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| Un nouveau 11 septembre bientôt ? | |
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Diego de la Vega Page
Nombre de messages : 121 Localisation : Nantes en Bretagne, Pays de la Loire, va te faire voir ! Date d'inscription : 30/01/2007
| Sujet: Un nouveau 11 septembre bientôt ? Ven 27 Juil - 12:42 | |
| Cheney déterminé à frapper les USA cet été avec des armes de destruction massive. Seuls une destitution, un remplacement ou une grève générale peuvent l’arrêter de Webster G. Tarpley 21 juillet 2007 http://www.rense.com/general77/chens.htm
Traduction de la première partie de l'article ci-dessous.
Il y a quelques jours, un groupe de juristes du Massachusetts a rencontré le membre local du congrès, le démocrate John Olver. Leur requête était que Olver se joigne à l'effort urgent de destitution de Bush et Cheney. Olver a répondu en disant qu'il n'avait aucune intention de faire quoi que ce soit pour appuyer une destitution. Il a poursuivi en offrant l'information comme quoi les Etats-Unis attaqueraient l'Iran bientôt, et que les hostilités seraient suivies par l'imposition de la loi martiale ici [aux Etats-Unis].
Selon des rapports publiés dans le presse britannique, le parti de la guerre de Cheney a repris la main dans les conseils secrets de la Maison Blanche, mettant de côté les prétendues hésitations de Mademoiselle Rice, du secrétaire [à la Défense] Gates, et des alliés de l’OTAN, pour tracer une voie directe vers une guerre contre l’Iran.
L’équilibre dans le débat interne sur l’Iran à la Maison Blanche a basculé en faveur d’une action militaire avant que le président George Bush termine son mandat dans 18 mois, a appris le Guardian. La décision suit une revue interne impliquant la Maison Blanche, le Pentagone et le Département d’Etat au cours des derniers mois. Bien que l’administration Bush soit en grande difficulté en Irak, elle reste focalisée sur l’Iran. Une source bien placée à Washington a affirmé : « Bush ne quittera pas ses fonctions avec l’Iran encore dans l’incertitude actuelle » dans une réunion de la Maison Blanche, du Pentagone et du Département d’Etat le mois dernier. Mr Cheney a exprimé sa frustration devant le manque de progrès et Bush s’est rangé à son opinion. « La balance a penché. Il y a des raisons de s’inquiéter » a dit la source cette semaine. « Il reste à Cheney un capital limité, mais s’il voulait utiliser tout son capital dans cette affaire, il pourrait encore avoir un impact » dit Patrick Cronin, le directeur des études à l’International Institute for Strategic Studies. (« Cheney pousse Bush à agir sur l’Iran ; une solution militaire a de nouveau la faveur alors que Rice renonce ; le président n’est pas préparé à laisser le conflit sans solution », Guardian le 16 juillet 2007)
Les partisans pleins d’illusions du parti démocrate pourraient bientôt devoir abandonner leurs comptes à rebours pathétique, ces dispositifs d’auto consolation qui leur rappellent combien de temps il reste jusqu’à minuit le 20 janvier 2009, le moment où Bush quittera finalement son poste. Ces comptes à rebours ne prennent pas en compte la doctrine de Cheney qui appelle à un nouveau super 11 septembre avec des armes de destruction massive aux USA, devant servir de prétexte à une attaque nucléaire de l’Iran et à l’instauration de la loi martiale dans le pays. Ceux qui pensent que les républicains ne pourront conserver la Maison Blanche en 2008 ont oublié que les néo-conservateurs préfèrent toujours un coup d’état à une élection. Comme Cheney l’a dit à Bob Schieffer dans « Face the Nation » sur CBS le 15 avril 2007 :
La plus grande menace maintenant est « un attentat du type 11 septembre arrivant au milieu d’une de nos propres villes avec un groupe de terroristes armés non pas avec des billets d’avion et des cutters, mais avec une arme nucléaire. »
Pelosi et Reid doivent jeter leurs comptes à rebours ridicules et sortir leurs chronomètres pour la destitution, rapidement.
