| Gesta Dei Per Francos Regnum Galliae, Regnum Mariae ! |
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| A quoi servirait donc la philo ? | |
| | Auteur | Message |
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luernos Sénéchal
Nombre de messages : 1588 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: A quoi servirait donc la philo ? Jeu 8 Jan - 23:36 | |
| Je viens de lire avec sidération : - Citation :
- et là vous osez dire que le "Pape" est chef de deux entités distinctes, et opposées entre elles!
bref vous vous moquez du monde, et ça commence à sérieusement m'agacer.
Je ne suis pas le seul à le dire. Pourquoi ça vous agace ? Parce que vous ne trouvez pas les arguments pour justifier votre accusation d'hérésie ?
Nous savons bien que les modernistes ont un problème avec le principe de non-contradiction. Ce problème se manifeste aussi dans leurs actes. C'est aussi simple que ça.
Comme le disent Mgr Williamson et Mgr Tissier cette crise est avant tout philosophique. Et il n'existe pas d'anathème dans le dogme contre ceux qui nient en pensée ou en acte le principe de non contradiction. Donc pas d'hérésie. Mais si je comprends que vous désiriez qu'il y en ait une. EA (cf. Unpape Les-Deux-Eglises ) Si Mgr Tissier dit que la crise est avant tout philophique c'est bien au contraire, qu'elle est énorme ! La philosophie n'est pas un jeu verbal, à la différence des arguties juridiques qui donnent parfois l'occasion de jouer avec le Réel. Elle est une explication approfondie de la réalité, du monde. Autant cette explication est approfondie et complexe, autant la vision du monde qu'elle implique est alors spécifique, particulière, radicale, et se trouve donc incompatible avec la vision du monde donnée par une autre explication résultant d'une philosophie concurrente. Par exemple, la philosophie thomiste explique le monde, un monde réel en adéquation avec l'existence d'un monde, impliquée par l'Enseignement de NSJC (la Nouvelle Création, la fructification, la Rédemption, etc). Donc, la philosophie qui nie par exemple le principe d'identité, elle donne une explication du monde, un monde étranger au monde précédent, il postule donc une autre réalité, incompatible avec le monde de la Révélation de l'Ancien Testament, et de NSJC. Car la philosophie donne une explication complexe abstraite et générale de la réalité totale qui nous entoure. Donc ,elle donne une vision du monde particulière. Donc, chaque vision du monde implique l'existence réelle d'un monde "particulier", (si l'on veut au regard du doute philosophique) . Ainsi, le monde extérieur postulé par Theilhard, Sartre n'est pas le monde extérieur enseigné par l'Eglise catholique, Et ainsi de suite. Nier en pensée ou en acte le principe d'identité fait appartenir à un monde différent de celui expliqué par Notre Seigneur Jésus Christ. EA ne comprend pas les analyses de Mgr Tissier, mais d'un côté il serait excusable, quand on entend l'abbé GdT soutenir qu'une philosophie de la conscience , non chrétienne, plaquée sur "la vision du monde de la Révélation Catholique, n'aurait pas pour effet de créer une religion étrangère à la Révélation catholique ! En réalité lorsque NSJC, les Prophètes, les Pères de l'Eglise ont dit qu'il y avait le monde "de la durée à venir" (terme hébreu ) opposé au monde "de la durée présente"(terme hébreu) qu'il y avait la cité de Dieu et la cité du mal, l 'Etandard du Ciel et celui de Satan, ils enseignent et constatent qu'il y a deux visions du monde étrangères l'une à l'autre, donc deux mondes réels étrangers l'un à l'autre. Le monde de la "Grâce" et le monde matériel. Tant que la réalité philosophique n'est pas comprise il est inutile de disputer des points secondaires, qui ne sont que dans la dépendance intelligible de cette compréhension première. Il vaut mieux étudier. + | |
