Gesta Dei Per Francos
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 A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme !

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luernos
Sénéchal
luernos


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MessageSujet: A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme !   A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme ! EmptyVen 1 Déc - 23:58

Il paraît que notre TSP BXVI aurait injurié Islam et Musulmans à Ratisbonne.
Il a surtout insulté le Christianisme, ce qui est passé tout simplement inaperçu dans le "milieu" et chez les cathos, ....
La vérification de ce que je dis émane par exemple d'un intello sur France Culture qui s'est étonné du christianisme super hellénisé d'un pape fanatique de la Grèce comme tout allemand lobotimisé.


je commente un extrait du long discours.



Au commencement était le Logos." C'est exactement le mot qu'utilise l'empereur. Dieu agit avec Logos. Logos désigne à la fois la raison et la Parole - une raison créatrice et qui peut se donner en participation, précisément comme raison.


la raison philosophique est elle la Parole de Dieu ? est elle le Verbe de Dieu, la seconde Personne ?
cette identité sandaleuse est camouflée sous une "traduction" arbitraire
Une fois posé le postulat luciférien (inversant le vrai et le faux Dieu et le Shatan, ) tout va se dérouler en douceur dans le pur naturalisme:
c'est la raison qui créee le monde ! c'est la christianisation odieuse de l'idéalisme allemand qui dit que la terre n'existe pas mais que c'est le "ciel" de la pensée humaine qui donne une apparence d'univers sans fin

la participation surnaturelle est dégradée ici en participation raisonnable comme le dira Cicéron à Rome un peu plus tard que Platon...,





Jean nous a ainsi fait don de la parole ultime du concert biblique de Dieu, à laquelle aboutissent tous les chemins, souvent difficiles et tortueux, de la foi biblique, trouvant en elle leur synthèse. L'évangéliste nous dit: Au commencement était le Logos, et le Logos est Dieu.
La rencontre entre le message biblique et la pensée grecque ne s'est pas produite par hasard. Ainsi la vision de Saint Paul, qui dans un rêve a trouvé les routes vers l'Asie barrées et a vu un homme macédonien qui appelait: "Vient à notre aide" (Actes 16, 6-10). Cette vision peut être interprétée comme une "distillation" de la nécessaire rencontre interne entre foi biblique et questionnement grec.

C'est Jean l'evangéliste pseudo maître gnostique de tous les gnostiques spécialement chrétiens qui fait don de la parole ultime !!!! il n'exprime pas une inspiration venant de Dieu, au contraire de par sa raison humaine, donc divine, cet homme initié fait don; cela est différent !
chaque mot qu'écrit ratzinger comme un médecin le ferait est précis et soupesé et a un sens qui est différent d'un autre terme ! ce n'est pas de la littérature gratuite comme on croit chez les imbéciles du milieu tradouille ! l'identité prétendue entre raison et le Fils de Dieu est présentée comme une synthèse dialectique rationnelle de créateurs de la religion hébraîque ! (chermins tortueux donc strictement humains)
la foi biblique n'est pas la Révélation venant de Dieu mais une opinion symbolique qui appelait une formulation intelligente qui est " le questionnement grec" ! prétend Ratsz nécessaire rencontre ! dit il !
cela signifie que tout est humain, et tout est perfectionnement humain dans la formulation progressive darwinienne de la foi des bédouins arriérés de Judée pour l'Allemand qui apprécie le successeur de Kemal Attaturk le MACON !






En fait, ce rapprochement était depuis longtemps en marche. Le nom de Dieu très mystérieux émanant du buisson ardent, un nom ( CEST LE LANGAGE HUMAIN ET NON L INITIATIVE DE DIEU )
) qui sépare ce Dieu de toutes les autres divinités aux noms multiples, et le nomme simplement l'Être, est une remise en cause du mythe, qui présente certaines analogies avec la tentative de Socrate de dépasser et de surmonter le mythe. Dans l'Ancien testament, le processus (LE PROCESSUS HUMAIN ET SOCIAL ) commencé au buisson ardent atteint une nouvelle maturité durant l'Exil, quand le dieu d'Israël, alors privé de pays et de culte, est proclamé (par LES REDACTEURS DE LA BIBLE )
Dieu du ciel et de la terre et se présente comme une simple formule, qui fait écho à la parole du buisson ardent: "Je le suis".
Cette nouvelle compréhension de Dieu s'accompagne d'une clarification qui s'exprime dans le mépris des idoles, qui ne sont que l'œuvre des mains de l'homme (cf. Ps 115). Ainsi, à l'époque helléniste, malgré le vif conflit avec les autorités hellénistes qui voulaient faire adopter par la contrainte leurs coutumes et le culte de leurs divinités, la foi biblique rencontra la pensée grecque de l'intérieur. Il en résulta en enrichissement mutuel particulièrement évident dans la littérature sapientielle. Nous savons aujourd'hui que la ....

