| Gesta Dei Per Francos Regnum Galliae, Regnum Mariae ! |
|
| Les USA et la guerre bactériologique. | |
| | Auteur | Message |
---|
Ar-Ka. Chevalier
Nombre de messages : 633 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Les USA et la guerre bactériologique. Mer 6 Déc - 11:59 | |
| En 1948, Heinrich Mueller, l'ancien chef de la Gestapo, a dit à son interrogateur de la CIA que la peste la plus dévastatrice de l'histoire humaine avait été créée par l’homme.
Il se référait à la pandémie de grippe de 1918-1919 qui infecta 20% de la population mondiale et tua entre 60 et 100 millions de gens. C’est en gros, trois fois autant que les morts et blessés de la WWI (Première Guerre Mondiale), et c’est comparable aux pertes de la WWII, néanmoins cette peste moderne a disparu au fond du trou de la mémoire.
Mueller a dit que la grippe a commencé comme une arme de guerre bactériologique de l'armée US qui a infecté de façon ou autre les rangs de l'armée US au Camp Riley du Kansas en mars 1918, et s’est propagée autour du monde.
Il dit qu'elle « s’est libérée du contrôle », mais nous devons tenir compte de la possibilité horrible que « la grippe espagnole » était une mesure de dépopulation délibérée de l'élite, et qu'elle pourrait être utilisée encore. Les chercheurs ont trouvé des liens entre elle et l’actuelle « grippe aviaire ». [1]
Il n'y avait rien « d’espagnol » dans cette grippe. Selon Wikipedia
« Aux USA, environ 28% de la population en ont souffert, et 500.000 à 675.000 personnes en sont mortes. 200.000 en sont mortes en Grande-Bretagne ; plus de 400.000 en France. Des villages entiers ont péri en Alaska et en Afrique australe. En Australie 10.000 personnes environ sont mortes. Aux Îles Fidji, 14% de la population est morte en seulement deux semaines et 22% aux Samoa occidentales. 17 millions environ sont morts en Inde, soit à peu près 5% de la population de l’époque. Dans l'armée indienne, pratiquement 22% des troupes ont attrapé la maladie et en sont morts. »
« En fait, les symptômes en 1918 étaient si peu communs qu'au début la grippe a été diagnostiquée comme de la dengue, du choléra, ou de la typhoïde. Un observateur a écrit, « L’une des plus dramatiques complications était l’hémorragie des membranes muqueuses, particulièrement du nez, de l'estomac, et de l'intestin. Des saignements d’oreilles et des hémorragies pétéchiales de la peau se sont également produites.
… Une autre caractéristique peu commune de cette pandémie est qu’elle tuait la plupart du temps des jeunes adultes, avec 99% des décès chez les moins de 65 ans [2], dont plus de la moitié chez les jeunes adultes de 20 à 40 ans. C'est peu commun puisque la grippe est normalement plus mortelle chez les très jeunes (moins de deux ans) et chez les très vieux (plus de 70 ans). »
La source de Mueller
Lors d’une conférence nazie à Berlin en 1944 à propos de la guerre bactériologique, le Général Walter Schreiber, Chef du Corps Médical de l'armée allemande, a dit à Mueller qu'il avait passé deux mois aux USA en 1927 à s’entretenir avec ses homologues. Ils lui ont dit que le « soi-disant double coup viral » (c’est-à-dire la grippe espagnole) a été développé et utilisé pendant la guerre de 1914.
« Mais, » selon Mueller, « elle est devenue hors contrôle et, au lieu de tuer les allemands qui s'étaient rendus à l’époque [3], elle est revenue sur eux, et sur presque tous les autres. ». Extrait de « Gestapo Chief : The Interrogation of Heinrich Mueller » (Chef de la Gestapo : L’interrogatoire de Heinrich Mueller),Vol. 2 par Gregory Douglas, p. 106. (En fait l'armistice n'a eu lieu que le 11 août 1918.)
James Kronthal, l'interrogateur, chef de la station de la CIA de Berne, a demandé à Mueller d’expliquer le « double coup viral. » Cela me rappelle le SIDA.
