Je les mets sous culture bien que les deux n'aient rien à y faire:
"Mentez, mentez hardiment mes amis, écrivait-il à ses acolytes, il en restera toujours quelque chose... Il m'importe beaucoup d'être lu, et très peu d'être cru" Voltaire
Voyez l'affreux et terrifiant aveux de Rousseau: "Dire et prouver également le pour et le contre, tout persuader et ne rien croire, a de tout temps été le jeu favori de mon esprit. Je ne regarde aucun de mes livres sans frémir; au lieu d'instruire je corromps, au lieu de nourrir j'empoisonne; mais la passion m'égare; et avec tous mes beaux discours je ne suis qu'un scélérat. Tout ce que je désire, c'est un coin de terre où je puisse mourir en paix, sans toucher ni papier ni plume"
Ainsi que la confession de Voltaire: "J'ai perdu le temps de mon existence à composer un énorme fatras dont la moitié n'aurait jamais dû voir le jour."
Source: Catéchisme de Persévérence - tome 6
+ In Hoc Signo Vinces +
Duc d'Albe
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