mais revenons aux révélations de Russo: Rockefeller lui a même assuré que si, lui, Russo, rejoignait l’élite, sa puce serait spécialement marquée afin que lui soient épargnés les contrôles excessifs de la part des autorités.

Selon Russo, Rockefeller lui a également dit onze mois avant le 11 septembre 2001, qu’«un événement» de grande ampleur se produirait qui «leur» permettrait d’envahir d’abord l’Afghanistan afin de construire des pipelines débouchant sur la mer Caspienne, puis l’Irak pour prendre la direction des gisements pétroliers et établir une base au Moyen-Orient. La prochaine cible serait alors Chavez au Venezuela.

Toujours ce jour-là, Rockefeller a développé devant un Russo médusé l’idée que la prétendue guerre contre le terrorisme ne serait qu’une mise en scène qui permettrait de prendre le pouvoir aux États-Unis.

Une autre fois, Rockefeller a demandé à Russo son sentiment sur la libération des femmes. Russo lui fit la réponse que l’on pouvait attendre d’un bon esprit bien formaté, bien conditionné: qu’il s’agissait du droit au travail et à un salaire égal à celui des hommes, exactement comme cela avait été le cas pour le droit de vote. La réplique est venue immédiatement: Rockefeller, en riant, l’a traité d’idiot, en lui expliquant: «c’est nous, la fondation Rockefeller, qui avons financé ce mouvement; la totalité des journaux et des télévisions est à nous!».

Et Rockefeller d’expliquer alors à Russo les deux raisons fondamentales pour lesquelles l’élite a financé les mouvements de libération des femmes:

1. avant la libération des femmes, les banquiers ne pouvaient taxer que la moitié de la population;
2. les enfants ont pu aller plus jeunes à l’école, et donc il a été plus facile de les endoctriner pour qu’ils considèrent l’État comme leur première famille.

Russo dit par ailleurs avoir été frappé par l’insistance avec laquelle Rockefeller revenait sur l’idée que «le peuple devait être gouverné par une élite» et que l’un des outils de ce pouvoir serait la réduction de la population, la population actuelle étant trop nombreuse. Le chiffre de la population mondiale devrait donc être réduit au moins de moitié.

Il ressort quand même des conversations entre Rockefeller et Russo qu’un sérieux problème a l’air d’avoir échappé au contrôle de l’élite mondialiste: le conflit israélo-palestinien. Il semblerait que l’élite en question nourrirait l’idée bizarre de donner un million de dollars à chaque citoyen israélien pour l’envoyer s’établir en Arizona.

Source: http://www.prisonplanet.com/articles/january2007/290107rockefellergoal.htm (en anglais)

http://dne.hautetfort.com/archive/2007/02/02/02-02-07-les-confidences-de-nick-rockefeller.html (en français)

Ils doivent vraiment être très sûrs d'eux, désormais, pour se "lacher" ainsi devant des "non-initiés"...



Citation:
"Il semblerait que l’élite en question nourrirait l’idée bizarre de donner un million de dollars à chaque citoyen israélien pour l’envoyer s’établir en Arizona. "

C'est vraiment étonnant, comme idée; il devrait y avoir beaucoup de candidats (pour gagner le MILLION! )

Mais qu'en est-il, alors, des bases d'Amérique du Sud, aperçues par Raspail?

Ar-Ka. a écrit:

Ils doivent vraiment être très sûrs d'eux, désormais, pour se "lacher" ainsi devant des "non-initiés"...



Citation:
"Il semblerait que l’élite en question nourrirait l’idée bizarre de donner un million de dollars à chaque citoyen israélien pour l’envoyer s’établir en Arizona. "

C'est vraiment étonnant, comme idée; il devrait y avoir beaucoup de candidats (pour gagner le MILLION! )

et surtout qui va payer ?

Citation :

et surtout qui va payer ?

Doudou...