Mueller : « Je ne suis pas médecin, vous comprenez, mais le « double coup » se rapportait à un virus, ou en fait à une paire de virus qui œuvraient en combattants professionnels. Le premier coup attaquait le système immunitaire et rendait la victime sensible, et ainsi condamnée au deuxième coup qui était une forme de pneumonie… [Schreiber m'a dit] qu'un scientifique britannique l'avait réellement développée… Maintenant vous voyez pourquoi de telles choses sont folie. Ces choses peuvent se modifier elles-mêmes et ce qui commence comme une chose limitée peut se changer en quelque chose de vraiment terrible. »
Le sujet de la grippe espagnole a surgi dans le contexte d'une discussion sur le typhus. Mueller a dit que les nazis avait délibérément introduit le typhus dans les camps de prisonniers de guerre russes et, avec la famine, il a tué environ trois millions d'hommes. Le typhus a été propagé à Auschwitz et dans d'autres camps de concentration avec des prisonniers de guerre russe et polonais.
Dans le contexte de la guerre froide, dit Mueller : « Si Staline envahissait l'Europe… une petite maladie ici et là aurait éliminé ses hordes en laissant tout intact. Du reste, une petite bouteille de germes est tellement meilleur marché qu'une bombe atomique, n'est-ce pas ? Pourquoi voulez-vous tenir dans votre main plus de soldats que Staline pouvait sans doute en commander. Vous n’aurez pas à les nourrir ni à les vêtir, ni à les fournir en munitions. D'autre part, la menace de guerre… fait des merveilles… pour l'économie. » (108)
Mueller est-il crédible ? À mon avis il l’est. Gregory Douglas apparaît être le pseudonyme de son neveu à qui il a laissé ses papiers. Normalement un canular ne couvrirait pas des milliers de pages. The Interrogation fait 800 pages. Les mémoires font 250 pages. Les archives microfilmées couvrent apparemment 850.000 pages. En conclusion, le matériel que j'ai lu est incroyablement bien informé, il fait autorité, il est bien fondé et cohérent.
Conclusion
La secte des « élites » n'a fait nul secret de son désir de diminuer la population mondiale. (Voir Alan Stang, Population Extermination : How Will it be Done ?l (L’extermination de la population : Comment la fera-t-on ? ).
Il est possible que la WWI ait été décevante pour l'élite en termes de nombres de tués. Que « la grippe espagnole » ait été délibérée ou non, nous ne pouvons trancher. Mais apparemment l'armée US a des antécédents d'expérimentation des drogues, des produits chimiques et des bactéries sur des soldats non avertis [4]. Est-ce qu'une telle expérience est devenue « hors contrôle » à Fort Riley ?
Jusqu'ici, la grippe aviaire n’a tué que 160 personnes depuis 2003. Est-ce l’annonce de quelque chose de plus mortel ? Avec optimisme ça ne l’est pas, mais nous devrions nous souvenir du précédent abominable que constitue la pandémie de grippe de 1918.
Henry Makow, Ph.D., le 1er décembre 2006 | |
| | | Abbé Grossin Sénéchal
Nombre de messages : 1023 Localisation : Par grâce et aussi par vouloir, je dors en Bretagne ce soir...dans la beauté ! Date d'inscription : 04/10/2006
| Sujet: Re: Les USA et la guerre bactériologique. Mer 6 Déc - 13:22 | |
| Puisque vous abordez le sujet des épidémies fabriquées par l'homme, avez-vous des documents sur l'affaire Brejanski ? Il paraît qu'il aurait démontré la nature artificielle du sida et trouvé les remèdes pour guérir les malades ? | |
| | | Ar-Ka. Chevalier
Nombre de messages : 633 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Re: Les USA et la guerre bactériologique. Mer 6 Déc - 17:12 | |
| Parlez-vous de Mirko Beljanski? Il paraît qu'il guérit effectivement le SIDA. Enfin, c'est Beketch qui le prétend... http://www.beljanski.com/ | |
| | | Ar-Ka. Chevalier
Nombre de messages : 633 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Re: Les USA et la guerre bactériologique. Jeu 7 Déc - 12:04 | |
| Résumé de l’affaire Beljanski, démontrant la nocivité des grands laboratoires pharmaceutiques, et les méthodes mafieuses utilisées par ceux-ci.
Chronique d'une " fatwa " scientifique Décembre 2003 Par Monique Beljanski, chez Trédaniel
Introduction Mirko Beljanski, animé par la passion du savoir, "aidé de Monique, son épouse, et progressivement d'une petit équipe rassemblée autour de sa personne, commence un chemin de croix dont les jalons sont autant d'aventures exaltantes que d'épreuves presque insoutenables.".... Article Transmis par Youba
....En effet, son intuition majeure, confirmée par des expériences de plus en plus précises, fut que l'ARN (acide Ribonucléique) joue un rôle capital dans le fonctionnement de la cellule - et dans le développement du cancer. Ceci contredisait le tout nouveau dogme du Nobel le Pr Monod, qui affirmait qu'il ne peut y avoir de transfert d'informations de l'ARN vers le fameux ADN (acide désoxyribonucléique).