AFFIRMATION MONSTRUEUSE Ratz prétend qu'il y a union entre la croyance des juifs et les interrogations philosophiques !
le refus du paganisme devient l'affirmation de la raison ! et non pas de la Foi en Dieu transcendant
!


raduction de l'Ancien testament en grec réalisé à Alexandrie - la Septante - est davantage qu'une simple traduction du texte hébreu (qui serait alors assez peu satisfaisante): il s'agit d'un témoin textuel indépendant et d'un pas spécifique et crucial dans l'histoire de la Révélation, qui réalise cette rencontre d'une façon décisive pour la naissance et la propagation du christianisme. Il y a dans la rencontre en profondeur entre la foi et la raison qui se déroule ici, une rencontre entre la lumière authentique et la religion.

Ici est le coeur de la preuve que ratz n'est pas chrétien
pas même protestant, au sens traditionnel évidemment...

1) il dit que la septante (traduction en grec de la bible héb) a mal traduit la foi biblique ! alors que c'est par fidélité à la Tradition que le texte a été traduit llittéralement !
2) cette traduction est considérée par monsieur ratz comme un livre révélé comme tel le Deutéronome, les Prophètes etc...
3) pas spécifique dans la Révélation elle-même ! o
4 ) pas décisif dans LA NAISSANCE DU CHRISTIANISME !!! ose t il écrire !
ce n'est donc pas Dieu qui a décidé que vers l'an o, un
certain ieschoua naîtrait...
5) CEST UNE RENCONTRE ENTRE LA LUMIERE AUTHENTIQUE ET LA RELIGION ! avez vous bien lu : la lumière authentique c'est la raison !
faut il faire un dessin pour que l'on comprenne ! la lumière authentique éclaire enfin cette "religion" si populaire, si vulgaire, si basse, qu'on peut en faire un métissage mondialiste et allerr se promener de synagogue en mosquée et en loges....




A partir de l'essence même de la foi chrétienne, et en même temps de l'essence de la pensée grecque, désormais fondue dans la foi, Manuel II a pu déclarer : ne pas accepter d'agir "avec le Logos" est contraire à la nature de Dieu. (FUSION DE DEUX ESSENCES INCOMPATIBLES)


la pensée grecque rend intelligible la foi surnaturelle par nature inconcevable, mais intelligible, ce qui est différent.
Cette intelligibilité est possible à cause de l'insertion de la Révélation surnaturelle dans l'humanité mais en épousant précisément les concepts humains que seule la Grèce a pu développer, à l'inverse des hébreux qui n'ont été capables de de vivre cette expérience sans l'expliciter dans des concepts! a cause de leur langue sémitique en particulier.

je compare ici au Saint Curé d'Ars qui a été un mystique aussi élevé que Saint Jean de la Croix, mais qui a été incapable de rendre intelligible son expérience de l'envahissement de Dieu en lui, de son absorption en Lui et de son identification au christ, ce qui a été analysé par St Jean, et encore de manière analogique, car le surnaturel ne s'explique pas en concepts philosophiques il se comprend seulement
...
il en est de même de la bible et ensuite des explications des pères de l'Eglise ...



du Moyen Âge se sont développés des courants théologiques qui ont fait
En toute honnêteté, il faut considérer qu'à la finéclater la synthèse entre les esprits grec et chrétien. A la différence du soi-disant intellectualisme augustinien et thomiste commence, avec Duns Scot, une position du volontarisme qui conduisit, dans ses développements ultimes, à affirmer que nous ne connaissons de Dieu que sa ‘voluntas ordinata’. Au delà, c'est la question de la liberté de Dieu, en vertu de laquelle il aurait aussi bien pu faire le contraire de ce qu'il a fait. On atteint ainsi des positions qui se rapprochent très clairement de celles d'Ibn Hazm et qui risquent même de conduire à l'image d'un Dieu arbitraire, qui ne serait pas tenu par la vérité ni par le bien.
dont les possibilités mystérieuses nous restent éternellement inaccessibles et cachées derrière ses décisions effectives.


ce passage paraît plus anodin, après le passage scandaleux au dessus c'est la tactique perfide des escrocs modernistes. Mais l'intellectualisme de Ratz (qui se retranche abusivement sur St Augustin, Thomas et Bonaventure (dont il rappelle et déforme dans chaque discours le système du "miroir " néo platonicien) le conduit à parler ici de degrés dans la transcendance, "placée si haut" ou pas si "haut"
cela paraît aberrant, la transcendance, est abolue ou n'existe pas.
Cependant dans le système intellectualiste (et repris par certains néo paganos) il y a HIERARCHIE dans la transcendance ! (dont le miroir serait la trifonctionnalité indo européenne comme il a été raconté sur le FNF récemment)
Je suis plutôt favorable au volontarisme de Duns Scott évidemment contre b16, mais je ne peux préciser plus
.