L’INTUITION DE CHERTOFF SUR LE TERRORISME
Orchestrer un climat de terreur général a toujours été partie intégrante de la stratégie de Cheney. Comme l’a dit Cheney sur WLS à Chicago le vendredi 13 avril : « Il est important que les gens se souviennent du 11 septembre. » Le 11 septembre reste la base de chacune des intrigues de Cheney. Un des éléments facilitateurs de la terreur de Cheney dans ce sens est Michael Chertoff, le cadavérique secrétaire du Homeland Security. Bien qu’étant un bureaucrate expérimenté, Chertoff écoute maintenant son intuition, cherchant de nouveaux moyens d’intimider le peuple américain, qui n’a absolument aucun ennemi naturel, dans l’hallucination qu’il serait face à une menace existentielle aiguë d’être rayé de la carte d’un moment à l’autre. Chertoff a raconté à l’équipe éditoriale du Chicago Tribune – à un moment, une voix de l’isolationnisme – que les Etats-Unis font face à un danger croissant d’une attaque au cours de l’été 2007. Cette fabrication sauvage, non basée sur une quelconque information spécifique qu’il pourrait citer, Chertoff l’a appelée son « intuition que la nation est face à une probabilité accrue d’une attaque cet été. » « Je crois que nous entrons dans une période de risque accru cet été » dit Chertoff. « L’été semble attractif pour eux … Nous nous inquiétons qu’il soient en train de reconstruire leurs activités. » Les démagogues désespérés du parti républicain voient venir une hécatombe aux élections de novembre 2008. Leur idée semble être celle du premier ministre fasciste d’Espagne Aznar en mars 2004 : si vous êtes sûr de perdre une élection, mettez en scène une attaque terroriste, déclarez la loi martiale, et perpétuez votre pouvoir de cette manière. Aznar était été stoppé par une grève générale d’environ un tiers de tous les travailleurs espagnols. Si tout le reste échoue, les américains seraient-ils capables d’une grève massive contre la guerre et la dictature ? Nous pourrions le voir rapidement.
L’intuition troublée de Chertoff a déjà donné naissance à un groupe inter agences à la Maison Blanche de hauts fonctionnaires des renseignements et de l’exécutif qui se réunit chaque vendredi après-midi à 13h. Est-ce que ce comité va réaliser le coup ? Des rapports ont suivi comme quoi des douzaines d’agents du FBI se sont dispersés à la poursuite d’une « liste suspecte » de quelques 700 pistes, dont une centaine dans la région de New-York. Quelques unes découlent des récents événements terroristes britanniques à Londres et à Glasgow, utilisés par les MI-5 et MI-6 pour lisser la transition du quasi état policier de Tony Blair vers la version de la même chose de Gordon Brown. Les MI-5 et MI-6 ont exhibé la même mouture d’inepties comiques et d’homicides flegmatiques qui fut leur marque de fabrique pendant les longues années où Londres était en proie aux bombes de l’IRA (Irish Republican Army), qui se révèle maintenant avoir été manipulé par des agents de renseignement gouvernementaux. L’événement de l’aéroport de Glasgow consistait en une voiture en feu s’écrasant contre un immeuble, dont les films ont été montrés toute l’après-midi par les réseaux d’information par câble américains. L’un fut tenté de proposer un titre comme : « Seulement un véhicule en feu – un bon jour sur l’autoroute traversant le Bronx ». Maintenant, pour une voiture en feu, le monde était supposé s’arrêter. Ces événements britanniques avaient été précédés par plusieurs semaines d’hystérie à propos de supposées attaques terroristes imminentes contre les installations US dans la région entre Rhin et Main en Allemagne, impliquant la station thermale de Wiesbaden, le tout basé sur des affirmations de la CIA faites au gouvernement de Berlin et sans arrêt trompetées sur les médias contrôlés.