La nouvelle compréhension du cancer et de sa propagation, dont les mutations de l'ADN ne sont qu'un "indicateur" et non la cause, conduisirent à la mise au point d'un test, l'oncotest, beaucoup plus fiable, et d'anti-cancéreux spécifiques, non toxiques.
Il s'agissait bien d'une rupture épistémologique. Répondant à l'interrogation du Pr Monod, "D'où vient le code génétique ?", Mirko Beljanski créa le premier "proto-ADN", c'est-à-dire de l'ADN qui ne provient pas lui-même d'un autre ADN.
Ceci dérangeait l'establishment scientifique qui se mit en devoir de contrarier sa recherche de la vérité, par tous les moyens y compris policiers.
Les premières années
Né en 1923 dans un petit village de Voïvodine, Mirko Belkanski se hisse par goût de l'effort jusqu'au bac, puis, après quelques années dans la clandestinité, débarque à Paris en 1945. Ayant appris le français, il décroche une licence de biologie et intègre l'Institut Pasteur, sous la direction du Pr Monod, futur Nobel.
Ses premières découvertes portant sur l 'ADN lui valent une certaine hostilité et jalousie. Après deux ans passés à New York sur de nouvelles pistes de recherche, il entrevoit des pistes différentes du laboratoire du Pr Monod qui lui répond cependant un jour que " le monde entier travaille sur ses propres idées ".
Délaissant les petites découvertes tapageuses, M.B. s'engage sur une voie plus longue en s'intéressant aux plantes. Ses découvertes sont récompensées par plusieurs prix et reconnaissances. Une lutte s'installe, où les enjeux de pouvoir priment sur les faits scientifiques. Les amis se détournent. " A cause de Monod, nous ne pouvons plus rester amis ", lui confie-t-on parfois. Parlant d'une véritable prise de pouvoir par de jeunes loups, Monique Beljanski écrit : " Ils gagnaient leurs galons au service inconditionnel d'un pouvoir politique et corporatif et dont les tentacules allaient s'étendre sur toutes les institutions officielles.
Par jalousie, M. Beljanski et sa femme sont bientôt relégués au sous-sol, sans lumière et sans appareils. Loin devant, ils continuent leur travail, de découverte en découverte qui ouvrent des voies révolutionnaires.
Expliquant sa nouvelle découverte au Pr Monod, qui vient de publier en 1970 son livre " Le hasard et la nécessité " selon lequel tout vient de l'ADN, M. Beljanski se voit répliquer un cinglant "c'est impossible !". Monod lui interdit de publier ses travaux. Veillant au grain, le CNRS et l'Institut Pasteur s'en assurent.
Plus tard, un responsable lui dit, solennel : "Ne touches pas à l'ADN ! Ou tu n'auras rien du CNRS !" Dans cette atmosphère de promotions injustifiées, de "non découvertes" et de brusques déchéances de véritables chercheurs, le couple Beljanski essaie de ramener le débat vers la science, et non le politiquement correct. M. B . REFUSE D’ADHERER à la Franc-Maçonnerie, pressentant les restrictions sociales que cela pouvait lui imposer. Il veut rester libre ! Il n'est pas à vendre.
Trop de passerelles ont été jetées entre le monde de l'argent (industrie pharmaceutique), le monde politique et le monde scientifique. Il n'y a plus que le citoyen pour se défendre ".
Il faut dire que dans ces années, la recherche appliquée devenait "vulgaire" dès qu'elle pouvait être utile et ne restait pas pure spéculation intellectuelle.
" La désinformation, la désinvolture avec laquelle on traitait les faits et les gens au profit d'un credo collectif imposé, nous laissaient stupéfaits. Et comme "tout mensonge répété devient une vérité (Chateaubriand) peu à peu, la minorité sur-agissante engluait la majorité passive".
Monique Beljanski explique que les organismes comme le CNRs ou l'INSERM sont devenus au fil des ans les caricatures d'eux-mêmes. Atteints par le gigantisme, excessivement centralisés, politisés, confisqués par des clans, noyautés par des hommes dont le but est "la carrière" et non un travail original. | |
| | | Ar-Ka. Chevalier
Nombre de messages : 633 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Re: Les USA et la guerre bactériologique. Jeu 7 Déc - 12:06 | |
| Eliminer les effets secondaires des thérapies contre le cancer
La découverte du rôle très particulier de certains ARN avait une importance capitale pour élaborer des traitements spécifiques et donc éliminer les effets secondaires.
