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 "Paroisse personnelle" à Bordeaux...

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MessageSujet: "Paroisse personnelle" à Bordeaux...   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 13:36

Une paroisse pour les catholiques traditionalistes à Bordeaux
(Reuters) 5 février 2007 - L'Express

Le cardinal Jean-Pierre Ricard, archevêque de Bordeaux, président de la Conférence des évêques de France, et l'abbé traditionaliste Philippe Laguérie ont signé une convention créant une "paroisse personnelle" à Bordeaux où la messe sera célébrée en latin.
"Depuis septembre dernier le dialogue ouvert entre l'Institut du Bon Pasteur et le diocèse de Bordeaux vient de franchir une étape importante : la création d'une paroisse personnelle pour les prêtres et les fidèles laïcs désirant célébrer la liturgie selon les livres en vigueur en 1962 et la signature d'une convention confiant à l'Institut du Bon Pasteur la charge de cette paroisse dans l'église Saint Eloi à Bordeaux", indiquent les deux parties lundi dans un communiqué.

Cette convention signée le 1er février fait suite à la création le 8 septembre dernier par le pape Benoît XVI de l'Institut du Bon Pasteur composé de cinq prêtres dont son supérieur général Philippe Laguérie qui ont rompu avec le schisme de feu Mgr Marcel Lefebvre, fondateur de la Fraternité saint Pie X en réaction aux réformes du Concile de Vatican II.

Mgr Ricard précise sur le site Internet de l'archevêché que la convention "sera revue dans cinq ans et le point sera fait chaque année entre les deux parties".

Philippe Laguérie avait été ordonné prêtre le 29 juin 1979 par Mgr Lefebvre.

De 1984 à 1997 il avait été le curé militant intégriste et très médiatisé de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris, occupé illégalement.

En 1997, il est venu s'installer dans l'agglomération bordelaise où en 2002 il avait obtenu de la mairie de Bordeaux l'autorisation pour une association proche de la Fraternité saint Pie X d'utiliser l'église désaffectée Saint-Eloi, décision contestée par Mgr Ricard.

Quelques mois après, l'abbé Laguérie avait été exclu de la Fraternité saint-Pie X à la suite des critiques qu'il avait formulés sur son fonctionnement.
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MessageSujet: Paroisse personnelle à Bordeaux - suite   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 13:44

La Croix - 4 février 2007

Entretien ave Mgr Ricard : «Sortons de la critique systématique pour vivre la charité fraternelle» (tout un programme...)

Celui qui a dû accueillir dans son diocèse l'Institut du Bon Pasteur, érigé par Rome, où les prêtres sont autorisés à célébrer la messe selon le rite tridentin, explique le sens de la convention qui vient d'être signée

Entretien avec le cardinal Jean-Pierre Ricard, archevêque de Bordeaux et président de la Conférence des évêques de France

La Croix : Quels sont les points qui vous paraissent essentiels dans la convention signée entre le diocèse de Bordeaux et l’Institut du Bon Pasteur ?

Cardinal Jean-Pierre Ricard : Le diocèse de Bordeaux a érigé une paroisse personnelle, c’est-à-dire non territoriale (canon 518), déterminée par l’usage des livres liturgiques en vigueur en 1962. Il la confie ad experimentum pour cinq ans à l’Institut du Bon Pasteur, érigé par Rome le 8 septembre dernier. Il met l’église Saint-Éloi à la disposition de cette paroisse personnelle et intègre le fonctionnement de cette paroisse dans celui des autres paroisses du diocèse, notamment en ce qui concerne sa gestion financière.

On pensait, le 8 septembre dernier, lors de l’annonce de la création de l’Institut du Bon Pasteur, que l’accord avec le diocèse allait de soi. La signature de cette convention, le temps pour y parvenir, démontrent le contraire : quelles ont été les difficultés rencontrées ?

Quand le décret de création de cet Institut par Rome (commission Ecclesia Dei) a été signé, j’ai regretté qu’une convention avec le diocèse de Bordeaux n’ait pas été signée de façon concomitante. Avec le recul, je reconnais que ce décalage dans le temps a permis un grand débat dans les conseils du diocèse (conseil presbytéral et conseil pastoral diocésain), le début d’une meilleure connaissance mutuelle et un ajustement de nos positions respectives. Après des années d’ignorance mutuelle, de polémiques et de contentieux (en particulier à propos de l’utilisation de l’église Saint-Éloi), la confiance ne se crée pas du jour au lendemain. Je crois que les contacts et les rencontres que nous avons eus à l’occasion de cette convention ont permis, ces derniers mois, d’en ouvrir le chemin.