A l'opposée, la foi chrétienne a toujours insisté sur le fait qu’entre Dieu et nous, entre son esprit créateur éternel et notre raison créée, il existe une réelle analogie, dans laquelle les dissimilitudes sont infiniment plus grandes que les similitudes, sans pour autant supprimer l’analogie et son langage, comme l'a établi le concile Latran IV en 1215. Dieu n'est pas plus divin lorsque nous l'éloignons dans un volontarisme pur et incompréhensible, mais le véritable Dieu est le Dieu qui s'est manifesté dans le Logos et qui, comme Logos, a agit et continue d'agir par amour envers nous. Il est vrai, l'amour "transcende" la connaissance et est de ce fait capable de prendre en considération davantage que la pensée par elle seule, comme l'a dit Saint Paul (cf. Eph 3, 19) mais il reste toutefois amour du Dieu-Logos.

remarquer ici qu'il est forcé de reconnaitre ici que l'Amour transcendant transcende la connaissance,
L'Action de Dieu le révèle, l'action prime la connaissance
pour la gnose la connaissance est première, l'action est subalterne
il reste toutefois amour du Dieu Logos ! pétition de principe anti chrétienne selon moi
.


Par conséquent, le culte de Dieu chrétien est ‘logiké latreia’ – culte de Dieu en accord avec la Parole éternelle et avec notre raison (cf Rm 12, 1).

Cette rencontre intime entre la foi biblique et les interrogations de la philosophie grecque est un évènement décisif non seulement du point de vue de l'histoire des religions, mais aussi pour celui de l'histoire mondiale, et nous concerne encore aujourd'hui. Quand on considère cette convergence, il n'est pas surprenant que le christianisme, malgré ses origines et ses développements significatifs en Orient, ait trouvé son caractère historique en Europe. Réciproquement, nous pouvons aussi affirmer que cette rencontre, à laquelle s'est ensuite ajouté l'héritage de Rome, a fait l'Europe et reste le fondement de ce qu'on appelle avec raison l'Europe.

Cette thèse selon laquelle l'héritage grec largement purifié appartient à la foi chrétienne fait face à un appel à la déshellénisation du christianisme, un appel qui a dominé le débat théologique de façon croissante depuis le début de l'époque moderne.

Au contraire il faut deshélléniser le christianisme car le déshélléniser c'est notamment le détalmudiser !!! paradoxalement
or cela Ratz n'en veut pas !



Si on se penche sur la question, trois phases peuvent être distinguées dans ce programme de déshellénisation: bien qu'interconnectées, elles sont clairement distinctes les unes des autres dans leurs motivations et dans leurs buts.


[b]
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luernos
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MessageSujet: Re: A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme !   A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme ! EmptyDim 3 Déc - 0:03

Peut-être que le texte ci après pourra éclairer un petit peu la pensée de Ratzinger
j'ai trouvé par hasard sur un site de philo ce texte :