Par un travail acharné, avec le peu de moyens que consent à leur laisser l'Institut Pasteur, M. Beljanski montre que des fragments d'ARN ont une action anti-virale. Bien qu'ils aient crié à l'impasse de cette voie, le Pr Monod, ayant appris qu'il allait déposer un brevet et communiquer sa découverte à l'Académie des Sciences, tente une manœuvre d'intimidation pour que l'Institut Pasteur s'approprie le brevet (chantage au licenciement, etc.). Après un refus de M. B., le Pr Monod en personne téléphone trois fois dans la même soirée pour interdire au Pr Lépine de faire la communication de cette découverte à l'Académie des Sciences. Le Pr Lépine passe outre les menaces et effectue courageusement cette présentation le lendemain, le 5 juillet 1978.
Déjà, en 1976, des tests avaient été réalisés en parallèle à Rhône Poulenc et à l'Institut Pasteur. Les tests effectués chez Rhône Poulenc furent concluants, tandis qu'à Pasteur, ils échouèrent complètement. Monod interdit alors à Rhône Poulenc de développer le produit.
Alors qu'ils reçoivent des lettres d'encouragement et de félicitations pour ses résultats "fascinants", la "Commission de génétique et biologie cellulaire - microbiologie" refuse de cautionner une activité qu'elle considère comme nuisible à la réputation de la Recherche Française ( !). M. Beljanski passe alors un contrat avec l'Institut Mérieux - alors indépendant et rival de l'Institut Pasteur - pour continuer de nouvelles recherches. Après 4 ans de collaboration transparente, l'attitude change. Mérieux est en train de fusionner avec Pasteur.
Le dogme de la toxicité obligatoire des traitements
A l'époque, certains chercheurs affirment que "plus une molécule est toxique, plus elle a de chances d'être efficace contre les cellules cancéreuses". Ceci justifiait en effet la chimiothérapie qui avait l'inconvénient d'attaquer les cellules du sang.
Menacés d'expulsion, les Beljanski décident d'attaquer par la presse et l'AFP, qui ne les censure pas encore, passera les communiqués.
A la recherche de traitements sélectifs
La nouvelle idée était de trouver des molécules qui pourraient inhiber sélectivement les ADNs cancéreux sans détruire ou inhiber les autres. MB met au point l'Oncotest qui, grâce à sa précision, permet non seulement de détecter à 100% la présence de cellules cancéreuses (contre seulement 80% pour les tests classiques), mais encore de déceler les substances cancérigènes sur les substances externes.
Là encore, alors qu'il multiplie les tests indépendants et propose à la "recherche officielle" de le vérifier, celle-ci refuse puis, selon un schéma que connaissent bien les chercheurs français discriminés, déclarera que MB refusait les contrôles. " Tous en France refusèrent de vérifier les expériences...et se contentèrent de faire courir des rumeurs."
La thèse officielle (datant de 1942) derrière ce refus non avoué : 1/ Il n'y a pas de différence entre les cellules cancéreuses et les cellules saines (!)*** 2/ Si le produit n'est pas toxique, il ne peut être efficace 3/ (Du ministre de la santé Claude Evin) : "Il faut savoir que tout médicament efficace a des effets secondaires. Il n'y a absolument aucune exception à cette règle".
" Mieux vaut ne pas savoir "
En plus de contredire les thèses officielles, le gros danger de l'Oncotest est...de détecter les substances cancérigènes présentes dans les médicaments déjà en vente et les produits chimiques. Le test est dangereux pour l'industrie pharmaceutique. " Mieux vaut ne pas savoir " leur rétorque-t-on.