Le décret romain du 8 septembre exprimait une décision du Saint-Siège et vous n’aviez pas caché avoir été mis devant le fait accompli. Le texte de la convention insiste au contraire sur l’initiative du diocèse de Bordeaux : avez-vous retrouvé une liberté d’action et toute votre responsabilité épiscopale sur ce dossier ?

Le décret romain et les statuts donnés à l’Institut stipulaient que celui-ci bénéficierait d’un usage exclusif des livres liturgiques de 1962. J’ai donc tenu compte de cette décision. Le décret ne donnait pas d’indication particulière sur une mission pastorale dans le diocèse de Bordeaux. Cela restait du ressort de l’archevêque et du diocèse. Ma liberté était grande sur ce point. Elle m’a même permis de préciser un point du décret, à savoir que l’église Saint-Éloi ne pouvait être aujourd’hui le siège de l’Institut que parce qu’une paroisse personnelle lui était confiée sur Bordeaux. En effet, il ne m’est pas possible de confier une église municipale dont le diocèse est affectataire à une institution qui n’aurait pas une mission pastorale dans le diocèse. Sur ce point en particulier, les choses sont rentrées dans l’ordre.

La négociation en vue de cet accord a-t-elle fait progresser votre connaissance réciproque, voire votre communion, ou a-t-elle gelé les positions ?

Je dois avouer que j’ai été inquiet après la création de cet Institut par Rome par des affirmations comme « Nous avons gagné », « Nous n’avons rien cédé », « Nous serons les sauveurs d’une Église en ruine » ! De tels propos ont eu des effets ravageurs. La signature d’une convention dans cet état d’esprit n’aurait pas été possible. Or, je sens aujourd’hui chez l’abbé Laguérie et les prêtres de l’Institut du Bon Pasteur une volonté d’être en pleine communion avec Rome et d’intégrer, sous ma responsabilité épiscopale, la famille diocésaine.

Vous insistez beaucoup sur la dynamique de communion – vous instituez même une commission de dialogue. Pensez-vous qu’un tel objectif soit réalisable dès lors que vous ne cachez pas une forte « divergence » sur le concile Vatican II ?

Je pense que cette communion qui est un don de Dieu est aussi une tâche à réaliser et que cette tâche est réalisable. Elle demande relations, connaissance mutuelle, dialogue et échange. Sur la suggestion du conseil presbytéral, j’ai mis sur pied une commission de dialogue (de prêtres et de laïcs) pour faciliter ces relations. Elle a été bien acceptée par les prêtres de l’Institut. Sortons de l’époque de la polémique, des jugements à l’emporte-pièce, de la critique systématique pour vivre la charité fraternelle et l’estime et le respect mutuels. Dans la foi, je crois aux fruits de communion que l’Esprit Saint peut susciter dans son Église.

Cela dit, cette communion appelle également la vérité. Je n’ai pas voulu que la question des divergences sur la relation au concile Vatican II et à certains de ses textes soit occultée. La réception positive de l’enseignement du Concile comme acte magistériel est une condition importante de cette communion. Car, plus que sur une question liturgique, c’est bien à ce niveau-là que s’est établi le contentieux avec ceux qui avaient suivi Mgr Lefebvre.

Je crois que, sur ce point-là, le dialogue est nécessaire. Les prêtres qui ont fondé l’Institut ont accepté d’avoir en ce domaine « une attitude positive d’étude et de communication avec le Siège apostolique, en évitant toute polémique ». L’année prochaine, nous aurons quatre catéchèses diocésaines pour adultes afin de revisiter les grandes intuitions du concile Vatican II. J’ai demandé aux prêtres de l’Institut de participer à cette réflexion diocésaine en faisant part de leur propre approche. Une écoute et un échange respectueux devraient être possibles.

L’abbé Laguérie avait estimé que cette convention pourrait servir de « prototype » pour d’autres diocèses : le président de la Conférence des évêques que vous êtes encourage-t-il une telle diffusion ?

Cette convention est faite pour le diocèse de Bordeaux et fait référence à une situation particulière. Il est toujours possible de s’en inspirer, mais chaque évêque reste juge dans son diocèse de l’opportunité ou pas de faire appel à l’Institut du Bon Pasteur.