| | | luernos Sénéchal
Nombre de messages : 1588 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Re: A quoi servirait donc la philo ? Dim 11 Jan - 0:24 | |
| http://www.fahayek.org/index.php?option=com_content&task=view&id=133&Itemid=40 quelques extraits de l'article de Rafaëlle Lellouche, site Hayek: - Citation :
- Le Polonais Karol Wojtyla, cardinal de Cracovie, est généralement présenté comme un Janus à double face: conservateur et progressiste, révolutionnaire et réactionnaire. D'un côté, c'est l'homme de progrès qui a contribué à abattre le communisme, le résistant anti-totalitaire, celui qui a rejeté la peine de mort, le visionnaire de la repentance et celui qui a jeté dans les poubelles de l'histoire " l'enseignement du mépris" et la théologie de la substitution qui allait avec. L'Eglise n'est plus le substitut d'Israël, le verus Israël venant prendre la place de la Synagogue aveugle et déchue. Avec lui, l'Eglise reconnaît pleinement Israël dans sa Révélation, comme le témoin et gardien éternellement élu pour celle-ci, et par conséquent comme l'aîné marchant devant l'Église. Par tous ces aspects, Jean-Paul II fait consensus et acclamation. Mais l'autre aspect, c'est le " réactionnaire" qui refuse le préservatif
etc etc Les opinions philosophiques de Wojtyla qui fonde sa nouvelle religion: le personnalisme "thomisto"-phénoménologique de etendance réaliste": - Citation :
- Or la philosophie de Jean-Paul II est décisive. Wojtyla était d'abord un philosophe de l'école du personnalisme phénoménologique de Lublin, héritière du cercle des phénoménologues de Göttingen, dont la place dans l'histoire de la philosophie de ce siècle est méconnue. C'est un continuateur direct de Husserl, Max Scheler, Edith Stein, Roman Ingarden. Je le tiens quant à moi pour l'un des rares réellement grands philosophes de ce siècle. C'est pour avoir été le fruit de longues années de profonde réflexion philosophique que ses actes ne relèvent pas de l'arbitraire de choix politico-ecclésiaux au mieux judicieux, mais tirent de leur fondement doctrinal la pertinence et la portée décisive qu'ils ont. À certains égards -et mutatis mutandis -, il ne serait pas tout à fait absurde de rapprocher Jean-Paul II de l'idéal du Philosophe-Roi de Platon
- Citation :
- Les droits de l'homme, le catholicisme pré-wojtylien les considérait comme une hérésie subjectiviste. Ils s'enracinent en effet dans une doctrine des " droits naturels subjectifs " inhérents à l'individu séparé, ce qui est impensable pour le holisme social de la " loi naturelle " thomiste, d'après lequel l'homme n'existe qu'au sein de communautés naturelles (organiques) - de la famille jusqu'à l'Etat, en passant par toute la hiérarchie des " corps " socio-professionnels de toutes sortes. L'homme en tant que tel, c'est-à-dire en tant qu'individu séparé, pour la doctrine catholique traditionnelle, ne peut aucunement avoir de droits absolus - inhérents -pour la bonne raison qu'il n'existe pas ontologiquement. Il n'est qu'une fiction. L'homme n'a pas de droits absolus, mais seulement des droits et des devoirs relatifs, et seul Dieu a des droits absolus. Telle était la doctrine de l'Eglise traditionnelle pré-wojtylienne.