Le Pr Monod meurt du cancer
Alors que MB luttait pour rester à Pasteur et disposer ainsi de moyens, le Pr Monod meurt du cancer le 31 mai 1976. Il était parti le premier. La guerre n'est pas finie pour autant : un attentat au gaz (un tuyau endommagé visant à détruire le laboratoire de MB) est déjoué de justesse, grâce à des ouvriers extérieurs. Les responsables de Pasteur se transforment en dictateurs : violences physiques sur Monique Beljanski, expulsion de Mirko comme un malfrat. Il sera relogé temporairement à la Faculté de Pharmacie, avec 3000F / an de crédits pour 5 personnes. | |
| | | Ar-Ka. Chevalier
Nombre de messages : 633 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Re: Les USA et la guerre bactériologique. Jeu 7 Déc - 12:07 | |
| Un système de recherche bâti pour la régression
Il apparaît alors que, par un système incroyablement absurde et pervers, l'organisation de la recherche médicale française écrase toute initiative, ce qui fait que, malgré un des meilleurs potentiels de chercheurs au monde, la France a énormément régressé dans la production de découvertes. Il faut en effet 600 Millions de Francs et 7 à 10 ans pour mettre un médicament sur le marché. Mais, comme le dit un chercheur, " pour passer la barrière de papier des autorisations, il est nécessaire de fournir des preuves éclatantes d'activité... avec des produits trop violemment actifs et fortement dosés...
Contre les sentiments moraux les plus élémentaires on contraint, sous peine de disparition, les laboratoires à créer des marteaux-pilons chimiques qui ne correspondent pas aux besoins réels des malades et qui peuvent entraîner des désastres. C'est pourquoi on a vu ces dernières années le retrait de tant de médicaments qui ont provoqué des accidents graves ou mortels. "
Beau gâchis ! Et une calamité pour les patients français. Il faut donc 500 millions de francs et " des quantités impressionnantes de documents prouvant l'efficacité et la toxicité (sic) du produit." (Laurent Schwarz, cancérologue patenté).*** ***M. Beljanski ayant présenté un dossier d'autorisation de mise sur le marché (avec tous les coûts et le temps que cela requiert), la police saisit ces documents et les met sous scellés. Les Beljanski, désormais persona non grata à l'Institut Mérieux-Pasteur, trouvent cependant un petit laboratoire familial très intéressé. Le ministre de la santé fait savoir que jamais les produits Beljanski ne recevront d'Autorisation de Mise sur le Marché et que si ce laboratoire d'accueil persiste à fabriquer ses produits, il n'aura plus aucune AMM.
Tests truqués et Pressions sur les chercheurs
Après des déboires et une tentative d'escroquerie, MB crée une petite société pour déposer une nouvelle demande d'AMM. L'agence de l'ANRS, prétendant tester le nouveau produit contre le SIDA, truquera grossièrement le test. L'association des malades porte plainte contre le directeur de l'ANRS pour faux, usage de faux et trafic d'influence. Contredisant complètement l'ANRS, une contre-expertise par l'armée américaine conclut que le produit était efficace à des concentrations de VIH 20 fois supérieures à une concentration habituelle chez les malades. L'ANRS fait alors pression sur cet institut pour qu'il revienne sur sa validation. L'ANRS obtient de tous les chercheurs favorables au produit qu'ils se rétractent les uns après les autres. La seule chercheuse qui affirmera dans Science est Vie qu'elle n'a pas le droit de dire la vérité sur ce produit a été mise au placard.
La solution finale : " accusations de gourou et d'escroquerie "
Contre toute vraisemblance, les représentants de l'Ordre des pharmaciens affirment également que ces produits sont interdits car leur composition n'est pas connue, malgré toutes les publications faisant état de ces recherches ! Mais bientôt, appuyée par le ministre de la santé Claude Evin, l'attaque part : " escroc, pseudo scientifique, gourou, chef de secte ! ". Mirko Beljanski est cependant innocenté par le procureur lors de son premier procès le 10 mars 1994.
Création de CIRIS pour lutter contre l'Omerta
Malgré tout, la pression monte. MB subit un véritable harcèlement. Un voyage en avion est retardé, un serpent lui tombe sur la tête. Le 9 octobre 1996, 80 gendarmes doublés de soldats du GIGN armés encerclent le laboratoire. Cagoules, bazookas, hélicoptère. Tout le parc est fouillé de fond en comble. Le personnel est arrêté, tout est saisi, y compris les rapports d'expertise, les ordinateurs, les photocopieuses. Le personnel arrêté est interrogé avec des questions du style "où cachez-vous l'argent ?".