UN NOUVEAU 11 SEPTEMBRE POUR RELANCER LA RESOLUTION DE L’OCCIDENT
Le raisonnement de Chertoff a été éclairé par une interview avec le Lt. Colonel Doug Delaney, le président du programme d’études de guerre au « Royal Military College » de Kingston dans l’Ontario, Canada, un centre de renseignement de l’OTAN. Delaney évoquait les problèmes posés par l’augmentation des pertes canadiennes en Afghanistan, mais il fournit une intéressante ouverture dans les esprits des stratèges militaires quand il observa, selon les mots de l’interviewer : « Il se peut bien que la clé pour relancer la résolution de l’occident soit une autre attaque terroriste comme le 11 septembre ou les attentats de Londres d’il y a deux ans, dit-il. Si rien n’arrive, il sera plus difficile encore de dire que cette ingérence canadienne en Afghanistan est nécessaire. » En d’autres mots, le temps est peut-être venu d’une nouvelle opération terroriste fabriquée pour relancer l’hystérie en Amérique du Nord pour permettre aux élites actuellement en banqueroute de conserver le pouvoir et écraser encore plus tout esprit de résistance populaire envers un gouvernement aussi irrationnel. La stratégie de la peur de Chertoff a été appuyée par Rick Santorum, sénateur républicain défait et scélérat notoire, qui a dit à un journaliste l’interviewant à la radio que « entre maintenant et novembre, beaucoup de choses vont se passer, et je crois qu’à la même date l’année prochaine, le public américain va avoir un point de vue très différent sur cette guerre. »
ESTIMATION DE L’AGENCE NATIONALE DE RENSEIGNEMENT (NIE) BOOZ ALLEN : LA MENACE "AL QAEDA" SUR LES USA SE PRECISE
Cette pitoyable estimation se range parmi les estimations mensongères produites avant l’attaque sur l’Irak en 2003 comme un tissu de mensonges et de tergiversations. La thèse principale est que des branches d’Al Qaïda à travers le monde s’efforcent d’infiltrer plus d’agents aux Etats-Unis pour mener des attaques terroristes sur le territoire américain. « Bien que n’ayant découvert qu’une poignée d’individus aux Etats-Unis ayant des liens avec des leaders d’al Qaïda, nous jugeons qu’al Qaïda va intensifier ses efforts pour introduire des agents ici » confirme le résumé déclassifié d’un gros rapport secret. « Il en découle que nous jugeons que les Etats-Unis se trouvent présentement dans un environnement de menace élevé. » (cnn.com, 17 juillet) La nouvelle estimation truquée a été produite sous la supervision de l’amiral Michael McConnell, le tsar actuel du renseignement US, dont les références incluent dix années chez Booz Allen Hamilton, la première firme militaire privée. Certains analystes se sont demandés ce qui se passait chez Booz Allen le 11 septembre 2001 et dans les jours qui ont précédé cet événement, et ce que McConnell pouvait bien personnellement être en train de faire. Le 7 janvier 2007, Raw Story a dépeint le tout nouvellement nommé McConnell comme une carte maîtresse de Cheney, et a cité Vince Cannistraro, un ancien de la CIA, qui qualifie la nomination de McConnell de « désastre ». Dans le même article, le vétéran de la CIA Larry Johnson prédit que McConnell, un piètre manager, céderait à Bush-Cheney sur les points fondamentaux. Les fabrications de nouvelles estimations ont été assistées par le bureau de Cheney, par Elliot Abrams, le félon avéré de l’affaire Iran-Contra (maintenant une personnalité dominante à la Maison Blanche), par son attaché militaire, le général Kevin Bergner et par d’autres éléments clés néo-conservateurs. | |
| | | Diego de la Vega Page
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| Sujet: Re: Un nouveau 11 septembre bientôt ? Ven 27 Juil - 12:43 | |
| L’ancien membre de la communauté du renseignement Philip Giraldi de la CIA a rejeté la nouvelle estimation dans son élocution en qualifiant « des complots à haut impact » contre les USA de « tour de force de désinformation déguisé en fait. » Giraldi a aussi noté : « Il est possible que ne soit pas coïncidence qu’il y ait eu une augmentation significative dans la rhétorique anti-Iran émanant simultanément de l’administration Bush et du congrès les semaines passées, cherchant principalement à établir un casus belli en soutenant que l’Iran est en train de mijoter des attaques létales contre les troupes US en Irak et les forces de l’OTAN en Afghanistan. (antiwar.com, 17 juillet)
L’AVENTURE PERSE DE CHENEY
Une attaque nucléaire de l’Iran reste l’obsession centrale de la faction George Shultz-Rupert Murdoch-Cheney. Le 10 juillet, le Pentagone a annoncé qu’il allait envoyer un nouveau groupe porte-avions, cette fois celui de l’USS Enterprise, vers les eaux au large de l’Iran. Cela signifie que lorsque ce porte-avions rejoindra les deux autres déjà présents là-bas, trois porte-avions d’attaque seront à portée de frappe de cibles iraniennes. Le Pentagone poursuivit peu de temps après avec une autre déclaration, assurant au monde que bientôt un seul des porte-avions patrouillerait au large de l’Iran. Mais ce n’était qu’une promesse douteuse, et pendant ce temps les trois porte-avions seraient dans un bref délai prêts à attaquer.