Dialogues sur la Religion Naturelle


par Michel Liégeois

professeur de Philosophie


--------------------------------------------------------------------------------


RELIGION REVELEE et RELIGION NATURELLE


Citation :
Afin de mieux cerner les enjeux philosophiques des Dialogues, il convient de faire le point sur les différentes positions religieuses; il faut distinguer ce que l'on appelle la religion commune, instituée et révélée, de la religion " naturelle ".
Les religions instituées, comme le catholicisme, le protestantisme etc ..., supposent l'existence de principes métaphysiques qui peuvent prendre la forme de réalités surnaturelles comme Dieu, le Diable, les Anges, les Archanges ... De telles réalités transcendent le monde crée et ne peuvent être connues par l'homme, créature finie et déchue, que de manière indirecte. Seule la Révélation ou lumière surnaturelle grâce à laquelle Dieu manifeste sa présence au monde à travers des signes comme les miracles, la venue et le sacrifice du Christ, ou encore l'enseignement donné aux prophètes, permet d'entrer en relation avec le Mystère divin.
C'est par les dogmes, les articles de foi que l'Eglise a codifiés et universalisés, que le culte rendu à la divinité est organisé: les religions instituées se définissent à travers une hiérarchie cléricale et supposent une communauté de fidèles rassemblés autour d'une même confession. C'est dire que la raison y est l'ancillaire de la foi, se trouve soumise aux dogmes et à l'autorité de l'Eglise.
C'est contre cette soumission de la raison que s'élèvent les libres penseurs des XVIIème et XVIIIème siècles, pour qui la foi en la raison doit se substituer à la foi religieuse, tout comme la religion naturelle doit se substituer à la religion révélée ...
La religion naturelle représente ainsi la religion des philosophes qui entendent faire de la raison ou " lumière naturelle " le fondement de toute connaissance mais surtout la base d'un déisme et d'une morale universelle, capables de se débarrasser de dogmes irrationnels et autoritaires et de mettre fin au relativisme historique et culturel des différentes religions révélées. Ce sont essentiellement ces trois thèses - fonder la croyance religieuse sur la raison, prouver les attributs et l'existence de Dieu à partir de la considération du spectacle ordonné de la Nature et dégager les principes d'une moralité universelle - qui définissent l'idée même d'une religion naturelle, dont on mesure à quel point elle s'oppose à celle des religions populaires, fondées sur la révélation, la foi, les dogmes et l'autorité. Soit qu'elle constitue l'expression d'une conscience intime, comparable à un instinct, comme chez Rousseau dans La profession de foi du vicaire savoyard, soit qu'elle soit celle d'une rationalité des lois de la Nature ordonnée par un Dieu horloger comme chez Voltaire, la majorité des philosophes défendent en France la cause de la religion naturelle, qui se confond alors avec le " déisme ".
En Angleterre, cette tendance est encore plus accentuée, et le débat entre partisans de la religion révélée et partisans de la religion naturelle est d'autant plus ouvert qu'il y existe une plus grande liberté politique et religieuse. Mais c'est aussi et surtout parce que la nouvelle science, celle de Newton, peut apporter des arguments, des preuves a posteriori aux partisans de la religion naturelle - qui prend quelquefois la forme d'une véritable " théologie expérimentale ".
C'est dire que le débat ne se résume pas à l'affrontement de deux positions théoriques tranchées - d'une part les tenants de la religion révélée (mystiques) et de l'autre ceux de la religion naturelle (rationalistes): les choses sont plus complexes, les partisans de la religion révélée utilisant quelquefois des arguments rationalistes, et les défenseurs de la religion naturelle faisant pour certains appel à une sorte de foi rationaliste sans se soucier d'une quelconque rigueur scientifique ...
Nous pouvons distinguer, parmi ceux qui défendent la position de la religion révélée, traditionnelle, les " mystiques " pour qui la nature divine est et sera à tout jamais incompréhensible à la raison humaine et interdisent tout discours sur Dieu, et les " dogmatiques " qui, à la différence des premiers, essaient de démontrer l'existence de Dieu et proposent d'en déterminer rationnellement la nature.
Ce courant philosophique est représenté par Samuel Clarke qui, dans sa Demonstration of the Being and Attributes of God (1705), tente de systématiser le discours théologique à partir du modèle abstrait que représentent les mathématiques.
Quant aux tenants de la religion " naturelle ", nous pouvons les ramener grosso modo à deux tendances majeures, les déistes et les théistes expérimentaux, qui s'appuient sur la science newtonienne.
etc ...................

Ratzi dit :
[b]mais le véritable Dieu est le Dieu qui s'est manifesté dans le Logos et qui, comme Logos, a agit et continue d'agir par amour envers nous. Il est vrai, l'amour "transcende" la connaissance et est de ce fait capable de prendre en considération davantage que la pensée par elle seule, comme l'a dit Saint Paul (cf. Eph 3, 19) mais il reste toutefois amour du Dieu-Logos[/b].


Je crois comprendre provisoirement qu'il considère que le christianisme est vrai dans la mesure seulement, où il se confond exactement, et le plus exactement possible, avec la "religion naturelle" définie au 18ième siècle par les anti chrétiens.

Car plusieurs de ces idées quil ressort dans tous ces discours tendent à cela. De ce point de vue il est donc en plein accord avec tous les "progressistes" officiels tel Kung (après les Rahner et autres congar)
C'est la première babouche de Ratz: la démocratique !


Mais ce personnage a la particularité selon moi, d'être en même temps, et chose qui n'est pas liée nécessairement à la première, d'être adepte de ce que l'on étiquette pour aller vite, sous le nom de "gnose"
C'est la deuxième babouche de Ratzi: la "foi"pseudo spirituelle, pseudo conservatrice, pseudo traditionnelle...mais au sens TRADITION PRIMORDIALE ! ils peuvent pleurer les abrutis du FC le Faux Cul ! lol!
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luernos
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MessageSujet: Re: A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme !   A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme ! EmptyLun 4 Déc - 0:40

J'ai trouvé ce commentaire brillant d'un prof de philo, que j'ai survolé rapidement, et dont je retiens seulement la conclusion :

Rat Zinger serait LEIBNITZIEN

Seul un philosophe de métier peut en effet diagnostiquer exactement la philosophie personnelle que RatSinger s'est forgé en soixante années d'études et de réflexions à temps plein, à partir des dizaines et dizaines de systèmes qui existent...