MB est menotté et emmené à Pau. Dans toute la France, on organise des perquisitions chez les malades, on saisit leurs médicaments. Privés de leur traitement, plusieurs malades décédèrent. Avec une caution de 350 000 F à la clé, on demande à MB de ne plus jamais parler de ses recherches et de ses produits, et on saisit son passeport. On peut mentionner que, en face, on élèvera F. Gros au rang de Commandeur de la Légion d'Honneur (du déshonneur ?) après l'affaire du sang contaminé. La patrie sait choisir ses "héros". Pendant le nouveau procès, alors que jamais un arrêté officiel n'avait interdit les produits, il fut fait mention dans plusieurs actes de procédure d'une telle interdiction, comme fait déterminant. A la même époque, tous les deux jours, le fisc réclame plusieurs millions de francs à Mirko Beljanski sans aucun justificatif.
Il contracte alors une leucémie à 75 ans, qu'il réussit à guérir grâce à ses propres produits, qui avaient échappé de justesse au système et étaient maintenant revendus aux Etats Unis par Natural Source. Pour se venger de Mirko B qui a réussi à payer la caution bien qu'on ait saisi tous ses biens vendables pour l'empêcher de la payer, le ministre du budget l'attaque pour "fraude fiscale". Ces nouvelles attaques finirent par avoir raison de sa combativité. Il rechute. Conscient du caractère psychosomatique de la maladie, il décide alors d'arrêter le traitement pour mourir dans la dignité. Cette infamie et l'incroyable injustice ne l'intéressent plus. Alors que, par patriotisme pour sa patrie d'adoption, il voulait que se produits restent français, ce pays s'acharnait pour que ses découvertes soient étouffées et ne voient jamais le jour !
Le "tout génétique"
En fait, les découvertes de MB ruinaient des pans entiers du dogme de l'ADN, dogme central dans la course au "tout génétique". Ce "tout génétique" a occasionné de très gros investissements. Dans la ligne de mire, les traitements génétiques - un très gros marché de "subventions" pour les laboratoires qui étaient dédouanés de rechercher à gros frais pendant de nombreuses années sans rien trouver. | |
| | | Abbé Grossin Sénéchal
Nombre de messages : 1023 Localisation : Par grâce et aussi par vouloir, je dors en Bretagne ce soir...dans la beauté ! Date d'inscription : 04/10/2006
| Sujet: Re: Les USA et la guerre bactériologique. Jeu 7 Déc - 12:39 | |
| Merci beaucoup pour toutes ces précisions importantes. Ce combat n'est pas primordial, il est même secondaire. Ce n'est pas pour autant qu'il faille le négliger.... | |
| | | Ar-Ka. Chevalier
Nombre de messages : 633 Date d'inscription : 27/08/2006
| Sujet: Re: Les USA et la guerre bactériologique. Mar 5 Juin - 16:54 | |
| Sous le voile du SIDA, la réduction de la population
Par Kjeld Heising, 3 juin 2007
Amis et critiques, il est temps de jeter quelque lumière sur la question du HIV et du SIDA. Jusqu'ici, personne à ma connaissance n'a pris le taureau par les cornes, sans doute à cause d'une certaine sorte de compassion pour les victimes. Mais le monde scientifique et le monde des médias critiques ont rassemblé maintenant tellement de documentation qu'il n'y a plus aucun doute : Le concept du HIV et du SIDA est une supercherie.
Voici quelques faits simples que même votre médecin habituel peut vous confirmer : Aucun virus HIV n'a été isolé jusqu'ici chez aucun être vivant. Aucune image de microscope électronique d'un quelconque virus HIV n'a été publiée -- en dépit des milliards de dollars mis dans la recherche. Si votre docteur contredit ceci, demandez-lui une référence. Vous n'en obtiendrez pas.
Le SIDA lui-même n'est pas une maladie. C'est un groupe de diverses maladies classiques, depuis la pneumonie et la diarrhée jusqu'à l'hépatite, la malaria, la tuberculose, certains cancers et à bien d'autres. En fait, les différents pays ont plusieurs critères -- certains marchent avec 19 maladies, d'autres ont jusqu'à 60 maladies. La définition même du SIDA est : L'une de ces maladies si elle s'accompagne d'un test positif au HIV.
Maintenant, interrogez votre docteur au sujet du test HIV. Il vous dira qu'il y en a deux sortes : Le test Elisa et le Western Blot, Elisa étant le plus ancien. Il peut rajouter qu'un troisième test peut être réalisé, le test de la charge virale basé sur la Polymerase Chain Reaction (PCR) inventée par le Prix Nobel Kary Mullis.