Le 10 juillet, le Washington Post et l’agence Reuters alimentèrent l’hystérie internationale avec des rapports sur de mystérieux tunnels qui étaient en construction par les autorités iraniennes à proximité d’une des installations nucléaires suspectes de Natanz. Ces rapports étaient accompagnés de photographies aériennes et d’images satellites qui avaient été étiquetées pour les rendre aussi ressemblantes que possible aux fameuses photographies U-2 des missiles à moyenne portée russes à Cuba en octobre 1962. La déclaration était que le tunnel supposé « pouvait être utilisé pour cacher et protéger des composants nucléaires clés. » L’implication était que la bombe atomique iranienne ne serait pas loin d’aboutir, une notion pour laquelle il n’y a aucune preuve.
En fin d’hiver, Pelosi, le leader de la majorité à la Chambre des Représentants, Stenny Hoyer et Reid ont plié face aux demandes de l’AIPAC, l’organisation subversive de lobbying pro israélien dont des employés ont été impliqués dans de l’espionnage, et ils ont supprimé dans une loi militaire un article avertissant Bush qu’il était obligé de consulter le Congrès avant d’attaquer l’Iran. Un article similaire soutenu un moment par le sénateur Webb de Virginie a aussi disparu. Concernant les candidats républicains à la présidentielle, le 7 juin, ils ont – avec la seule exception du franc-tireur Ron Paul – fait de la surenchère avec enthousiasme pour une attaque nucléaire contre l’Iran. Ces débordements ultra hitlériens arrivent en réponse à une manipulation par Wolf Blitzer, un partisan évident du parti de la guerre. Pour le bien du peuple américain, les candidats va-t’en-guerre du parti gouvernemental, Blitzer compris, auraient dû être emportés dans le même sac par des gardes musclés en manteaux blancs.
LA MASCARADE DE CHENEY SUR L’ALLIE DISSIDENT
Un élément clé de l’argumentation de Cheney est qu’il se peut qu’Israël frappe bientôt l’Iran unilatéralement par une attaque mettant en oeuvre des armes nucléaires, brisant le tabou d’après-guerre sur les bombes atomiques. Cela représenterait le vieux scénario de « l’allié dissident » dans lequel Israël présente une telle attaque aux Etats-Unis comme un fait accompli et s’attend à ce que Washington entre en guerre du côté des agresseurs israéliens. La position de Cheney est que les Etats-Unis doivent être prêts à frapper parce que les israéliens vont agir seuls de toute façon. La nature mensongère de la ligne Cheney est montrée par la remarque de Bush à Chirac au sommet du G9 de Saint-Petersbourg en juillet 2006, quand Bush soutenait que l’agression israélienne en cours contre le Liban n’était pas une guerre fomentée par Israël, mais plutôt une guerre US qui a été assignée à Israël en tant qu’allié local des USA. Selon Will Thomas, une répétition de la mascarade de l’allié dissident s’est déroulée le 7 janvier 2007 quand des avions militaires israéliens ont survolé l’Irak et manifesté l’intention d’aller « en ville » - signifiant une apparente frappe nucléaire en Iran. A un certain stade, les américains ont été supposés dire aux israéliens de rentrer, et se sont désolidarisés de la tentative. Cet incident rapporté s’est passé peu de temps avant que les US lancent un raid contre le consulat d’Irbil dans le nord de l’Irak, arrêtant illégalement des diplomates iraniens. A peu près au même moment, des informations comme quoi un missile iranien avait touché un navire US mirent Wall Street en émoi, alors que l’Iran annonça avoir abattu un drone US survolant son territoire. (infowars.com, willthomas.net)