Donc dans le dessin qu'il a fait pour les petits, il prie publiquement dans une mosquée, et au milieu des chefs musulmans,

Dans la "légende" explicative qu'il a préparée pour ce dessin, il
assimile Dieu à l'idée que s'en fait la raison,
et il harmonise l'angle étroit du compas étroit (positiviste et scientisite) avec l'angle large de ce compas cet écartement du compas (TOUT UN SYMBOLE LE COMPAS ! ) grâce à la vision du monde qu'en a le philosophe LEIBNITZ; OR LEIBNITZ N EST PAS CHRETIEN DONC RAT ZINGER N EST PAS CHRETIEN ;

Cela illustre ce que je disais sur les opinion philosophiques de Ratzinger qui interdisent techniquement qu'il soit chrétien, mais qui l'autorisent parfaitement intellectuellement a méditer au milieu de Musulmans !

Ratzinger n'est pas un simple escroc de bas étage payé par Bush c'est un idiot utile pour une partie secrète de sa conscience où il est sincèrement convaincu de la vérité de ses idées philsophiques, lesquelles sont compatibles avec le judaisme talmudique, avec l'islam soufi, avec la maçonnerie en générale, avec la méditation du dalai lama, etcc

Citation :
Le logos et le dialogue


Remarques philosophiques sur le discours du 12 septembre. "C’est dans ce grand Logos, dans cette large raison que nous invitons nos partenaires au dialogue des cultures."
mercredi 27 septembre 2006
Cramponnons nous à la raison. Wittgenstein

Le Discours de Ratisbonne est tout entier condensé dans son avant dernière phrase :

C’est dans ce grand Logos, dans cette large raison que nous invitons nos partenaires au dialogue des cultures.

Cette phrase, en effet, réunit les deux maîtres-mots du Discours : Logos et dialogue. Le sens du mot « logos » est rappelé dans le Discours : « Logos désigne à la fois la raison et la Parole » ( p. ex. la parole de dialogue).

Mais les maîtres-mots sont déjà les élements d’une solution proposée, alors que, comme toujours devant tout propos théorique, il faut rappeler d’abord quelle est la 1ère question à poser. A savoir : Quel est le problème qui commande le propos ? Ce problème est dit dans le Discours. Etant donné les effets de ce Disc (à ce jour), il peut sembler sonner ironiquement. Mais c’est une raison supplémentaire pour l’énoncer expressément : le problème est de déterminer comment « nous devenons capables d’un authentique dialogue entre cultures et religions ». C’est à ce problème de dialogue que répond le Logos comme lieu de solution.

Sur le Logos ou Raison, Benoît XVI introduit en effet un concept extrêmement puissant, clef de voûte de tout le Discours où il intervient immédiatement avec deux corollaires. Le concept, c’est celui d’un Rayon de la Raison qui (comme l’ouverture d’un compas est plus ou moins grande) peut être plus ou mons long. Les corollaires, c’est la possibilité d’un rétrecissement de la raison (en particulier d’une autolimitation de la raison) et inversement la possibilité d’une « large raison » ou « grand Logos ».

La thèse d’une autolimitation de la raison permet à Benoît XVI de placer l’histoire de la Théologie tout entière dans une perspective critique. Dans cette critique, il faut remarquer que si le pape est conduit à un propos comparatiste avec l’Islam, la Réforme n’y est pas épargnée. L’autolimitation de la raison, en effet, prend selon le pape la forme d’un processus de « déshellénisation » en 3 vagues dont la 1ère n’est autre que « la Réforme [du XVIe siècle] ». De ce point de vue il apparaît alors que le centre de gravité du Discours entier se situe dès le début, lorsque le pape évoque

« « les trois Lois » : Ancien Testament - Nouv Test - Coran ».

Dans le problème du Discours (à savoir le dialogue entre les religions), ce qu’il faut appeler le Dialogue des 3 Lois occupe ainsi une place prioritaire. Ce qui veut dire que dans le problème du dialogue, les 3 Lois posent plus particulièrement un problème lui aussi prioritaire. Et c’est sur cette question des 3 Lois que se mesure l’autolimitation de la raison.