La plupart des gens pensent que ces tests vérifient vraiment la présence du virus. Ils ne le font pas. Les deux testent le nombre d'anticorps dans votre sang comme une réponse à certaines protéines induites. Votre docteur dira : Des protéines qui sont censées ressembler aux protéines du HIV. À plusieurs reprises des microbiologistes hautement qualifiés, des virologistes et d'autres chercheurs ont signalé que ces protéines ne sont pas spécifiques à des virus particuliers. Ces anticorps ne se forment pas pour des microbes spécifiques mais pour une diversité de microbes. Ainsi, plus de soixante conditions sont documentées comme réagissant au test du HIV. Parmi elles : La grippe ordinaire, la vaccination contre la grippe et autres, la transfusion sanguine récente, la malaria, l'alcoolisme, l'abus de drogue, les maladies du foie, avoir eu autrefois de l'herpès, et de nombreuses autres. La pire de toutes : La grossesse des femmes en parfaite santé peut aussi réagir aux tests, donnant un résultat positif.
En ce qui concerne la PCR, nous avons la déclaration de l'inventeur qu'elle peut dans certains cas indiquer n'importe quoi sur la présence du virus HIV. En fait, Kary Mullis est l'un des principaux sceptiques à propos du couple HIV-SIDA. De cette manière, mesdames et messieurs, nous parlons d'une maladie basée sur un virus jamais documenté, diagnostiqué par un ou deux tests non spécifiques, et donc inutiles, réagissant à divers états du corps.
Et ça se corse : En Afrique, l'OMS a mis en application une technique de diagnostic spéciale. Puisque les tests du HIV sont beaucoup trop chers, l'OMS a approuvé Le Diagnostic Visuel : Quelqu'un a-t-il perdu 10% de son poids, a de la fièvre ou une diarrhée persistante, éventuellement accompagnée de démangeaisons de la peau ? Eh bien, alors il a le SIDA. Point.
Maintenant, comprenez-vous comment le nombre de gens infectés par le HIV peut être annoncé aussi haut en Afrique (le même s'applique à l'Asie du Sud Est) ? Pendant que les décès en rapport avec la simple pauvreté deviennent totalement méconnus ? Et venez-en au fait : Y a-t-il un programme en marche n'ayant rien à voir avec un virus ?
Maintenant, regardez le fantôme lui-même : Le Syndrome d'Immunodéficience Acquise, le SIDA. Techniquement défini comme l'une des 19 à 60 maladies classiques assortie d'un test au HIV positif. Interprétée chez la plupart des gens comme une perte générale de l'immunité, une porte ouverte à toutes les infections. Ainsi, il n'y a pas de symptôme spécifique attaché au « virus HIV », il n'y a que le fait que le patient empire au lieu d'aller mieux.
Il n'y a là aucune mystique. Aller plus mal peut avoir deux raisons. Soit la personne est généralement affaiblie par la malnutrition ou par une maladie ordinaire non traitée devenue chronique. Soit la personne s'est faite prescrire des médicaments contre le SIDA. Regardons le dernier cas.
La plus commune drogue contre le SIDA est l'Azidothymidine, abrégée en AZT [*]. Cette drogue a été développée en 1964 comme chimiothérapie pour le traitement du cancer. Elle avait été abandonnée avant d'arriver sur le marché, puisque déjà au laboratoire les animaux des tests mouraient simplement à cause de la drogue. L'AZT est considéré comme la drogue la plus toxique jamais inventée dans le monde médical. Elle n'a aucun effet orienté viral, c'est simplement un poison pour les cellules, qui met un terme à toute synthèse de l'ADN dans toutes les cellules vivantes. Et à la différence de la chimiothérapie du cancer qui est prescrite pour une ou deux semaines et jamais plus, le traitement du SIDA est prescrit pour le reste de la vie de la personne. Une drogue toxique mortelle... pour le reste de la vie.
Peut-être pouvez-vous vous souvenir des images de squelettes à l'hôpital : La peau sur les os, cheveux qui tombent, éruptions cutanées, douleur partout sur le corps. Mourant lentement et douloureusement. Peut-être vous même avez eu un ami ainsi. Pensez à la liste d'effets de la drogue contre le SIDA reconnue officiellement : Destruction de la moelle et par conséquent anémie et, puisque le système immunitaire est aussi formé dans la moelle, effondrement du système immunitaire. La destruction de la capacité des intestins à absorber la nourriture suivie par la perte de poids. Les douleurs à l'estomac, les douleurs dorsales, les douleurs dans la poitrine, l'œdème des lèvres, la fièvre, les symptômes de la grippe, les gencives saignantes, la diarrhée, la défaillance du foie, la dépression, la confusion mentale et bien davantage.