La décision du 8 septembre a provoqué une onde de choc dans le catholicisme français et beaucoup d’interrogations subsistent à propos d’un éventuel motu proprio libéralisant la messe tridentine. Vous êtes membre de la commission Ecclesia Dei en charge de ce dossier à Rome, le Saint-Siège va-t-il vraiment poursuivre cette voie de réforme ?

Benoît XVI souhaite poursuivre un travail de réconciliation avec ces prêtres et fidèles qui ont quitté la pleine communion avec le Siège de Pierre (en particulier la Fraternité Saint-Pie-X). Il se pose également la question d’une « libéralisation » de la messe tridentine. Le pape a en mains tous les éléments du dossier. Il prend son temps avant d’arrêter sa décision sur une question de cette importance.

Recueilli par Jean-Marie GUENOIS
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Ar-Ka.
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MessageSujet: Re: "Paroisse personnelle" à Bordeaux...   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 13:58

Ah, l'Abbé Laguérie!
Il était déjà mauvais, il y a vingt ans...
Et il ne s'est pas arrangé!... Laughing


https://www.dailymotion.com/video/xh2st_dueleglise87
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MessageSujet: Paroisse personnelle à Bordeaux -fin-   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 14:02

Et en cerise sur le gateau :

Sermon Audio de l’Abbé Philippe Laguérie le 04/02/2007 pour la prise de Soutane à Saint Eloi :

http://tom.dacq.free.fr/Soutane04022007.mp3

flower
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Abbé Grossin
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MessageSujet: Re: "Paroisse personnelle" à Bordeaux...   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 14:21

Voilà comment terminent les pseudo, crypto, semi sédévacantistes.

Soit on l'est complètement, soit on ne l'est pas du tout !

Je confie à vos prières un autre prêtre qui est en train de prendre le même chemin : l'abbé Nitoglia qui a quitté l'institut Mater Boni Consilli, les "semi" de Verrua, pour travailler à Rome avec la FSSPX ! geek

Pour eux, la secte noachide est toujours l'Eglise catholique de Jésus Christ, c'est logique, mais c'est tragique...
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Abbé Grossin
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MessageSujet: Re: "Paroisse personnelle" à Bordeaux...   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 18:00

Voici la réponse de l'abbé Laguérie sur son blog à propos des nouvelles consécrations d'évêques :

Cher Monsieur,

J’ai beaucoup étudié cette question, décisive pour le statut actuel de l’ Église Catholique.

Je vous renvoie aux études parues dans Le Sel de la terre (n°154) et à celles de Fr.Ansgar Santogrossi sur cette question publiée dans la revue Objections n°6 (juin 2006).

Il est évident, et démontré à présent, que la forme du Pontifical traditionnel est bien plus récente, parce que moyenâgeuse, que la nouvelle formule de Paul VI, qui est apostolique. Cette dernière est évidemment la plus traditionnelle qui soit. Elle est celle de l’Église d’Antioche depuis 2000 ans, celle aussi de l’Église d’Alexandrie depuis la même époque, et, il est à peu près certain aujourd’hui, qu’elle était celle de l’Église Romaine à la même époque. (cf Liber Sacramentorum de Saint Hippolyte de l’Église Romaine Elle- même).

Deux conditions sont requises pour la validité de la forme d’une consécration épiscopale, en plus de la matière qui est l’imposition des mains :

L’onction (ou descente) du Saint Esprit et la Grâce spéciale qu’Il opère dans le sujet ( cf Pie XII Sacramentum Ordinis 1947).

Par l’expression " Spiritum principalem" invoquée par le nouveau rite (qui est, on l’a compris, le plus ancien) sur la tête de l’élu, auquel on impose les mains, est signifiée à la fois, et la puissance de l’Esprit Saint, et le pouvoir de Prince de l’Église conféré à l’ordinand. Il n’y manque rien. D’autant que le nouveau rite précise dans la forme sacramentelle même, que cet esprit qui fait les Princes est "Celui-la même que le Christ conféra aux apôtres pour qu’ils établissent en tout lieu les églises à la Gloire de Son Nom".

Il n’y a évidemment aucun doute sur l’ancien rite, qui se contentait pourtant de demander au Seigneur d’étendre la dignité sacerdotale du sujet… ce qui reconnaissons-le, est bien plus flou que la forme du nouveau rite.

En dehors de toute polémique et, toutes choses égales par ailleurs, le nouveau rite de consécration est bien plus clair que l’ancien. Ceux qui contestent sa validité devraient nous expliquer comment ni Saint Athanase, ni Saint Cyrille, ni Saint Barsès ….ne furent jamais que de pieux laïcs !