Le récit de cette autolimitation s’étend sur la totalité du Discours de Ratisbonne. Il se divise d’abord en deux parties principales : il y a, pouvons nous dire, ce qui s’est consommé au Moyen Age, puis ce qui s’est confirmé au cours des Temps Modernes. Ce qui s’est consommé au Moyen Age (entre le XIIIe et le XIVe s.) est bien connu des historiens de la philosophie. Pour le comprendre, il faut savoir que les plus hautes spéculations de la Scolastique (aussi bien pour scruter le mystère de la Trinité que pour sonder la nature de l’âme humaine) se fonde en grande partie sur une psychologie à l’emporte-pièce, condensée dans un division de l’Âme en deux facultés maîtresses : l’Entendement et la Volonté. C’est le fond commun de ce qui s’est passé de St Thomaq d’Aquin à Duns Scot. Pour un Thomas d’Aquin encore, il allait de soi que l’Entendement venait avant la Volonté. Cet ordre de préséance est inversé par Scot (Voluntas est superior intellectu) (Opus oxoniense, II, dist. 42.). Et cette inversion vaut pour les deux niveaux décisifs de la métaph : celui de Dieu et celui de l’homme. Au niveau de la création divine, le bien sera défini comme ce qui plaît à Dieu (Opus oxoniense, II, dist. 44..) et qu’il pourrait donc changer suivant sa volonté. Au niveau de l’homme, la volonté cessant d’être subordonnée à l’entendement, la libert sera conçue comme liberté d’indifférence.

Dans les Temps Modernes, l’autolimitation de la raison se produit en 3 reflux successifs. Le premier a lieu dans la Réforme avec le principe de l’ « écriture seule » [sciptura sola] par opp à la systématisation philosophique de la foi dans la Scolastique, solidaire d’une transmission dans la Tradition. Le second est la formation du programme de « déshellénisation » prôné par Harnack (1851-1930). Le troisième est la dénonciation « postmoderne » du Logos accusé de « logocentrisme » ou de « tyrannie du logos ».

Mais l’autolimitation de la raison a trouvé de surcroît sa forme canonique dans le parachèvement moderne du volontarisme médiéval. C’est ce qui donne sa silhouette à la Critique de la Raison que Kant prétend avoir effectuée. Chez Kant le « rayon de l’entendement » se voit expressément cantonné aux phénomènes, se trouvant exclu d’une connaissance des « noumènes » ou choses en soi ; les Idées de la Raison (comme l’Idée de Dieu ou du Moi) ne font que précipiter la raison théorique dans des contradictions et se voient dès lors confiées à la seule raison pratique, avec sa bonne volonté. La « raison positiviste » ne fait que confirmer le cantonnement théorique à ce que Comte appelle « phénomènes observables » mais ne peut rendre compte de ses propres conditions. Selon Galilée, le grand livre du Monde est écrit en langage mathématique, mais on ne sait par quel miracle. Cela définit par là même pour Benoît XVI comme un point de rebroussemnt dans la direction d’une Grande Raison, de ce Grand Logos qui conditionne aussi le Dialogue des 3 Lois. L’Histoire de la Raison ainsi racontée par Benoît XVI ds son Discours de Ratisbonne peut être considérée comme une vérification historique du concept qui l’éclaire, celui d’une autolimitation de la raison, rognant sur le Rayon de la Raison totalement déployé.

Faut il rappeler que dans le Syllabus de Pie IX [1864] le mot « rationalisme » ne faisait que coiffer 12 des 80 « erreurs de notre temps » répertoriées pour anathème. Chez Benoît XVI, en opposition diamétrale à tout soupçon d’une prétendue « tyrannie du logos », nous trouvons tout au contraire, selon l’expression de René Thom une nouvelle Apologie du Logos. Nouveau « thomisme » ! Mais comment un pape a-t-il pu ainsi devenir apologiste de la raison ? Il a pour ce faire une raison suffisantequ’il donne dans le Discours.

Cette raison, bien évidemment, n’est autre que le Logos du quatrième Evangile : le Logos johannique. Mais ce rôle accordé au Logos évangélique par Benoît XVI nous reconduit à la question des 3 Lois. Parce que la thèse capitale du pape sur la question des 3 Lois, c’est que sa réponse est à chercher dans le grand Logos, où le Rayon de la Raison attent tout son déploiement.

Le problème est alors de découvrir les chaînons intermédiaires entre le Logos johannique et le « Grand Logos » de Benoît XVI. Dans l’écart entre les deux, des surprises nous attendent. Pour les faire surgir il nous suffira d’abord de laisser la parole à deux auteurs qui, chacun à sa façon, parlent « du côté de l’Islam » : Malek Chebel, auteur de L’Islam et la raison [Tempus, 2006] et Abdelwahab Meddeb, auteur de La maladie de l’Islam [Le Seuil, 2002, Prix Mauriac 2002].

Dans un entretien avec Henri Tincq [Le monde 17-18 sept 2006] Malek Chebel réagit au discours de Ratisbonne d’une manière qui est d’abord à l’étiage de la question des 3 Lois :

Faut il rappeler que les grands penseurs chrétiens, comme Thomas d’Aquin, ou juifs, comme Maïmonide, et toute la pensée médiévale, ont eu accès à la philosophie grecque - Aristote, mais aussi Hippocrate, Euclide, Ptolémée - grâce aux Arabes, aux institutions de traduction financées par les califes de Bagdad et d’Andalousie.