Or c'est cela que Wojtyla a radicalement changé, en commençant par le début, c'est-à-dire en commençant par donner une réalité ontologique à ce qu'il appelle la " personne humaine ". C'est d'ailleurs exactement ce que Lévinas lui a reproché dans le seul texte où Lévinas analyse l'œuvre de Wojtyla. Mais c'est en ce sens, et en tirant toutes les conséquences éthiques, ecclésiales et politiques, de cette réalité ontologique de la " personne ", qu'il a donné à l'Eglise les moyens intellectuels fondamentaux pour s'adapter à la réalité moderne. Il a ainsi permis, à travers Vatican II, à l'Eglise, de reprendre pied dans la modernité du monde, de se concilier avec la démocratie. L'autre aspect corrélatif de la philosophie de Wojtyla, c'est la liberté de conscience et sa compatibilité avec une éthique objective des valeurs. Comme je le montrerai ci-dessous, la contradiction fondamentale à laquelle l'Eglise se heurtait était entre la liberté de conscience et l'objectivisme axiologique. Or ce que personne ne vous dira, c'est que le philosophe-pape Jean-Paul II doit le principe de la solution de ce conflit à deux philosophes Poldèves (convertis au catholicisme) qui sont ses maîtres : Max Scheler et Edith Stein, qu | |
| | | luernos Sénéchal
Nombre de messages : 1588 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Re: A quoi servirait donc la philo ? Dim 11 Jan - 0:54 | |
| http://www.libertepolitique.com/index.php?option=com_content&view=article&id=4533 Article absolument parfait de concision, de profondeur, et de clarté pour mettre en perspective le fond du problème, du point de vue philosophique. Mais article d'une flagornerie "candide" stupéfiante digne d'un avocat complaisant: l'auteur se signale comme tant de ces "journalistes pseudo-philosophes" qui sont des vulgarisateurs de l'histoire des idées philosophiques et absolument pas "philosophes" (exemple Luc Ferry ou Onfray, sans parler des Finkielkr, BHL...Alain de benoist...) Certains sollicitent leur memento historique pour plaider une cause particulière exemple Wojtyla ou Ratzi. Cet article signé par des initiales présente Wojtyla comme un philosophe créateur d'un système original d'explication du monde! il paraît qu'un jour Wojtyla a dit à journaliste André "Frossard" je n'aurais jamais pu vivre ( sous entendu comme catholique et encore moins comme pape, dans une période qui n'aurait pas été post-kantienne ! ) ce qui en dit long sur la cause philosophique déterminante de sa "foi". Deux seules citation de ce texte difficile : Au XXe siècle, changement de problématique - Citation :
- Il en résulte un changement complet de problématique pour la liberté de conscience d'un siècle à l'autre. Pendant tout le XIXe siècle, le magistère de l'Église a affirmé la nécessité objective de la vérité du Bien, proposée à la liberté comme norme de la conscience. C'était la problématique de la subordination du sujet à l'objet, parce que l'objet est vrai et bon. D'où la condamnation de la liberté de conscience qui la rejette. Au XXe siècle la tyrannie de l'idéologie marxiste et de l'idéologie nationale-socialiste étant imposée par la force à des dizaines de millions d'hommes, le magistère de l'Église a dû affirmer la suprématie de la personne humaine, excluant toute contrainte de la part des pouvoirs publics en matière de conscience et de religion (Vatican II, Dignitatis humanae, 1965). C'est la problématique de la supériorité du sujet par rapport à tout pouvoir extérieur (et en particulier à toute idéologie imposée) en ce qui concerne la liberté de conscience et de religion. L'Église condamne ceux qui s'opposent à la liberté subjective de conscience, mais elle maintient la condamnation de la liberté objective de conscien
Ce serait donc l'effet d'une circonstance historique (certains événements du 2O° s...) qui aurait contraint l'humanité de se soumettre désormais à un changement de nature de la Vérité! MAis surtout prétendre que l'objet reste le numéro un, que la conscience humaine reste numéro deux, mais que la conscience humaine est souveraine par rapport à toute expression sociale de la Vérité, veut dire que la conscience est souveraine dans la définition de la "vérité". Car le "bien objectif" qui peut être librement choisi ou refusé par la "PERSONNE , se trouve vidé en réalité de sa susbtance, et en contrepartie, cette "Personne" est quasi déifiée par la philo du 2O° s, car elle a une dignité ontologique concurrente de celle de Dieu (d'ailleurs le leur livre ne dit-iol pas que " la tora n'est plus au ciel mais sur la terre", et que le pouvoir divin est dosormais partagé avec la Liberté de la Personne ) ? Cela se recoupe. - Citation :
- À la suite de l'archevêque Lefebvre, qui rejeta la liberté religieuse par incapacité de comprendre la problématique subjective, les théologiens traditionalistes, qui essaient de justifier la liberté religieuse dans une problématique exclusivement objective, traitent en réalité de la tolérance, qu'ils confondent par erreur avec la liberté religieuse. Ils écrivent de gros volumes bourrés de références historiques et canoniques, alors que la solution est philosophique et tient en quelques mots.