Ne mélangeons pas tout. La nouvelle messe a été un affreux bricolage, mais le nouveau rite de consécration épiscopale est un retour aux sources manifeste, avec la garantie de la plus vieille Tradition de l’Église, tant orientale qu’occidentale.

Quels que soient les replis frileux et désespérés de quelques théologiens de la FSSPX, fussent- ils évêques, aucun doute ne peut subsister sur la validité de la puissance épiscopale des évêques catholiques.

Toute autre divagation est le refuge désespéré du sedevancantisme.

Dieu en préserve notre chère Fraternité !

Abbé Philippe Laguérie

Le naufrage est complet, merci les Bonshommes pour votre collaboration au travail de sape ! Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil
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Louis-Hubert REMY
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MessageSujet: Re: "Paroisse personnelle" à Bordeaux...   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 19:06

Le naufrage est complet, merci les Bonshommes pour votre collaboration au travail de sape !
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MessageSujet: Re: "Paroisse personnelle" à Bordeaux...   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 19:08

D'autant plus que les travaux d'Avrillé et de Santogrossi ont été réfutés par l'abbé Cékada :

http://www.rore-sanctifica.org/documents-recents.html#26
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MessageSujet: Re: "Paroisse personnelle" à Bordeaux...   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 23:26

Abbé Laguérie a écrit:


Il est évident, et démontré à présent, que la forme du Pontifical traditionnel est bien plus récente, parce que moyenâgeuse, que la nouvelle formule de Paul VI, qui est apostolique. Cette dernière est évidemment la plus traditionnelle qui soit. Elle est celle de l’Église d’Antioche depuis 2000 ans, celle aussi de l’Église d’Alexandrie depuis la même époque, et, il est à peu près certain aujourd’hui, qu’elle était celle de l’Église Romaine à la même époque. (cf Liber Sacramentorum de Saint Hippolyte de l’Église Romaine Elle- même).

Puisque l'abbé Laguérie nous renvoie au Sel de la terre, voici ce qu'écrit le Frère Emmanuel-Marie O.P. dans son article sur "Le nouveau Notre Père", page 32-33 du numéro 59 (le dernier) :

"La traduction adoptée [celle du nouveau Notre Père] est donc le fruit d'une petite officine "d'experts", réunissant des catholiques, des luthériens, des réformés et des orthodoxes des diverses obédiences. C'est exactement le même procédé qui sera employé pour fabriquer la nouvelle messe et le nouveau rituel des sacrements."

Plus loin, le Frère Emmanuel-Marie OP cite une lettre de l'abbé Carmignac, connu pour ses travaux sur le Notre Père. Il ajoute : "Cette lettre, écrite par une personnalité qui n'est aucunement "traditionnaliste" est accablante. Sous une forme modérée, elle démontre, faits à l'appui, que cette nouvelle traduction du Notre Père fut un brigandage".

Boire ou conduire, il faut choisir ! drunken

Le nouveau rituel est :
- le plus traditionnel qui soit; apostolique (selon l'abbé Laguérie qui renvoie au travail du RP Pierre-Marie d'Avrillé).
- une fabrication, fruit d'une officine d'experts catholiques, protestants, ...; un brigandage (selon le F. Emmanuel-Marie d'Avrillé).

A Avrillé, ils ont choisi. Ils boivent et ils conduisent...

Nordland
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Abbé Grossin
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MessageSujet: Re: "Paroisse personnelle" à Bordeaux...   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMar 6 Fév - 23:59

ils conduisent quoi ? Cool
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MessageSujet: Re: "Paroisse personnelle" à Bordeaux...   "Paroisse personnelle" à Bordeaux... EmptyMer 7 Fév - 3:21

Citation :
ils conduisent quoi ?
La Papamobile Lefebvro-Traditionaliste....Et ils filent droit dans le mur, mais ils ont l'air d'aimer cela. Twisted Evil

En sus d'être les petits rats de la Tradition avec leurs grands écarts théologiques, d'être les trapèzistes fous de l'Una-Cum sans filet, d'être les "jacques mayol" de l'apnée spirituelle, les voilà cascadeurs, véritables "Remi Julienne" du choc théologique frontal!

Ce n'est plus la dernière Kermesse rigolarde et bouffonne de la Paroisse St Nicolas, c'est la "Piste aux étoiles filantes" de la tradition!

A quand les hommes-canon définitivement satellisés dans la Grande Nébuleuse Noachide? Suspect
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