Maintenant, ajoutez à tout ça : Les gens tombant malades d'un présumé virus jamais documenté, diagnostiqué par des tests non spécifiques, sont traités avec des drogues toxiques mortelles causant exactement les symptômes que la « maladie » est dite produire. Que retirez-vous de ça ?
Vous pourriez penser que ce n'est pas possible -- mais pas longtemps. En premier lieu, il y a d'autres exemples de pareilles « maladies » ; si nombreuses qu'elles ont un nom : Les maladies iatrogènes. Le SMON japonais de 1950 à 1975 était l'une d'elles. Peut-être vous rappelez-vous aussi de la grippe porcine de 1970, et certainement, vous avez entendu parler du coup de pub de la grippe aviaire du Pentagone des dernières années. Et bien entendu, vous savez tout ce qu'il en est au sujet de l'argent. Et de la guerre.
En second lieu, pensez à l'ordre du jour maintenant bien compris du contrôle des populations, pratiqué plus ou moins ouvertement dans le tiers monde (le massacre de masse par les médicaments), mais aussi de plus en plus publiquement en Occident -- suivant la formation générale de la police d'État. Au Royaume-Uni, un test du HIV obligatoire pour toutes les femmes enceintes est en cours, de même aux USA. La prescription obligatoire de drogues toxiques mortelles suivra -- ou les enfants seront pris à leur mère si elles refusent. Maintenant, mettez ça en parallèle avec le fait que la grossesse donne souvent un test du HIV faussement positif et concluez : C'est du meurtre légalisé. Comparez avec la base totalement non scientifique de l'ensemble du complot HIV-SIDA et concluez : C'est la réduction de la population -- se déroulant sous nos yeux.
Et c'est réellement le cœur. Il est de l'anthropologie banale que, si vous souhaitez réduire une population, vous devez tuer les femmes. Tuer les hommes a un effet très temporaire.
La bonne nouvelle est que de plus en plus de scientifiques découvrent l'arnaque. Quantité de sources et de documentation se développent rapidement. Mieux encore, de plus en plus de gens ordinaires diagnostiqués positifs au HIV ont deviné les intentions. Au lieu de prendre aveuglément les drogues toxiques des médecins elles vont sur Internet, font des recherches et finissent par tirer la chasse d'eau sur les drogues dans les toilettes pour ne plus jamais y toucher. Suffisamment de récits sont maintenant disponibles pour voir la combinaison : Ces gens sont aujourd'hui vivants et parfaitement bien tandis que leurs camarades utilisateurs de drogues deviennent malingres et meurent par la suite. Parmi les premiers « survivants » il y avait l'Étasunienne Christine Maggiore qui a formé l'organisation Alive and Well (Vivant et Bien). Beaucoup d'autres l'ont suivie.
Faites votre propre recherche sur le HIV et le SIDA. C'est un très grand problème et cela prend du temps et des efforts pour voir. Mais ceux-ci sont de bons sites pour commencer :
www.virusmyth.org Contient des articles scientifiques sur la question [en anglais].
www.aliveandwell.org Page d'accueil de Christine Maggiore - raconte sa propre histoire et beaucoup d'autres [en anglais].
www.garynull.com Propose des séries de vidéos d'interviews accablantes avec des chercheurs et d'autres. Certains de ces vidéos sont aussi disponibles sur Google Video -- de même que beaucoup d'autres [en anglais].
[NDT : Sites en français : http://www.sidasante.com]
-----------------------
PS : Comme écrit sur Rense.com du 2 juin de cette année, il pourrait être développé un virus attaquant le système immunitaire humain là-bas dans les laboratoires Étasuniens du gouvernement (à Fort Detrick). En fait, ce serait étrange qu'il n'y en ait pas. Mais il peut n'avoir absolument rien à voir avec le « virus » qui est « testé » dans les tests du HIV.
En outre, un vaccin contre un virus dont l'existence n'a pas été documentée et qui n'a pas été isolé, est un non-sens. Le vaccin décrit dans l'article de Rense.com peut être vrai mais la question est : À quel virus exactement est-il associé ?
Certainement pas au « virus » qui est à la base de l'empire du SIDA, de plusieurs milliards de dollars.
http://www.thetruthseeker.co.uk/article.asp?ID=6674
Traduction de Pétrus Lombard pour Alter Info
* NDT : L'AZT est maintenant abandonnée. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Les USA et la guerre bactériologique. | |
| |
| | | | Les USA et la guerre bactériologique. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|