Il reste que la liberté religieuse a toujours existé dans l'Église | |
| | | Plume de Navarre Postulant
Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 10/01/2009
| Sujet: Re: A quoi servirait donc la philo ? Dim 11 Jan - 0:56 | |
| Une grande Civilisation ne peut être fondée que sur ces 4 piliers : - Religion - Philosophie - Art - Sciences | |
| | | Nordland Chevalier
Nombre de messages : 855 Date d'inscription : 25/08/2006
| Sujet: Re: A quoi servirait donc la philo ? Dim 11 Jan - 1:05 | |
| - Plume de Navarre a écrit:
- Une grande Civilisation ne peut être fondée que sur ces 4 piliers :
- Religion - Philosophie - Art - Sciences Qu'est-ce qu'une "grande" civilisation ? La seule vraie civilisation est la civilisation catholique car elle est la seule à pouvoir mener les âmes sur la voie du salut. "On ne bâtira pas la cité autrement que Dieu ne l'a bâtie; on n'édifiera pas la société, si l'Eglise n'en jette les bases et ne dirige les travaux; non, la civilisation n'est plus à inventer ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées. Elle a été, elle est; c'est la civilisation chrétienne, c'est la cité catholique. Il ne s'agit que de l'instaurer et de la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l'utopie malsaine, de la révolte et de l'impiété: Omnia instaurare in Christo" (Saint Pie X, Lettre Notre charge apostolique, 1910.) | |
| | | luernos Sénéchal
Nombre de messages : 1588 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Re: A quoi servirait donc la philo ? Mer 14 Jan - 2:27 | |
| EA dit Comme le disent Mgr Williamson et Mgr Tissier cette crise est avant tout philosophique. Et il n'existe pas d'anathème dans le dogme contre ceux qui nient en pensée ou en acte le principe de non contradiction. Donc pas d'hérésie. Mais si je comprends que vous désiriez qu'il y en ait une - Citation :
- ceux que vous tenez pour Papes sont des hérétiques, ils professent quotidiennement l'hérésie et cela à la face du monde entier, les suivre c'est se damner ni plus ni moins.
Vous ne l'avez toujours pas prouvé.
JCMD67 a écrit:
que vous faut-il de plus?
Une preuve de ce que je considère en attendant comme une calomnie. Cette preuve n'est jamais venue et ne viendra jamais. Dans cette réplique, vous avez résumé toute l'argumentation d'EA, qu'il ressasse sans coup férir sur son forum depuis trois ans. Quoiqu'EA n'ait jamais exposé clairement, en un post de cinquante lignes par exemple, ses arguments, et qu'au contraire il it éparpillé en mille et mille fragments ses arguments, je crois pouvoir les reconstituer comme suit, il n'y en a que DEUX: Le premier argument est le suivant: L'Eglise catholique serait, en son essence supérieure une association, - qui certes encadrerait ses adhérents vers "le sacré", - mais surtout une association sociale et juridique. Par parenthèse , comme il est moderniste- inconscient-de-l'être (mais comme des milliers de gens le sont et moi-même je l'ai été!) le "surnaturel" de l'Eglise se surajouterait sans conséquence ni signification sérieuse, et tel un ornement vaporeux "l'inspiration", sur cette essence supérieurement sociale et juridique. Aux termes de son programme (c'est-à-dire la forme du discours) cetet société s'affirme toujours sous l'enseigne "catholique", mais en même tant ses responsables peuvent professer ce qu'ils veulent sous cette étiquette. Car dans ses statuts, (le droit canon, et dans le programme de l'association, - d'une certaine façon mal compris - ) tous pouvoirs sont donnés aux responsables à ce titre, et en tout état de cause. Dès lors, cette association pourrait donc imposer son programme toujours sous cette enseigne (pour l'instant) à ses membres. Et comme les statuts (Le droit canon) verrouillent toute possibilité d'apporter la preuve contraire, à la présomption que le programme actuel est toujours conforme au programme du Fondateur de l'association, ce serait une présomption irréfragable. "Vous n'apportez pas, cette preuve