Mais après avoir évoqué Averroès (que Thomas d’Aquin appelait « le commentateur » d’Aristote) il ajoute :

C’est l’âge d’or de l’Islam, avant qu’il ne tombe dans l’abîme.

Et Chabel diagnostique « l’échec du projet musulman fondé sur la rationalité », en une sitution qui se perpétue « encore aujourd’hui ».

Chebel, cependant, n’est pas seul à porter un diagnostic pessimiste sur les siens. Rappelons nous que le 18 avril 2005, dans son homélie de la messe « pro eligendo Romano Pontifice » Joseph Ratzinger avait en commentant St Paul (Eph 4. 14) évoqué « la petite barque de la pensée de nombreux chrétiens », ballotée et emportée « à tous vents de doctrines » [La Croix, 20 avr 2005, p 7].

Qui peut réconforter Ratzinger ? Quel est le rapport entre la situation décrite par Chebel et celle que décrit Ratzinger ?

C’est Abdelwahab Meddeb qui assume le rôle demandé par la première question en répondant à le 2e dans un entretien avec Nicolas Truong (Philosophie magaz n° 4, oct nov 2006, p 42). L’auteur de La maladie de l’Islam y déclare en effet :

L’état de maladie n’est pas de même gravité. Le problème de l’Occident, ou plutôt de l’Europe, s’apparente à un essouflement, non pas à un épuisement. La régénérescence est perceptible. Le phénix n’est pas totalement consumé. En Islam, la situation me semble bien plus grave.

On voit où nous a mené notre dialogue. Entre le problème de Joseph Ratzinger et celui de Malek Chebel ou d’Abdelwahab Meddeb, il y a surtout une différence du plus au moins. A l’autolimitation de la raison qui commence avec Duns Scot, Benoît XVI oppose nostalgiquement l’« intellectualisme augustinien et thomiste ». Mais comme l’âge d’Averroès aux yeux de Chebel les splendeurs de la scolastique sont un âge d’or dont nous sépare toute la modernité.

Cependant si les problèmes sont ainsi comparables au-delà de la différence de cultures c’est parce qu’un dénominateur commun est donné dans la raison. Et relativement à celui-ci, ce qui est problématique n’est pas seulement l’écart entre Logos et Grand Logos mais aussi l’écart entre Logos et « dialogue ».

Qu’il s’agisse de la raison, qui est en tout homme, ou du Logos johannique attendant tout lecteur de l’Ecriture, le Logos est une instance identifiable à laquelle on peut se reporter en tant que telle. Il n’en va pas de même, hélas, du « dialogue », oscillant quelque part entre la dialectique platonicienne et la scène de ménage. Le parti pris du « Dialogue » est généralement pétri de bonnes intentions. Mais justement, si nous admettons la critique du volontarisme, la bonne volonté ne suffit pas. Entre l’entendement et la volonté, il nous faut rétablir d’abord l’ordre naturel : car ce qui est requis par le dialogue, c’est la bonne intelligence mutuelle. Dans la perspective ainsi ouverte, entre Logos et dialogue, nous découvrons alors la chaînon intermédiaire : c’est la dialectique, où le dialogue est promu au rang d’un art et qui, dans la tradition de Socrate, a trouvé un de ses principaux champions en Abélard. Quand le dialogue affronte la question des 3 Lois, nous nous trouvons sur le registre d’Abélard dans son Dialogue d’un philosophe avec un juif et un chrétien (Tr Gandillac, Cerf). Bien sûr, nous sommes encore au XIIe siècle, mais nous sommes au moins passés du « dialogue » amorphe à un modèle de dialectique. Quant à l’écart entre Logos et Grand Logos, pour ce qui est d’établir que le Rayon de la Raison peut le couvrir, nous ne pourrons ici que poser quelques jalons. Le premier nous est donné dans le rapport de Descartes à Leibniz. Pour beaucoup, « cartésien » est synonyme de « rationaliste ». Mais le volontarisme mis en cause par Benoît XVI a dans Descartes une de ses plus brillantes illustrations. Le Dieu de Descartes est créateur des vérités éternelles : il pouvait faire que 2 + 2 ? 4. Dans le moi cartésien, la volonté infinie dépasse infiniment notre entendement fini. Et d’abord le doute cartésien transpose en philosophie le libre examen de la Réforme. Tandis que Leibniz cherche toujours des pépites dans la Scolastique et défend le rôle de la tradition. Des deux, Descartes le catholique est donc philosophiquement le « protestant », tandis que le protestant Leibniz est philosophiquement le « catholique ». Or les travaux de Michel Serres on mis en évidence que, du point de vue scientifique, « les rêves leibniziens ont la couleur de nos éveils ». De sorte que dans le chassé-croisé entre Descartes et Leibniz, le véritable rationalisme s’avère être le rationalisme baroque de Leibniz.