Les partisans israéliens de la guerre sont avant tout représentés par Avigdor Lieberman, le ministre des « menaces stratégiques » qui est lui-même une menace stratégique. Le vendredi 13 juillet, un jour de mauvais augure, Lieberman se vantait devant un groupe d’officiels de l’OTAN et de l’Union Européenne que Israël avait reçu un feu vert des Etats-Unis et de l’Europe pour une attaque israélienne sur les installations nucléaires iraniennes. « Si nous commençons seuls des opérations militaires contre l’Iran, alors les Etats-Unis et l’Europe nous supporterons » dit Lieberman. Selon le magazine Israël Today, Lieberman argumenta que les hostilités en cours en Irak et en Afghanistan vont « empêcher les leaders de pays en Europe et en Amérique de décider d’utiliser la force pour détruire les installations nucléaires iraniennes », alors ils demandent à Israël « d’empêcher la menace elle-même ».
Un autre incendiaire israélien est le brigadier général Yossi Kuperwasser, l’ex chef de la division recherche des renseignements militaires israéliens. Le 10 juillet, Kuperwasser dit au Jerusalem Post que les sanctions économiques seules ne stopperont pas l’Iran, et que la fenêtre d’opportunité de lancer une frappe militaire contre les installations militaires iraniennes se refermait. Kuperwasser déclara que l’Iran est “très proche” du seuil technologique pour l’enrichissement de l’uranium à un niveau industriel. Les iraniens seront alors capables de fabriquer un engin nucléaire dans deux à trois années, selon Kuperwasser. « La vulnérabilité du programme à une opération militaire diminue avec le temps », dit Kuperwasser, « et ils sont très près du point où ils seront capables d’enrichir l’uranium à échelle industrielle. »
EL BARADEI MET EN GARDE CONTRE LES “NOUVEAUX CINGLES” NEOCONSERVATEURS
Le type de pensée aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Israël était ce que le Dr. Mohamed El Baradei, directeur de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique, avait en tête quand il formula son fameux avertissement du 2 juin 2007 à propos d’une attaque de l’Iran à venir. « Je me réveille chaque matin et je vois 100 innocents irakiens mourir … Je n’ai pas d’autre charge que de m’assurer que nous n’entrons pas dans une autre guerre ou que nous devenons fous au point de nous entretuer. Vous ne voulez pas donner d’argument supplémentaire aux nouveaux cinglés qui disent ' allons bombarder l’Iran '. Et qui sont les nouveaux cinglés ? Ceux qui ont des points de vue extrêmes et disent que la seule solution est d’imposer notre volonté par la force. Il n’est pas possible de bombarder la connaissance. »
Un grave doute jette son ombre sur tout scénario d’attaque nucléaire sur l’Iran: comme William Thomas l’a rapporté en février dernier, les fusibles des puces en silicium bon marché chinoises utilisées dans les navires, les tanks, les avions et autres applications militaires US sont peut être trop faibles pour résister aux hautes interférences électromagnétiques qui seraient générées par un bombardement nucléaire des sites nucléaires iraniens. Les puces d’origine étrangère, cohérentes avec la stratégie de Rumsfeld de « guerre bon marché », pourraient paralyser une bonne part du matériel militaire du commandement central US, avec des effets disruptifs qui remonteraient aux quartiers généraux de Floride et même jusqu’au Pentagone. (rense.com, 21 février 2007 et willthomas.net) Si ces rapports sont corrects, les bombardiers américains pourraient se crasher, les porte-avions qui les ont lancés pourraient soudainement se retrouver eux-mêmes hors service en mer, bien indépendamment de ce que les iraniens pourraient faire.
(à suivre...) | |
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