contraire" vous ne pourrez jamais l'apporter, etc martèle-t-il. Or cet argument est nul et non avenu. Car pour ne citer qu'un exemple résumé fondamental : En premier lieu Existe NSJCJ, en second lieu, en résulte la Vérité Catholique , et en troisième lieu en résulte la liberté catholique. Etudier pour cela les paroles de NSJC, (et ne pas les blasphémer "en vérité qui rend libre ni " démocratiquement! ni de "conscience"... ) en st. Jean ch. 8, versets vers 24-48) Ensuite, son autre moyen de défense, quand on insiste, et met en cause les étrangetés du "programme" actuel de l'association, il invoque alors le commandement de charité théologale. Celui-ci s'imposerait en priorité (d'ailleurs on le voit rarement invoquer ce commandement dans les mille occasions de la vie) aux blasphémateurs, aux traîtres, aux renégats, aux parricides ,...du Fondateur de l'association. " vous calomniez un gentil responsable...Vous avez pris une réservation pour l'enfer" Cet argument proprement scandaleux le ravit pourtant, mais il est, sur le plan intellectuel qui nous occupe, totalement hors-sujet. Le seul argument qui pourrait être discuté, avec un peu de curiosité, en faveur de la secte conciliaire serait de nature philosophique, et de théologie mélangée aux sciences humaines. Car ces deux disciplines coupées d'autres plus exactes, (qui sont : théologie mystique, exégèse, métaphysique, histoire, sciences sociales) permettent aux faussaires, aux rêveurs en chambre, et ceux qui ont le jugement faux, et qui n'ont pas le bon sens de la Foi (comme dit Etienne VII) ,de s'en donner à coeur joie avec la phénoménologie, le personnalisme, et autres... + | |
| | | luernos Sénéchal
Nombre de messages : 1588 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Re: A quoi servirait donc la philo ? Lun 16 Fév - 0:54 | |
| Le troisième argument que cite plus rarement EA est le suivant - Citation :
- Votre démarche intellectuelle, celle de tous les sédévacs depuis l'invention de cette croyance il y a 35 ans, n'est pas bonne vous partez de la conclusion (le pape me déplait, je ne veux pas qu'il soit pape mais un antichrist apostat) et ensuite je cherche des causes pour justifier ma conclusion
D'abord on colle une étiquette sur n'importe qui : "sédévac" Ensuite on décrète qu'on n'aimerait pas Imposteur I, Imposteur II, III, IV ou V ! Ensuite on les accuse de faire du concordisme théologique : c'est à dire coller des événements, des anecdotes, des formules qui colleraient avec la vacance... La démarche d'EA est inspirée par un préjgué: car lui-même a dit il y a quelques semaines, qu'il y a dix ans sur le FC " il n'avait pas les mêmes préjugés contre les sédévacs,... " Quant à "aimer ou pas aimer", le sentiment est le propre du libéral qui se laisse gouverner par ses attirances ou ses haines obscures. l'affaire W ne déclenche-t'elle pas des réactions irrationnelles chez certains libéraux? et rien chez les Catholiques ? C'est par l'information, l'étude et des analyses rationnelles qu'on aboutit à la conclusion de l'Occupation, et non le contraire. Encore un argument imaginaire. En fait les tradis exactement comme les progressistes sont des modernistes qui sont hantés par trois seules choses : 1) il faut un parti : un syndicat ou une assoce de gauche pour les premiers, ou une secte avec un gourou traditionnel. 2) il faut un ordre fraternel et solidaire chez les premiers, et de morale conservatrice chez les seconds, 3) il faut une libération pour les premiers et un rite de reconnaissance chez les deuxièmes. La sociologie est cruelle, quand elle dénude les fausses religions... pas au centre pourri, mais Au-dessus de la gauche et de la droite de la fausse religion, il y a la vraie religion. l'âme de la religion catholique est unique et spécifique. Elle transfigure de loin les considérations sociologiques ou pataugent les générations du "confort moderne" comme il est apparu après 1945... + | |
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