A l'époque sur le territoire du nord de l'actuelle France, on parlait une langue hybride de latin populaire remanié et déformé par l'usage, de résidus de celte (qui ne possédant pas de langue écrite pour un usage quotidien, n'a pas laissé beaucoup de trace en français) et depuis le Vème siècle et les grandes invasions germaniques, le francique, langue des germains francs, issu des conquêtes de notre bien aimé Clovis. En fait, cette langue étant le patois germanique, parlé par les tribus franques, avait sans doute des similitudes avec l'archéo-hollandais (je viens d'inventer le terme!) et les patois apparentés des régions circumvoisines (désolée!).
Dire sur les ondes d'une radio de grande écoute, que Saint Charlemagne ne parlais pas un traitre mot de français, mais un patois issu du"hollandais" c'est encore une manip visant à nous convaincre que nous ne sommes pas français, mais tous immigrés. A l'époque, il n'existait pas plus de "hollandais" que de "français". Alors, comment l'un aurait-il pu descendre de l'autre? Ces gens se moquent de nous, voilà tout!
Vous avez raison Gardian de relever.
Pendant longtemps, et surtout au XIX ème siècle (stupide), il était de bon ton d'enseigner sur les bancs de l'Université maçonnique que notre grand empereur ne savait même pas écrire. Alors qu'on sait qu'il parlait, lisait et sans doute écrivait le latin et sans doute a fortiori le sabir de son temps, appelé à devenir notre belle langue française.
Bref, kamarades, soyons paranos!