Le traditionalisme leibnizien fournit également le chaînon intermédiaire approprié qui permet de surmonter l’éloignement de l’intellectualisme thomiste. Sur ce registre un modèle se trouve dans le livre écrit en collaboration par Elisabeth Anscombe & Peter Geach : Aristote, l’Aquinate, Frege. Sur les problèmes théologiques les plus difficiles, on y voit converger les thèses thomistes et les analyses rendues possibles par la logique mathématisée de Frege. Dans un tel cas au moins, le Rayon de la Raison atteint le Grand Logos.

Le rôle de la logique formelle y est décisif et il s’y trouve tout naturellement, puisque, dans la Raison, la forme logique dresse l’ossature sans laquelle tout s’effondre. Et il faut rappeler ici que dans l’âge d’or évoqué par Malek Chebel, les logiciens arabes ont joué un rôle remarquable (Cf les livres que N. Rescher leur a consacrés). Or l’éloignement historique ne fait rien ici à l’affaire. Qu’il soit tenu au Moyen-Age ou aujourdhui, un raisonnement quelconque sera invalide ou valide en vertu de ce que Leibniz appelait la « force de la forme », qui est donc aussi force de la raison.

Jean-Claude Dumoncel, professeur de philosophie au centre d’études théologiques de Caen

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A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme ! Empty
MessageSujet: Re: A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme !   A Ratisbonne Ratzinger a insulté le catholicisme ! EmptyLun 4 Déc - 1:25

Tout le faux raisonnement de RatSinger est fondé sur cette affirmation
que je recite :

Citation :
l'harmonie profonde entre ce qui est grec, au meilleur sens du terme, et la foi en Dieu fondée sur la Bible. En référence au premier verset de la Genèse, Jean a ouvert le prologue de son Évangile avec la parole: "Au commencement était le Logos." C'est exactement le mot qu'utilise l'empereur. Dieu agit avec Logos. Logos désigne à la fois la raison et la Parole - une raison créatrice et qui peut se donner en participation, précisément comme raison


1.-Nous voyons que comme dans sa lettre "Pan est Eros" Ratzinger sollicite l'Evangéliste St Jean. Car tous les idéologues son espèce prétendent que Jean était hellénisé jusqu'à la moëlle, qu'il était dualiste (esprit opposé à la chair ) et que sa "foi" était une extase d'initié, il aurait ecrit en l'an 100 au plus tôt, ou ses disciples en 14O pour son compte
Toutes ses opinions historiques sont fausses, ce sont celle de Ratzinger pourtant, c'est la seconde raison jointe à celle de ses idées abstraites sur le système du monde qui démontre qu'il n'est pas Chrétien !
Cette opinion, que le récit des évangéliques aurait été inventé plus tard, s'harmonise bien avec ses idées en faveur de la religion naturelle inventée par la Grèce.


2. - Or la traduction est fausse pour plusieurs raisons que je ne veux pas développer ici. Ratzinger traduit comme si Jean avait pensé direcdtement et écrit et mal écrit en langue grecque ! ce qui est faux;

en réalité il écrit au commencement était "l'action de parler", l'acte de dire, et cette action ou acte de parler ou de dire (la parole est en train d'être prononcée...) était le propre de Dieu ! appartenait en propre à Dieu ! Et Dieu était cet action spécifique de parler !
voilà la traduction du premier verset du chapitre premier du prologue de Saint Jean.
verset 2 : Elle était cette "action de parler propre" à Dieu
verset 3 Cette action a tout créé ! l'univers physique et la pensée humaine et la vie , c'est à dire l'action de dire qui appartient spécifiquement à Dieu, créé, c'est à dire que cette action est Dieu lui même,
c'est la Seconde Personne le Verbe (en latin)
le logos de Dieu n'est pas un être autre que Dieu lui même;
Comment dès lors, pourrait-il être raison humaine et parole au sens humain ?



3.-Une fois enclenché le processus idéologique du sophisme originel, tout se déploie dans la religion naturelle, l'oecuménisme, le libéralisme, etc avec une logique implacable.

remarquer que le relativisme qu'il dénonce concerne l'humanisme rationnel commun a sa conception universelle de l'humanité qui est celle des stöciens et qui n'est pas spécifique au christianisme, il ne concerne pas la mise en cause de la transcendance surnaturelle du christianisme dont il se moque comme de sa première chemise


4.-Enfin, pour mesurer la déchéance générale de nos contemporains, c'est que ce que je dis tout le monde s'en moque, à commencer par la tradouillerie donc l'inculture n'a d égale que le déni , révélateur d'une fragilité morale préoccupante...
tout le monde n'a vu qu'une soi-disant attaque contre l'Islam !
Certainement celui-ci risque de constituer le feu purificateur du grand châtiment "pykien" que se prépare délibérément le monde apostat.
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